lundi 29 mars 2010
dimanche 28 mars 2010
samedi 27 mars 2010
Energies renouvelables : les usines marémotrices pourraient fournir de l’énergie à 15 millions de logements
Selon le ministre de l'Énergie britannique, Lord Hunt, les courants maritimes de l'Angleterre pourraient alimenter en énergie 15 millions d'habitations d'ici 2015.
Les énergies renouvelables houlomotrices (des vagues) et marémotrices (fournies par le mouvement des marées), en plus de diminuer les émissions de CO2, pourraient également créer plusieurs milliers d'emplois selon le gouvernement britannique.Bien que plus chères que les énergies solaire et éolienne, elles seraient plus sûres que ces dernières, le mouvement des marées étant plus constant que le rayonnement solaire ou que la force du vent. Lord Hunt a ainsi lancé un plan d'actions pour la mise en place de l'énergie marémotrice à grande échelle. Les investisseurs seront incités à investir par des primes, des aides pour développer le secteur encore très peu reconnu par le marché, une chaîne logistique sera mise en place...L'exploitation de l'énergie marine pourrait diminuer de 70 millions de tonnes la quantité de CO2 émise par la Grande-Bretagne. Ce pays est bordé par les eaux, ce qui lui permet de bénéficier d'une source énergétique très vaste. La première usine marémotrice SeaGen, qui produit 1,2 mégawatt, permet déjà de fournir de l'énergie à 1.000 habitations
Donnez votre avis, de´couvrez les photos et toute l'actualité sciences et environnement sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/%e9nergie-mar%e9motrice/energies-renouvelables-les-usines-maremotrices-pourraient-fournir-de-l-energie-a-15-millions-de-logements_art6484.html
Les énergies renouvelables houlomotrices (des vagues) et marémotrices (fournies par le mouvement des marées), en plus de diminuer les émissions de CO2, pourraient également créer plusieurs milliers d'emplois selon le gouvernement britannique.Bien que plus chères que les énergies solaire et éolienne, elles seraient plus sûres que ces dernières, le mouvement des marées étant plus constant que le rayonnement solaire ou que la force du vent. Lord Hunt a ainsi lancé un plan d'actions pour la mise en place de l'énergie marémotrice à grande échelle. Les investisseurs seront incités à investir par des primes, des aides pour développer le secteur encore très peu reconnu par le marché, une chaîne logistique sera mise en place...L'exploitation de l'énergie marine pourrait diminuer de 70 millions de tonnes la quantité de CO2 émise par la Grande-Bretagne. Ce pays est bordé par les eaux, ce qui lui permet de bénéficier d'une source énergétique très vaste. La première usine marémotrice SeaGen, qui produit 1,2 mégawatt, permet déjà de fournir de l'énergie à 1.000 habitations
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vendredi 26 mars 2010
Landes : risque de vagues dangereuses et de montée des eaux
Alerte sur le littoral atlantique. Météo-France a lancé un avis de vagues dangereuses et de montée des eaux touchant le littoral des Landes mais également de Gironde et de Charente-Maritime dans la nuit de vendredi à samedi, a annoncé la préfecture des Landes dans un communiqué.
Les vents, des vagues (6 à 7 m au large) et la "surcote prévue à la pleine mer" entraîneront "de fortes vagues déferlant sur la côte et une élévation temporaire du niveau de la mer pouvant submerger certaines parties du littoral", ajoute le communiqué. "Une vigilance particulière est nécessaire", écrit la préfecture qui précise toutefois que ces phénomènes "ne présenteront pas de caractère exceptionnel comme observé lors de la récente tempête Xynthia". Vendredi peu avant 15h30, aucun avertissement n'était affiché sur le site de Météo-France concernant une éventuelle vigilance en cours.
La tempête Xynthia qui a frappé la côte Atlantique le week-end du 27 au 28 février a fait, selon le ministère de l'intérieur, 53 morts et 7 blessés graves et causé de très importants dégâts matériels
jeudi 25 mars 2010
Coupures de courant et toits emportés par un cyclone en Australie
Le cyclone Ului a causé des inondations importantes, des effondrements de toits et des coupures de courants affectant 150.000 consommateurs dans la ville de Perth, à l'ouest du pays.
Les services de la météorologie ont précisé lundi que le cyclone se traduisait par des rafales de plus de 120 km/h, des pluies nourries et des averses de grêle sur la ville.
Les vols au départ de l'aéroport de Perth ont été suspendus temporairement après l'effondrement d'une partie du toit de la structure. Des personnes ont été évacuées en urgence vers les hôpitaux après cette descente du plafond de l'aéroport.
Les services de sécurité ont répondu à des centaines d'appels à l'aide pour des chutes d'arbres et des poteaux électriques abattus, des toits endommagés et des fenêtres brisées.
Perth a connu un été sec avec quasiment pas de pluie pendant plusieurs mois. De nouvelles bourrasques sont attendues mardi. AP
Les services de la météorologie ont précisé lundi que le cyclone se traduisait par des rafales de plus de 120 km/h, des pluies nourries et des averses de grêle sur la ville.
Les vols au départ de l'aéroport de Perth ont été suspendus temporairement après l'effondrement d'une partie du toit de la structure. Des personnes ont été évacuées en urgence vers les hôpitaux après cette descente du plafond de l'aéroport.
Les services de sécurité ont répondu à des centaines d'appels à l'aide pour des chutes d'arbres et des poteaux électriques abattus, des toits endommagés et des fenêtres brisées.
Perth a connu un été sec avec quasiment pas de pluie pendant plusieurs mois. De nouvelles bourrasques sont attendues mardi. AP
Libellés :
Phénomènes et catastrophes naturelles
mercredi 24 mars 2010
Séisme de 5,1 de magnitude en Turquie
Un séisme de magnitude 5,1 a secoué mercredi l'est de la Turquie, dans la province d'Elazig déjà touchée au début du mois par une puissante secousse qui avait tué 42 personnes, a indiqué l'observatoire Kandilli d'Istanbul.
Aucune information faisant état de victimes ou de dégats matériels n'est parvenue jusqu'à présent de la région, a déclaré à l'AFP un représentant du bureau du sous-gouverneur de la ville de Palu. «Nous essayons d'entrer en contact avec Gökdere», un des villages touchés, a-t-il ajouté.
Les séismologues avaient prévenu de l'éventualité de nouvelles secousses dans la région
Le séisme s'est produit à 16h12 (15h12 à Paris) à une profondeur de cinq kilomètres, avec un épicentre situé entre le village de Gökdere et la ville de Palu, a précisé l'observatoire sur son site internet.
Les séismologues avaient prévenu de l'éventualité de nouvelles secousses dans la région, après le séisme survenu au début du mois. Il n'a pas été précisé si ce nouveau séisme constituait une réplique ou une nouvelle rupture de la faille est-anatolienne.
La Turquie, qui est traversée par plusieurs failles, connait de fréquents tremblements de terre. Deux forts séismes dans les régions très peuplées et industrialisées du nord-ouest du pays avaient fait environ 20.000 morts, en août et novembre 1999, et les experts s'accordent sur le fait que la région d'Istanbul est menacée d'un fort séisme.
20minutes
Aucune information faisant état de victimes ou de dégats matériels n'est parvenue jusqu'à présent de la région, a déclaré à l'AFP un représentant du bureau du sous-gouverneur de la ville de Palu. «Nous essayons d'entrer en contact avec Gökdere», un des villages touchés, a-t-il ajouté.
Les séismologues avaient prévenu de l'éventualité de nouvelles secousses dans la région
Le séisme s'est produit à 16h12 (15h12 à Paris) à une profondeur de cinq kilomètres, avec un épicentre situé entre le village de Gökdere et la ville de Palu, a précisé l'observatoire sur son site internet.
Les séismologues avaient prévenu de l'éventualité de nouvelles secousses dans la région, après le séisme survenu au début du mois. Il n'a pas été précisé si ce nouveau séisme constituait une réplique ou une nouvelle rupture de la faille est-anatolienne.
