D'après cette simulation, le panache radioactif pourrait atteindre la France métropolitaine mercredi ou jeudi prochain. Les concentrations attendues de césium 137 dans l'air devraient toutefois être d'un niveau trop faible pour être détectées par les 170 balises d'alerte du réseau de l'IRSN, a rappelé dimanche une responsable de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Le césium 137 est pris comme référence dans un cas comme celui de Fukushima, car il est considéré comme représentatif des matières radioactives rejetées à longue distance lors d'un accident nucléaire.
Ces concentrations de césium 137 au-dessus de la France métropolitaine "seront sans conséquences sanitaires et environnementales" et "si minimes" qu'elles ne pourront être détectées dans l'environnement que par des mesures d'échantillons effectuées dans des laboratoires spécialisés, avait tenu à préciser dès samedi l'IRSN
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