La Turquie, qui est traversée par plusieurs failles, connait de fréquents tremblements de terre. Deux forts séismes dans les régions très peuplées et industrialisées du nord-ouest du pays avaient fait environ 20.000 morts, en août et novembre 1999, et les experts s'accordent sur le fait que la région d'Istanbul est menacée d'un fort séisme.
20minutes
Libellés :
Phénomènes et catastrophes naturelles
Thon rouge : la France ne renoncera pas à protéger l'espèce
Le 18 mars, les propositions monégasque et européenne d'inscription du thon rouge à l'annexe I de la Convention ont été rejetées. Mais la France, qui s'est prononcée en faveur de cette inscription assortie d'un délai de mise en oeuvre de 18 mois, reste déterminée à agir pour la protection de l'espèce dont les stocks ont diminué de 75% au cours des cinquante dernières années.
"Soucieuse de l'avenir de cette espèce, et considérant que la seule protection efficace doit s'inscrire dans un cadre international, la France est décidée à proposer à l'Union européenne de continuer ses efforts pour convaincre les États parties de la Cites d'agir en faveur de la protection de cette espèce" a déclaré Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Environnement. Une inscription du thon rouge à l'annexe II de la Cites pourrait alors être proposée. Cette annexe impose un contrôle strict du commerce des espèces qui y sont inscrites, et la nécessité de détenir un permis d'exporter.
D'après les associations de protection de l'environnement, inscrire le thon rouge à l'annexe II de la Cites ne suffira pas à protéger l'espèce du danger d'extinction qui pèse sur elle. Comme l'avait souligné le représentant de Monaco Patrick Van Klaveren juste avant le vote de jeudi, "si nous proposons l'inscription du thon rouge à l'Annexe I, c'est que nous avons atteint un niveau où l'effondrement du stock est inéluctable". Au cours de la dernière décennie, les stocks de thon rouge auraient diminué de 65%.
environnement sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/thon-rouge/thon-rouge-la-france-ne-renoncera-pas-a-proteger-l-039-espece_art6542.html
"Soucieuse de l'avenir de cette espèce, et considérant que la seule protection efficace doit s'inscrire dans un cadre international, la France est décidée à proposer à l'Union européenne de continuer ses efforts pour convaincre les États parties de la Cites d'agir en faveur de la protection de cette espèce" a déclaré Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Environnement. Une inscription du thon rouge à l'annexe II de la Cites pourrait alors être proposée. Cette annexe impose un contrôle strict du commerce des espèces qui y sont inscrites, et la nécessité de détenir un permis d'exporter.
D'après les associations de protection de l'environnement, inscrire le thon rouge à l'annexe II de la Cites ne suffira pas à protéger l'espèce du danger d'extinction qui pèse sur elle. Comme l'avait souligné le représentant de Monaco Patrick Van Klaveren juste avant le vote de jeudi, "si nous proposons l'inscription du thon rouge à l'Annexe I, c'est que nous avons atteint un niveau où l'effondrement du stock est inéluctable". Au cours de la dernière décennie, les stocks de thon rouge auraient diminué de 65%.
environnement sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/thon-rouge/thon-rouge-la-france-ne-renoncera-pas-a-proteger-l-039-espece_art6542.html
mardi 23 mars 2010
Lancement prévu le 8 avril du satellite d'observation des glaces Cryosat 2
Le satellite Cryosat 2 destiné à mesurer les variations d'épaisseur de la banquise et l'altitude des glaces continentales doit être lancé le 8 avril, a annoncé vendredi l'Agence spatiale européenne (ESA), après un premier report du lancement initialement prévu le 25 février.
Le problème technique concernant les réserves de carburant du second étage du lanceur russe Dniepr qui avait entraîné le report du lancement en février "a maintenant été réglé" et "une nouvelle date de lancement a été fixée au 8 avril", déclare l'ESA dans un communiqué.
Le décollage est prévu à 13H57 GMT depuis Baïkonour, au Kazakhstan. Cryosat 2 doit être mis en orbite par le lanceur Dniepr plus de quatre ans après le lancement raté de Cryosat 1.
Le 8 octobre 2005, la mise en orbite de ce satellite avait échoué suite au dysfonctionnement d'un moteur de la fusée russe Rockot, précipitant dans l'océan Arctique un joyau scientifique d'un coût de 140 millions d'euros.
Cryosat est le troisième satellite du programme "Planète vivante", après GOCE, lancé pour connaître la forme exacte de la Terre en mesurant son champ de gravité et SMOS, qui détecte l'humidité des sols et la salinité des océans.
L'étude de la fonte des glaces polaires, avérée dans l'hémisphère nord, est un enjeu majeur pour comprendre le réchauffement climatique.
Les scientifiques disposent déjà de relevés ponctuels et de certaines mesures d'autres satellites comme Envisat, mais aucun n'est spécifiquement dédié à l'observation des glaces.
AFP
Le problème technique concernant les réserves de carburant du second étage du lanceur russe Dniepr qui avait entraîné le report du lancement en février "a maintenant été réglé" et "une nouvelle date de lancement a été fixée au 8 avril", déclare l'ESA dans un communiqué.
Le décollage est prévu à 13H57 GMT depuis Baïkonour, au Kazakhstan. Cryosat 2 doit être mis en orbite par le lanceur Dniepr plus de quatre ans après le lancement raté de Cryosat 1.
Le 8 octobre 2005, la mise en orbite de ce satellite avait échoué suite au dysfonctionnement d'un moteur de la fusée russe Rockot, précipitant dans l'océan Arctique un joyau scientifique d'un coût de 140 millions d'euros.
Cryosat est le troisième satellite du programme "Planète vivante", après GOCE, lancé pour connaître la forme exacte de la Terre en mesurant son champ de gravité et SMOS, qui détecte l'humidité des sols et la salinité des océans.
L'étude de la fonte des glaces polaires, avérée dans l'hémisphère nord, est un enjeu majeur pour comprendre le réchauffement climatique.
Les scientifiques disposent déjà de relevés ponctuels et de certaines mesures d'autres satellites comme Envisat, mais aucun n'est spécifiquement dédié à l'observation des glaces.
AFP
lundi 22 mars 2010
Réchauffement climatique : une campagne jugée trop alarmiste interdite en Grande-Bretagne
Alors que le gouvernement britannique s'apprêtait à lancer une campagne de sensibilisation sur le réchauffement climatique, l'Advertising standards authority (Asa) l'a censurée. Le "gendarme de la publicité" a décidé d'interdire cette campagne, invoquant le fait qu'elle ne prenait pas en compte les incertitudes des scientifiques
Ce plan de communication visait à détourner de célèbres comptines pour enfants, modifiant leur paroles pour sensibiliser le public aux impacts du réchauffement climatique. L'une des affiches reprenait ainsi une comptine, transformant son texte en : "Jack et Jill ont grimpé en haut de la colline pour aller chercher un seau d'eau. Mais il n'y en avait plus parce que la météo extrême due au changement climatique a provoqué une sécheresse". La légende accompagnant l'illustration de l'affiche ajoutait : "Les épisodes météo extrêmes comme les inondations, les vagues de chaleur et les tempêtes vont devenir plus fréquents et plus intenses".
Mais d'après l'Asa, cette campagne trop alarmiste ne reflète pas les incertitudes des experts du climat quant aux conséquences du changement climatique et une argumentation plus nuancée aurait dû être utilisée.
Suite à cette censure, Ed Miliband, secrétaire d'État britannique à l'Énergie et au Changement Climatique à l'origine de la campagne, a déclaré qu'il prendrait en compte les observations de l'organisme de contrôle de la publicité. "La science nous dit qu'il est probable à plus de 90% que des épisodes climatiques extrêmes surviennent si nous ne faisons rien. Dans nos futures campagnes, comme l'a demandé l'Asa, nous préciserons clairement la nature de cette prédiction" a-t-il assuré.
Les affiches censurées font partie d'une campagne de sensibilisation entamée l'an dernier par le ministère britannique de l'Environnement, campagne qui a déjà fait l'objet d'un millier de plaintes
maxisciences
Ce plan de communication visait à détourner de célèbres comptines pour enfants, modifiant leur paroles pour sensibiliser le public aux impacts du réchauffement climatique. L'une des affiches reprenait ainsi une comptine, transformant son texte en : "Jack et Jill ont grimpé en haut de la colline pour aller chercher un seau d'eau. Mais il n'y en avait plus parce que la météo extrême due au changement climatique a provoqué une sécheresse". La légende accompagnant l'illustration de l'affiche ajoutait : "Les épisodes météo extrêmes comme les inondations, les vagues de chaleur et les tempêtes vont devenir plus fréquents et plus intenses".
Mais d'après l'Asa, cette campagne trop alarmiste ne reflète pas les incertitudes des experts du climat quant aux conséquences du changement climatique et une argumentation plus nuancée aurait dû être utilisée.
Suite à cette censure, Ed Miliband, secrétaire d'État britannique à l'Énergie et au Changement Climatique à l'origine de la campagne, a déclaré qu'il prendrait en compte les observations de l'organisme de contrôle de la publicité. "La science nous dit qu'il est probable à plus de 90% que des épisodes climatiques extrêmes surviennent si nous ne faisons rien. Dans nos futures campagnes, comme l'a demandé l'Asa, nous préciserons clairement la nature de cette prédiction" a-t-il assuré.
Les affiches censurées font partie d'une campagne de sensibilisation entamée l'an dernier par le ministère britannique de l'Environnement, campagne qui a déjà fait l'objet d'un millier de plaintes
maxisciences
dimanche 21 mars 2010
Lundi, journée mondiale de l'eau sur le thème de la qualité
La qualité de l'eau, dont dépendent la vie de millions de personnes dans le monde et l'équilibre des milieux naturels, a été choisie pour thème de la Journée mondiale de l'eau, lundi, qui est fêtée tous les 22 mars depuis 1993.
- Pourquoi une journée de l'eau? La journée a été adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies en 1992, l'année du Sommet de la Terre. Les Etats sont invités à mener des actions de sensibilisation. "Notre existence dépend de la manière dont nous protégeons la qualité de nos ressources en eau", affirme l'ONU.
- Qualité de l'eau: selon l'ONU, la qualité de l'eau se dégrade partout dans le monde, en raison surtout de l'urbanisation due à la croissance démographique, du rejet d'organismes pathogènes et de produits chimiques provenant des industries, de l'utilisation d'engrais et de pesticides dans l'agriculture et des déjections des élevages.
Les changements climatiques, en particulier la hausse des températures et les modifications du débit des fleuves, auront aussi un impact sur la qualité de l'eau.
- Accès à l'eau potable: 87% de la population mondiale a accès à l'eau potable, selon un rapport conjoint de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Unicef. Plus d'un tiers de ceux qui n'y ont pas accès vivent en Afrique subsaharienne.
- Toilettes, égouts: 39% de la population mondiale (plus de 2,6 milliards de personnes) ne dispose pas d'installations sanitaires de base. Comme pour l'accès à l'eau potable, l'Afrique subsaharienne est la plus touchée. La défécation à ciel ouvert concerne encore 17% de la population mondiale en 2008 (25% en 1990), occasionnant des maladies parfois mortelles (diarrhées...).
- Pollution: chaque jour 2 millions de tonnes d'eaux usées et autres effluents s'infiltrent dans les nappes phréatiques. Dans les pays en développement, plus de 90% des eaux d'égout et 70% des déchets industriels non traités sont déversés dans les eaux superficielles. "Il est beaucoup moins coûteux de protéger les ressources en eau que de procéder à leur épuration une fois qu'elles sont polluées", souligne l'ONU.
- Eau et santé: les maladies liées à la mauvaise qualité de l'eau sont notamment le choléra, la typhoïde, les diarrhées (4 milliards de cas par an liés à une eau impropre à la consommation), le trachome, la dysenterie, les hépatites. 1,5 million d'enfants de moins de 5 ans meurent chaque année à cause de diarrhées, dont 88% du fait de l'absence d'installations sanitaires correctes.
- Les objectifs du millénaire prévoyaient de réduire de moitié d'ici 2015 le nombre de personnes qui n'ont pas accès à l'eau potable ou ne disposent pas d'installations sanitaires de base. Cet objectif devrait être atteint pour l'accès à l'eau potable mais ne le sera pas, et de loin, pour les installations sanitaires. L'OMS estime que ce double objectif représenterait un gain annuel de 84,4 milliards de dollars (gain de temps, de productivité, économies budgétaires des services nationaux de santé).
AFP
- Pourquoi une journée de l'eau? La journée a été adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies en 1992, l'année du Sommet de la Terre. Les Etats sont invités à mener des actions de sensibilisation. "Notre existence dépend de la manière dont nous protégeons la qualité de nos ressources en eau", affirme l'ONU.
- Qualité de l'eau: selon l'ONU, la qualité de l'eau se dégrade partout dans le monde, en raison surtout de l'urbanisation due à la croissance démographique, du rejet d'organismes pathogènes et de produits chimiques provenant des industries, de l'utilisation d'engrais et de pesticides dans l'agriculture et des déjections des élevages.
Les changements climatiques, en particulier la hausse des températures et les modifications du débit des fleuves, auront aussi un impact sur la qualité de l'eau.
- Accès à l'eau potable: 87% de la population mondiale a accès à l'eau potable, selon un rapport conjoint de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Unicef. Plus d'un tiers de ceux qui n'y ont pas accès vivent en Afrique subsaharienne.
- Toilettes, égouts: 39% de la population mondiale (plus de 2,6 milliards de personnes) ne dispose pas d'installations sanitaires de base. Comme pour l'accès à l'eau potable, l'Afrique subsaharienne est la plus touchée. La défécation à ciel ouvert concerne encore 17% de la population mondiale en 2008 (25% en 1990), occasionnant des maladies parfois mortelles (diarrhées...).
- Pollution: chaque jour 2 millions de tonnes d'eaux usées et autres effluents s'infiltrent dans les nappes phréatiques. Dans les pays en développement, plus de 90% des eaux d'égout et 70% des déchets industriels non traités sont déversés dans les eaux superficielles. "Il est beaucoup moins coûteux de protéger les ressources en eau que de procéder à leur épuration une fois qu'elles sont polluées", souligne l'ONU.
- Eau et santé: les maladies liées à la mauvaise qualité de l'eau sont notamment le choléra, la typhoïde, les diarrhées (4 milliards de cas par an liés à une eau impropre à la consommation), le trachome, la dysenterie, les hépatites. 1,5 million d'enfants de moins de 5 ans meurent chaque année à cause de diarrhées, dont 88% du fait de l'absence d'installations sanitaires correctes.
- Les objectifs du millénaire prévoyaient de réduire de moitié d'ici 2015 le nombre de personnes qui n'ont pas accès à l'eau potable ou ne disposent pas d'installations sanitaires de base. Cet objectif devrait être atteint pour l'accès à l'eau potable mais ne le sera pas, et de loin, pour les installations sanitaires. L'OMS estime que ce double objectif représenterait un gain annuel de 84,4 milliards de dollars (gain de temps, de productivité, économies budgétaires des services nationaux de santé).
AFP
samedi 20 mars 2010
Biennale de l'habitat durable
Du 18 au 28 mars 2010, Grenoble accueille la troisième édition de la Biennale de l'habitat durable, consacrée à la question de la rénovation thermique des bâtiments . La marraine est cette année Françoise-Hélène Jourda , architecte de renom ayant intégré très tôt les notions de développement durable dans son travail.
Comment mieux construire, comment dépenser moins d'énergie, comment rénover pour dépenser moins de matériaux ? Ces questions seront bien sûr au cœur des différentes manifestations prévues : des expositions, des salons, des visites de sites, des journées de formation et de démonstration matériaux, des conférences et des tables rondes et la remise du Prix de l'habitat durable et du Prix européen de la rénovation thermique.
Séquencée en trois temps : la rénovation thermique, la formation, les rencontres européennes, la biennale s'adresse à l'ensemble des publics - particuliers, professionnels et acteurs de l'action publique. À ce titre, la Biennale privilégie la rencontre et les échanges entre les professionnels de l'habitat et de la construction et les entreprises et institutions locales.
Cliquez
http://www.biennalehabitatdurable.fr/
Comment mieux construire, comment dépenser moins d'énergie, comment rénover pour dépenser moins de matériaux ? Ces questions seront bien sûr au cœur des différentes manifestations prévues : des expositions, des salons, des visites de sites, des journées de formation et de démonstration matériaux, des conférences et des tables rondes et la remise du Prix de l'habitat durable et du Prix européen de la rénovation thermique.
Séquencée en trois temps : la rénovation thermique, la formation, les rencontres européennes, la biennale s'adresse à l'ensemble des publics - particuliers, professionnels et acteurs de l'action publique. À ce titre, la Biennale privilégie la rencontre et les échanges entre les professionnels de l'habitat et de la construction et les entreprises et institutions locales.
Cliquez
http://www.biennalehabitatdurable.fr/
vendredi 19 mars 2010
Déco verte
Cadres végétaux : Découvrez Small garden!
http://shopping.greenzer.fr/small+garden_s?sem=true
"Green into the city", les cadres végétaux Small garden, c'est la version concentrée des murs végétaux! A accrocher partout, ces tableaux végétaux dispensent avantageusement leur naturel dans tous les intérieurs aux lignes claires et épurées. Plusieurs modèles sont disponnibles: forestiers, exotiques, et même "dépolluant"... pour un petit air de nature et d'air pur en centre ville.Prix indicatif Small Garden:cadre végétal classique: 59 €, dépolluant XL: 69 €, Trio de cadres: 139 €. Vous trouverez aussi des tableaux végétaux chez Les jardins de Chloé!Et pour les adeptes des carrés de verdures, découvrez aussi les Carrés de Verdure Minigreen.
Les lampes design en verre recyclé de Jerry Kott.
L'artiste eco-designer Jerry Kott recycle le verre et réinvente le design green. Ces suspensions cristallines Khrysalis® en verre sont à la base des bouteilles en verre recyclées! Couleurs retravillées, verre poli, concept détourné et le tour et joué: ces luminaires épurées font des déchets de l'éco-design au style écolo-chic.Prix indicatif:de 190 à 490 $, soit environ 140 à 360 €! a retrouver sur le site de Jerry Kott.
Tadé Pays du Levant : passez en mode recyclé !
Eco-responsable, la marque Tadé Pays du Levant propose des produits de hamman: ghassoul, savon d'Alep, bougies... Mais la marque propose aussi des petites merveilles d'éco-design, à l'instar des ces corbeilles gigognes... en pneus recyclés. Paniers à linge, vides poches, elles trouvent vite leurs usages dans la maison écolo. Prix indicatif: 94,90€.Découvrez d'autres boîtes et corbeilles design disponnible chez Etikébo sur Greenzer.fr!
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Les lampes design en verre recyclé de Jerry Kott.
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Tadé Pays du Levant : passez en mode recyclé !
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jeudi 18 mars 2010
Du fer dans la mer pour piéger le CO2: dangereux, selon une étude
Le fait de "fertiliser" les océans avec du fer pour provoquer un développement du phytoplancton capable de "piéger" le gaz carbonique entraîne la multiplication d'une toxine dangereuse pour l'homme, selon une étude canadienne publiée lundi aux Etats-Unis.
Selon des chercheurs de l'Université Western Ontario, le fer entraîne la prolifération d'un plancton appelé pseudo-nitzschia qui produit de l'acide domoïque. Cette phycotoxine est à l'origine de l'empoisement amnésique aux fruits de mer, une maladie qui peut être mortelle après ingestion de crustacés ou de coquillages.
Pour cette étude, publiée par la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, les chercheurs ont examiné des échantillons d'eau provenant de régions proches de l'Arctique où des expériences de fertilisation par le fer avaient été menées.
Ils ont constaté que la présence du plancton pseudo-nitzschia avait doublé et que celle de l'acide domoïque était en hausse.
Pour l'heure, quelque 12 expériences de fertilisation océanique par le fer sont en cours à la surface du globe, la plupart dans le Pacifique, a indiqué à l'AFP le principal auteur de l'étude, Charles Trick.
L'étude soulève selon lui "de graves inquiétudes quant au bénéfice que l'on peut attendre de fertilisations au fer qui seraient menées à grande échelle".
Le fer qui se trouve en suspension dans certaines régions des océans joue un rôle important dans le cycle du carbone car il est nécessaire au phytoplancton, une algue microscopique, pour fixer ce carbone dans le cadre de la photosynthèse.
D'où l'idée de certains scientifiques de déverser des tonnes de flocons de ce métal en mer et provoquer ainsi artificiellement le développement de ces organismes, afin de piéger le gaz carbonique de l'atmosphère
AFP
Selon des chercheurs de l'Université Western Ontario, le fer entraîne la prolifération d'un plancton appelé pseudo-nitzschia qui produit de l'acide domoïque. Cette phycotoxine est à l'origine de l'empoisement amnésique aux fruits de mer, une maladie qui peut être mortelle après ingestion de crustacés ou de coquillages.
Pour cette étude, publiée par la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, les chercheurs ont examiné des échantillons d'eau provenant de régions proches de l'Arctique où des expériences de fertilisation par le fer avaient été menées.
Ils ont constaté que la présence du plancton pseudo-nitzschia avait doublé et que celle de l'acide domoïque était en hausse.
Pour l'heure, quelque 12 expériences de fertilisation océanique par le fer sont en cours à la surface du globe, la plupart dans le Pacifique, a indiqué à l'AFP le principal auteur de l'étude, Charles Trick.
L'étude soulève selon lui "de graves inquiétudes quant au bénéfice que l'on peut attendre de fertilisations au fer qui seraient menées à grande échelle".
Le fer qui se trouve en suspension dans certaines régions des océans joue un rôle important dans le cycle du carbone car il est nécessaire au phytoplancton, une algue microscopique, pour fixer ce carbone dans le cadre de la photosynthèse.
D'où l'idée de certains scientifiques de déverser des tonnes de flocons de ce métal en mer et provoquer ainsi artificiellement le développement de ces organismes, afin de piéger le gaz carbonique de l'atmosphère
AFP
mercredi 17 mars 2010
Le P’tit Chef Bio : la cuisine bio des enfants !
La cuisine bio ce n’est pas que pour les grands ! La preuve en image et en saveurs, grâce au livre de cuisine bio pour enfants de Cléa, et de Myriam Gauthier-Moreau : « Le P’tit Chef Bio ». Des recettes de cuisine bio et natures, faciles à réaliser... Et un univers illustré enchanté, pour aider les plus petits à se lancer : bref, un livre astucieux pour cuisiner bio en famille!
Né de l’univers coloré d’une artiste-photographe, Myriam Gauthier-Moreau, et de la passion pour la cuisine bio de Cléa, le P’tit Chef Bio c’est LE livre de cuisine bio pour les enfants. A la confluence du livre d’image, presque de conte et du livre de cuisine, le P’tit chef Bio, laisse la part belle à la fantaisie et à l'imaginaire culinaire, mais toujours sains et bio. Grâce aux 4 petits personnages de Myriam Gauthier-Moreau: Lili, Zoé, Léon et Max, les apprentis chef de cuisine bio sont guidés pas-à-pas dans l'univers merveilleux des saveurs naturelles!
Les ingrédients magiques des recettes de cuisines bio de Cléa!
En perspective dans le P'tit Chef Bio? 20 délicieuses recettes de cuisine bio, sucrées salées, entrées, plats, et desserts… Quelques exemples ? Des " tartelettes aux fraises de Grand-maman", le "taboulé des elfes farceurs", la "soupe aux paillettes d'or", ou les "petits pots qui font les babines violettes"…. Oubliez bonbons chimiques, Smarties et autres gourmandises attrayantes, certes, mais peu naturelles! Dans le P’tit Chef Bio, chaque recette de cuisine bio fait appel à des ingrédients venant de la nature (fruit, légumes...), et surtout de saison.
La cuisine Bio enfin ludique pour les enfants ?
"Ce sont les enfants qui sont sûrement les mieux à mêmes de s’approprier les ingrédients les plus étranges", dont est souvent composée la cuisine bio. "Peut-être même plus que les adultes » nous dit Cléa ! Mais il faut dire qu’avec le P’tit Chef Bio, le problème ne se pose même plus. Grâce à l’univers enchanté des petites marionnettes de Myriam Gauthier-Moreau, les ingrédients et la cuisine bio deviennent plus que ludiques : presque magiques. Et les recettes que Cléa, cette passionnée de cuisine bio et naturelle, nous propose sont si habiles que le désir de naturel naît de lui-même.
Alors, plus d’hésitations! Avec le P’tit chef bio, c’est en famille qu’on se lance dans la cuisine bio !
http://www.greenzer.fr/maigrir-bio-nutrition-2164
Né de l’univers coloré d’une artiste-photographe, Myriam Gauthier-Moreau, et de la passion pour la cuisine bio de Cléa, le P’tit Chef Bio c’est LE livre de cuisine bio pour les enfants. A la confluence du livre d’image, presque de conte et du livre de cuisine, le P’tit chef Bio, laisse la part belle à la fantaisie et à l'imaginaire culinaire, mais toujours sains et bio. Grâce aux 4 petits personnages de Myriam Gauthier-Moreau: Lili, Zoé, Léon et Max, les apprentis chef de cuisine bio sont guidés pas-à-pas dans l'univers merveilleux des saveurs naturelles!
Les ingrédients magiques des recettes de cuisines bio de Cléa!
En perspective dans le P'tit Chef Bio? 20 délicieuses recettes de cuisine bio, sucrées salées, entrées, plats, et desserts… Quelques exemples ? Des " tartelettes aux fraises de Grand-maman", le "taboulé des elfes farceurs", la "soupe aux paillettes d'or", ou les "petits pots qui font les babines violettes"…. Oubliez bonbons chimiques, Smarties et autres gourmandises attrayantes, certes, mais peu naturelles! Dans le P’tit Chef Bio, chaque recette de cuisine bio fait appel à des ingrédients venant de la nature (fruit, légumes...), et surtout de saison.
La cuisine Bio enfin ludique pour les enfants ?
"Ce sont les enfants qui sont sûrement les mieux à mêmes de s’approprier les ingrédients les plus étranges", dont est souvent composée la cuisine bio. "Peut-être même plus que les adultes » nous dit Cléa ! Mais il faut dire qu’avec le P’tit Chef Bio, le problème ne se pose même plus. Grâce à l’univers enchanté des petites marionnettes de Myriam Gauthier-Moreau, les ingrédients et la cuisine bio deviennent plus que ludiques : presque magiques. Et les recettes que Cléa, cette passionnée de cuisine bio et naturelle, nous propose sont si habiles que le désir de naturel naît de lui-même.
Alors, plus d’hésitations! Avec le P’tit chef bio, c’est en famille qu’on se lance dans la cuisine bio !
http://www.greenzer.fr/maigrir-bio-nutrition-2164
mardi 16 mars 2010
Cyclone aux îles Fidji: 10.000 personnes évacuées
Un puissant cyclone de catégorie 4 sur l'échelle graduée de un à cinq a frappé lundi le nord et l'est des îles Fidji, détruisant au moins 50 habitations, endommageant des récoltes et provoquant l'évacuation d'environ 10.000 personnes, ont annoncé les autorités locales. Lire la suite l'article
Pour l'heure, le seul décès recensé reste celui d'une jeune femme qui s'est noyée, emportée par une vague, dimanche à l'approche du cyclone, sur l'île de Vanua Levu (nord). Le directeur de l'Office national des Catastrophes, Pajiliai Dobui, a cependant évoqué «plusieurs décès» non confirmés. Le nombre des victimes n'a pu être confirmé par la police tant que les communications avec les îles touchées n'ont pas été rétablies, a-t-il ajouté.
Etat de catastrophe naturelle
«Le Conseil national des Catastrophes a déclaré l'état de catastrophe naturelle dans les divisions (administratives) du Nord et de l'Est», a indiqué Anthony Blake, un responsable de la gestion des catastrophes. «Jusqu'à maintenant, notre pointage fait état de plus de 50 habitations détruites, c'est un problème très grave. Nous nous attendons à ce que ces chiffres augmentent au cours des prochains jours», a-t-il ajouté.
Les autorités se sont dit particulièrement inquiètes au sujet des îles septentrionales de Cikobia et Qelelevu, avec lesquelles les communications sont coupées.
«Le cyclone devrait maintenir son intensité maximale pendant 12 heures environ»
Selon les services météorologiques de l'archipel, Tomas est accompagné de vents d'une vitesse moyenne de 175 km/h. En mer, il a provoqué des vagues de 7,20 m de haut et les navires ont été invités à éviter la zone. «Le cyclone devrait maintenir son intensité maximale pendant 12 heures environ avant de commencé à décliner», a indiqué mardi matin Rajendra Prasad, chef des services météorologiques.
http://20min.fr/a/391250
Pour l'heure, le seul décès recensé reste celui d'une jeune femme qui s'est noyée, emportée par une vague, dimanche à l'approche du cyclone, sur l'île de Vanua Levu (nord). Le directeur de l'Office national des Catastrophes, Pajiliai Dobui, a cependant évoqué «plusieurs décès» non confirmés. Le nombre des victimes n'a pu être confirmé par la police tant que les communications avec les îles touchées n'ont pas été rétablies, a-t-il ajouté.
Etat de catastrophe naturelle
«Le Conseil national des Catastrophes a déclaré l'état de catastrophe naturelle dans les divisions (administratives) du Nord et de l'Est», a indiqué Anthony Blake, un responsable de la gestion des catastrophes. «Jusqu'à maintenant, notre pointage fait état de plus de 50 habitations détruites, c'est un problème très grave. Nous nous attendons à ce que ces chiffres augmentent au cours des prochains jours», a-t-il ajouté.
Les autorités se sont dit particulièrement inquiètes au sujet des îles septentrionales de Cikobia et Qelelevu, avec lesquelles les communications sont coupées.
«Le cyclone devrait maintenir son intensité maximale pendant 12 heures environ»
Selon les services météorologiques de l'archipel, Tomas est accompagné de vents d'une vitesse moyenne de 175 km/h. En mer, il a provoqué des vagues de 7,20 m de haut et les navires ont été invités à éviter la zone. «Le cyclone devrait maintenir son intensité maximale pendant 12 heures environ avant de commencé à décliner», a indiqué mardi matin Rajendra Prasad, chef des services météorologiques.
http://20min.fr/a/391250
Libellés :
Phénomènes et catastrophes naturelles
Géothermie : toujours boudée par les Français ?
Les énergies éoliennes et solaires sont de plus en plus familières aux Français. En revanche, quid de la géothermie ? Energie renouvelable plebiscitée par le Grenelle de l’Environnement. Pourtant, elle ne crée toujours pas un fervent engouement de masse. Comment expliquer la stagnation de son développement en France, alors même que se posent toujours la question de l'indépendance énergétique du pays ?
La géothermie: une énergie d'avenir?
La géothermie est une ressource presque constante. Elle ne dépend aucunement ni des conditions climatiques, ni des variations du prix du brut. Cela en fait une ressource renouvelable très intéressante, au regard des énergies fossiles, et même des autres énergies renouvelables solaire et éolienne. La géothermie est gage d'une certaine indépendance énergétique : l'Indonésie et l'Islande l'ont bien compris, ces deux pays fonctionnent très majoritairement en géothermique.
Al'inverse du nucléaire, la géothermie n'hypothèque pas non plus l'avenir à coup de déchets . Avec la géothermie, il n'existe pas non plus de problèmes de vibrations perturbatrices des éco-systèmes alentours ou d'installations prédatrices du buccolisme des paysages, à l'inverse de l'éolien.
La géothermie, oui, mais pas partout !
Le problème majeur de la géothermie, c'est qu'elle n’est pas possible partout ! Contrairement aux éoliennes qui s’installent aujourd’hui très simplement jusque dans les jardins, et au solaire qui se démocratise sur les toits ou à la place des fenêtres, la géothermie, elle, est plus demandeuse d'expertises préalables et de démarches complexes. Une installation géothermique ne peut réellement être envisageable qu'apèrs étude des ressources en sous-sols. De plus, quand elle peut être envisagée, elle n'est pas nécessairement rentable!
La géothermie : toujours trop chère ?
Autre inconvénient majeur de la géothermie : l'investissement financier est très important! L'installation d'une pompe à chaleur géothermique peut ainsi frôler les 20 000 euros ! 20 000 euros qui ne seront pas amortis dans la durée, à l'inverse du solaire et de l'éolien. D'après le baromètre 2009 de l'ADEME, la géothermie est ainsi considérée comme trop onéreuse (37% des Français interrogés), tout autant que compliquée techniquement (37% aussi).
Développer et démocratiser la géothermie en France
L'Etat a donc sérieusement oeuvré depuis pour la démocratiser. Des actions de recherches et de développement ont été entreprises localement : création d'un département géothermie par le BRGM et l'ADEME, nouveaux forages en île de France (nappe du Dogger), expérience de géothermie des roches Fracturées à Soultz-sous-Forêt avec EDF et le soutien de l'ADEME...
Par ailleurs, pour les particuliers, des aides financières diverses et des éco-prêts à taux zéro ont ausi été proposées pour la géothermie. Sans grand résultat cependant : les Français continuent dans leur ensemble de bouder cette ressource d'énergie renouvelable.
Greenzer
La géothermie: une énergie d'avenir?
La géothermie est une ressource presque constante. Elle ne dépend aucunement ni des conditions climatiques, ni des variations du prix du brut. Cela en fait une ressource renouvelable très intéressante, au regard des énergies fossiles, et même des autres énergies renouvelables solaire et éolienne. La géothermie est gage d'une certaine indépendance énergétique : l'Indonésie et l'Islande l'ont bien compris, ces deux pays fonctionnent très majoritairement en géothermique.
Al'inverse du nucléaire, la géothermie n'hypothèque pas non plus l'avenir à coup de déchets . Avec la géothermie, il n'existe pas non plus de problèmes de vibrations perturbatrices des éco-systèmes alentours ou d'installations prédatrices du buccolisme des paysages, à l'inverse de l'éolien.
La géothermie, oui, mais pas partout !
Le problème majeur de la géothermie, c'est qu'elle n’est pas possible partout ! Contrairement aux éoliennes qui s’installent aujourd’hui très simplement jusque dans les jardins, et au solaire qui se démocratise sur les toits ou à la place des fenêtres, la géothermie, elle, est plus demandeuse d'expertises préalables et de démarches complexes. Une installation géothermique ne peut réellement être envisageable qu'apèrs étude des ressources en sous-sols. De plus, quand elle peut être envisagée, elle n'est pas nécessairement rentable!
La géothermie : toujours trop chère ?
Autre inconvénient majeur de la géothermie : l'investissement financier est très important! L'installation d'une pompe à chaleur géothermique peut ainsi frôler les 20 000 euros ! 20 000 euros qui ne seront pas amortis dans la durée, à l'inverse du solaire et de l'éolien. D'après le baromètre 2009 de l'ADEME, la géothermie est ainsi considérée comme trop onéreuse (37% des Français interrogés), tout autant que compliquée techniquement (37% aussi).
Développer et démocratiser la géothermie en France
L'Etat a donc sérieusement oeuvré depuis pour la démocratiser. Des actions de recherches et de développement ont été entreprises localement : création d'un département géothermie par le BRGM et l'ADEME, nouveaux forages en île de France (nappe du Dogger), expérience de géothermie des roches Fracturées à Soultz-sous-Forêt avec EDF et le soutien de l'ADEME...
Par ailleurs, pour les particuliers, des aides financières diverses et des éco-prêts à taux zéro ont ausi été proposées pour la géothermie. Sans grand résultat cependant : les Français continuent dans leur ensemble de bouder cette ressource d'énergie renouvelable.
Greenzer
lundi 15 mars 2010
La région Rhône-Alpes sacrée région la plus plus verte de France
En matière de développement durable, c'est dans le sud de la France que les régions sont les plus vertueuses. Rhône-Alpes est en effet la région la plus verte, suivie du Midi-Pyrénées et du Limousin, d'après le bilan de Terra Eco.
Plusieurs critères tels que l'économie, la politique sociale et environnementale, les pratiques agricoles, le nombre de chercheurs ou la part des espaces protégés, ont été pris en compte pour établir ce classement qui épingle la Haute-Normandie, la Picardie, le Nord-Pas-de-Calais et la Champagne-Ardennes, désignées régions les moins vertes de France. "Globalement, les régions du Nord-Est de la France partent avec quelques handicaps. Les régions qui ont opté pour des pratiques agricoles intensives après-guerre se retrouvent aussi en situation délicate du point de vue environnemental" souligne Terra Eco.
L'enquête précise toutefois que les écarts qui séparent les premières et dernières régions sont relativement "faibles". Ainsi, 19e du classement, le Nord-Pas-de-Calais se trouve pénalisé par "un développement économique longtemps guidé par l'État et ancré sur des industries polluantes comme le charbon et la métallurgie". Parallèlement, il s'agit de la première région à avoir créé un parc naturel régional et à s'être engagée dans un plan de développement durable.
Autre information surprenante : le Limousin, désignée comme la troisième région la plus verte de France, est celle qui consacre le budget le plus faible à l'environnement (0,8% de son budget global en moyenne sur les cinq dernières années).
Maxisciences
Plusieurs critères tels que l'économie, la politique sociale et environnementale, les pratiques agricoles, le nombre de chercheurs ou la part des espaces protégés, ont été pris en compte pour établir ce classement qui épingle la Haute-Normandie, la Picardie, le Nord-Pas-de-Calais et la Champagne-Ardennes, désignées régions les moins vertes de France. "Globalement, les régions du Nord-Est de la France partent avec quelques handicaps. Les régions qui ont opté pour des pratiques agricoles intensives après-guerre se retrouvent aussi en situation délicate du point de vue environnemental" souligne Terra Eco.
L'enquête précise toutefois que les écarts qui séparent les premières et dernières régions sont relativement "faibles". Ainsi, 19e du classement, le Nord-Pas-de-Calais se trouve pénalisé par "un développement économique longtemps guidé par l'État et ancré sur des industries polluantes comme le charbon et la métallurgie". Parallèlement, il s'agit de la première région à avoir créé un parc naturel régional et à s'être engagée dans un plan de développement durable.
Autre information surprenante : le Limousin, désignée comme la troisième région la plus verte de France, est celle qui consacre le budget le plus faible à l'environnement (0,8% de son budget global en moyenne sur les cinq dernières années).
Maxisciences
dimanche 14 mars 2010
États-Unis - Canada : la guerre de l'ours blanc
Washington veut interdire à Ottawa d'autoriser les non-Inuits à chasser l'ours polaire. Ottawa répond à Washington de se mêler de ses affaires. Ah qu'on aime ces petites guerres intestines à l'Amérique ! On s'en amuserait presque, si la survie de l'ours polaire n'était pas en jeu. Il en reste entre 20.000 et 25.000, disséminés entre l'Alaska, le Canada, le Groenland, la Norvège et la Russie. C'est bien moins que l'éléphant, que la baleine ou encore le gorille qui font l'objet de protections solides, notamment d'une interdiction de commerce internationale. Or l'ours polaire continue à être chassé. Chaque année, environ 700 chasseurs, Inuits et étrangers, abattent un ours blanc. L'icône du réchauffement terrestre continue à se faire tirer dessus comme un vulgaire lapin ! Pas en Norvège ni en Russie, qui en ont interdit la chasse depuis un demi-siècle (hormis le braconnage qui, selon le WWF, tuerait 200 ours russes chaque année), mais en Alaska, au Groenland et surtout au Canada. Pour des motifs culturels, les Inuits sont autorisés à vendre la peau de l'ours blanc après l'avoir abattu.
Le gros problème, qui reste en travers de la gorge des Américains et surtout des organisations de protection animale américaines, c'est qu'Ottawa autorise les Inuits à revendre leurs autorisations de chasse. Il y a une fortune à se faire : certains rois de la gâchette sont prêts à débourser plus de 10.000 dollars pour s'offrir ce petit plaisir. Chaque année, ils étaient ainsi plusieurs dizaines de chasseurs américains à s'embarquer pour une petite balade en traîneau, assassine. Mais patatras ! En 2008, Washington interdisait l'importation de trophées. Du coup, l'année suivante, les chasseurs américains ont déserté la banquise (vite remplacés par les Japonais). À quoi sert de tuer un ours, si on ne peut pas en ramener la peau à la maison pour impressionner ses voisins ou pour faire l'amour à sa femme dessus ?
Tuer l'icône du réchauffement climatique restera certainement autorisé
Mais Washington ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. À Doha, pour la 15e session de la CITES, les États-Unis proposent un classement en annexe 1 de l'ours polaire pour dégoûter les chasseurs non inuits. Inutile de dire que le Canada l'a plutôt mauvaise et fait feu de tout bois pour contrecarrer la proposition américaine. Ce qui est absolument savoureux, c'est que le Canada a trouvé du renfort auprès de plusieurs grandes ONG de conservation (Traffic) et même du secrétariat du CITES. Effectivement, malgré la chasse, la population d'ours polaires n'a pas vraiment régressé depuis 15 ans. Si bien que l'espèce ne remplit aucun des trois critères nécessaires pour avoir les honneurs de l'annexe 1, à savoir une population de moins de 5.000 individus, une baisse rapide des effectifs au cours des dernières années, ou encore une importante diminution du territoire fréquenté.
En fait, les ONG soupçonnent les États-Unis de machiavélisme. En prenant la défense de l'ours blanc, Washington ne chercherait qu'à reverdir son image déplorable pour avoir fait échouer la conférence de Copenhague sur le climat. Or les écologistes et les biologistes affirment que la véritable épée de Damoclès qui menace l'ours polaire, ce n'est pas la chasse, mais le réchauffement de la banquise. Sa disparition programmée pour la fin du siècle condamnera définitivement l'ours polaire sauvage, car il en restera toujours quelques centaines dans les zoos.
Bref, même si les États-Unis trouvent quelques pays pour soutenir leur proposition à Doha, il est peu probable qu'ils obtiendront les deux tiers des votes (sur 175) nécessaires. Que les chasseurs du monde entier se rassurent : ils pourront continuer à défier le plus grand carnivore de la planète. Tuer l'icône du réchauffement climatique restera certainement autorisé. Dans quel monde on vit...
le Point
Le gros problème, qui reste en travers de la gorge des Américains et surtout des organisations de protection animale américaines, c'est qu'Ottawa autorise les Inuits à revendre leurs autorisations de chasse. Il y a une fortune à se faire : certains rois de la gâchette sont prêts à débourser plus de 10.000 dollars pour s'offrir ce petit plaisir. Chaque année, ils étaient ainsi plusieurs dizaines de chasseurs américains à s'embarquer pour une petite balade en traîneau, assassine. Mais patatras ! En 2008, Washington interdisait l'importation de trophées. Du coup, l'année suivante, les chasseurs américains ont déserté la banquise (vite remplacés par les Japonais). À quoi sert de tuer un ours, si on ne peut pas en ramener la peau à la maison pour impressionner ses voisins ou pour faire l'amour à sa femme dessus ?
Tuer l'icône du réchauffement climatique restera certainement autorisé
Mais Washington ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. À Doha, pour la 15e session de la CITES, les États-Unis proposent un classement en annexe 1 de l'ours polaire pour dégoûter les chasseurs non inuits. Inutile de dire que le Canada l'a plutôt mauvaise et fait feu de tout bois pour contrecarrer la proposition américaine. Ce qui est absolument savoureux, c'est que le Canada a trouvé du renfort auprès de plusieurs grandes ONG de conservation (Traffic) et même du secrétariat du CITES. Effectivement, malgré la chasse, la population d'ours polaires n'a pas vraiment régressé depuis 15 ans. Si bien que l'espèce ne remplit aucun des trois critères nécessaires pour avoir les honneurs de l'annexe 1, à savoir une population de moins de 5.000 individus, une baisse rapide des effectifs au cours des dernières années, ou encore une importante diminution du territoire fréquenté.
En fait, les ONG soupçonnent les États-Unis de machiavélisme. En prenant la défense de l'ours blanc, Washington ne chercherait qu'à reverdir son image déplorable pour avoir fait échouer la conférence de Copenhague sur le climat. Or les écologistes et les biologistes affirment que la véritable épée de Damoclès qui menace l'ours polaire, ce n'est pas la chasse, mais le réchauffement de la banquise. Sa disparition programmée pour la fin du siècle condamnera définitivement l'ours polaire sauvage, car il en restera toujours quelques centaines dans les zoos.
Bref, même si les États-Unis trouvent quelques pays pour soutenir leur proposition à Doha, il est peu probable qu'ils obtiendront les deux tiers des votes (sur 175) nécessaires. Que les chasseurs du monde entier se rassurent : ils pourront continuer à défier le plus grand carnivore de la planète. Tuer l'icône du réchauffement climatique restera certainement autorisé. Dans quel monde on vit...
le Point
samedi 13 mars 2010
Calculez votre empreinte en CO2
Les gouvernements européens se sont attelés ensemble à lutter contre le changement climatique et à réduire les émissions de CO2 de l'UE. Cependant, pour faire une vraie différence, nous devons tous réfléchir à notre impact personnel sur l'environnement et prendre des mesures pour réduire notre empreinte en CO2.
Notre Calculatrice de CO2 vous propose diverses idées pour réduire votre empreinte en CO2 grâce à des changements simples de vos habitudes. La plupart sont minimes et vous ne les remarquerez sans doute même pas, mais si tous les Européens adoptaient ne fût-ce que quelques bonnes habitudes, cela aurait un impact énorme.
Pour découvrir quelle quantité de CO2 vous pourriez économiser, marquez simplement les changements que vous seriez disposé à adopter dans chacune de nos quatre catégories. Notre calculatrice calculera ensuite combien de kg de CO2 vous pouvez économiser par an et vous proposera de vous engager publiquement à réduire votre
empreinte en CO2
Calculez votre empreinte CO2...Cliquez...
http://extras.lachaineverte.fr.msn.com/carbon/carboncalculator1.asp
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Pour découvrir quelle quantité de CO2 vous pourriez économiser, marquez simplement les changements que vous seriez disposé à adopter dans chacune de nos quatre catégories. Notre calculatrice calculera ensuite combien de kg de CO2 vous pouvez économiser par an et vous proposera de vous engager publiquement à réduire votre
empreinte en CO2
Calculez votre empreinte CO2...Cliquez...
http://extras.lachaineverte.fr.msn.com/carbon/carboncalculator1.asp
vendredi 12 mars 2010
L'"Arche de Noé verte" de l'Arctique passe le cap des 500.000 variétés
La banque de semences végétales de l'archipel arctique du Svalbard, surnommée l'"Arche de Noé verte", a franchi jeudi le cap des 500.000 variétés, devenant la collection de graines la plus variée au monde, ont annoncé ses responsables.
Enfouie dans une montagne de Longyearbyen, chef-lieu de l'archipel norvégien situé à un millier de kilomètres du pôle Nord, la réserve de semences vise à protéger la biodiversité végétale menacée par le changement climatique, les guerres et les catastrophe naturelles.
Jeudi, la chambre forte a notamment accueilli les graines d'un haricot sauvage du Costa Rica censé résister à un champignon dévastateur et celles d'une fraise sauvage recueillie sur le flanc d'un volcan des îles russes Sakhaline après une expédition de trois jours dans une région infestée d'ours.
"Atteindre le cap du demi-million suscite des émotions mitigées parce que, si cela montre que la banque de semences du Svalbard est maintenant l'étalon-or de la diversité, cela se produit aussi à un moment où notre agriculture est sur le fil du rasoir", a estimé Cary Fowler, le Canadien qui a pris l'initiative du projet.
"Si les espèces végétales et l'agriculture ne s'adaptent pas au changement climatique, l'humanité ne le pourra pas non plus", a ajouté le directeur du Fonds mondial pour la diversité des cultures (GCDT) dans un communiqué.
Selon les experts, la diversité est indispensable pour mettre au point des cultures plus résistantes, moins gourmandes en eau et en engrais, aptes à s'adapter au réchauffement climatique et plus nutritives alors qu'on estime à 9 milliards le nombre de bouches à nourrir à l'horizon 2050.
La réserve de semences du Svalbard fonctionne comme un filet de sécurité: elle conserve dans des conditions optimales, à -18°C, des doubles de graines stockées dans les 1.400 banques de gènes existantes, lesquelles ne sont pas toujours en très bon état.
Elle peut accueillir jusqu'à 4,5 millions d'échantillons, qui restent la propriété de ceux qui les y ont déposés.
msn actualités
Enfouie dans une montagne de Longyearbyen, chef-lieu de l'archipel norvégien situé à un millier de kilomètres du pôle Nord, la réserve de semences vise à protéger la biodiversité végétale menacée par le changement climatique, les guerres et les catastrophe naturelles.
Jeudi, la chambre forte a notamment accueilli les graines d'un haricot sauvage du Costa Rica censé résister à un champignon dévastateur et celles d'une fraise sauvage recueillie sur le flanc d'un volcan des îles russes Sakhaline après une expédition de trois jours dans une région infestée d'ours.
"Atteindre le cap du demi-million suscite des émotions mitigées parce que, si cela montre que la banque de semences du Svalbard est maintenant l'étalon-or de la diversité, cela se produit aussi à un moment où notre agriculture est sur le fil du rasoir", a estimé Cary Fowler, le Canadien qui a pris l'initiative du projet.
"Si les espèces végétales et l'agriculture ne s'adaptent pas au changement climatique, l'humanité ne le pourra pas non plus", a ajouté le directeur du Fonds mondial pour la diversité des cultures (GCDT) dans un communiqué.
Selon les experts, la diversité est indispensable pour mettre au point des cultures plus résistantes, moins gourmandes en eau et en engrais, aptes à s'adapter au réchauffement climatique et plus nutritives alors qu'on estime à 9 milliards le nombre de bouches à nourrir à l'horizon 2050.
La réserve de semences du Svalbard fonctionne comme un filet de sécurité: elle conserve dans des conditions optimales, à -18°C, des doubles de graines stockées dans les 1.400 banques de gènes existantes, lesquelles ne sont pas toujours en très bon état.
Elle peut accueillir jusqu'à 4,5 millions d'échantillons, qui restent la propriété de ceux qui les y ont déposés.
msn actualités
jeudi 11 mars 2010
Pourra-t-on ressusciter des espèces d'oiseaux disparues ?
L'oiseau géant moa, ou "Dinornis", un cousin de l'autruche, pouvait atteindre quatre mètres de hauteur. Pas vraiment le genre d'animal de basse-cour qu'on aimerait croiser au coin d'un bois... Mais, chassé par les Maori de Nouvelle-Zélande, il a disparu à la fin du XVIIIe siècle. L'oiseau-éléphant, ou "Aepyornis" de son nom de scène, était pour sa part le plus lourd oiseau ayant jamais existé sur Terre. Il a disparu de Madagascar vers 1700 à la suite de la colonisation européenne. Mais si ces deux phénomènes de la nature sont aujourd'hui des souvenirs, leur ADN existe encore. Des scientifiques australiens ont annoncé mercredi qu'ils avaient réussi à l'extraire depuis... des coquilles d'oeufs fossilisées. "Une source jusque-là méconnue d'ADN ancien", expliquent en coeur Michael Bunce, de la Murdoch University, à Perth, et ses collègues dans la revue scientifique britannique Proceedings of the Royal Society B.
Par le passé, les oeufs fossilisés ont déjà été largement utilisés pour reconstruire l'écologie, l'alimentation ancienne de certaines espèces, voire pour retracer une chronologie. Mais c'est seulement récemment que de l'ADN a pu en être extrait. Pour examiner dans quelle mesure ce matériel génétique est préservé dans les coquilles fossiles, l'équipe de Michael Bunce a analysé 18 fragments d'oeufs provenant de 13 sites en Australie, à Madagascar et en Nouvelle Zélande. "Nos données démontrent l'excellente préservation des acides nucléiques" (les composants de l'ADN) provenant, pour de nombreux échantillons, à la fois de l'ADN mitochondrial (spécifique aux centrales à énergie des cellules) et du principal ADN blotti au coeur du noyau des cellules", concluent les chercheurs.
"Pas éthique de recréer une espèce éteinte"
Si l'on prend le cas du matériel génétique extrait de coquilles d'oeufs de moa, il s'est révélé de bien meilleure qualité que celui provenant des sources utilisées auparavant, en l'occurrence des os : les "coquilles d'oeufs de moa contiennent approximativement 125 fois moins" de bactéries que les os, ce qui en fait un matériau très adapté pour des analyses génétiques, soulignent les chercheurs.
Mais pour les scientifiques, il n'est pas question de ressusciter les espèces éteintes comme le moa et l'oiseau-éléphant. "Nous pouvons réassembler le génome pour avoir une idée d'à quoi ressemblait une espèce éteinte. Mais (la ressusciter) reste du domaine de la science-fiction", souligne Michael. Et pour sa collègue Charlotte Oskam, il ne serait tout simplement "pas éthique de recréer une espèce éteinte". Les chercheurs, qui tentaient seulement de valider la technique utilisée, n'ont d'ailleurs extrait qu'une infime partie (moins de 1%) de l'ADN du moa, de l'oiseau-éléphant, ou d'un émeu ("Dromaius novaehollandiae") datant de 19.000 ans, le plus vieil oeuf fossile dont ils ont réussi à tirer du matériel génétique. TF1NEWS
Par le passé, les oeufs fossilisés ont déjà été largement utilisés pour reconstruire l'écologie, l'alimentation ancienne de certaines espèces, voire pour retracer une chronologie. Mais c'est seulement récemment que de l'ADN a pu en être extrait. Pour examiner dans quelle mesure ce matériel génétique est préservé dans les coquilles fossiles, l'équipe de Michael Bunce a analysé 18 fragments d'oeufs provenant de 13 sites en Australie, à Madagascar et en Nouvelle Zélande. "Nos données démontrent l'excellente préservation des acides nucléiques" (les composants de l'ADN) provenant, pour de nombreux échantillons, à la fois de l'ADN mitochondrial (spécifique aux centrales à énergie des cellules) et du principal ADN blotti au coeur du noyau des cellules", concluent les chercheurs.
"Pas éthique de recréer une espèce éteinte"
Si l'on prend le cas du matériel génétique extrait de coquilles d'oeufs de moa, il s'est révélé de bien meilleure qualité que celui provenant des sources utilisées auparavant, en l'occurrence des os : les "coquilles d'oeufs de moa contiennent approximativement 125 fois moins" de bactéries que les os, ce qui en fait un matériau très adapté pour des analyses génétiques, soulignent les chercheurs.
Mais pour les scientifiques, il n'est pas question de ressusciter les espèces éteintes comme le moa et l'oiseau-éléphant. "Nous pouvons réassembler le génome pour avoir une idée d'à quoi ressemblait une espèce éteinte. Mais (la ressusciter) reste du domaine de la science-fiction", souligne Michael. Et pour sa collègue Charlotte Oskam, il ne serait tout simplement "pas éthique de recréer une espèce éteinte". Les chercheurs, qui tentaient seulement de valider la technique utilisée, n'ont d'ailleurs extrait qu'une infime partie (moins de 1%) de l'ADN du moa, de l'oiseau-éléphant, ou d'un émeu ("Dromaius novaehollandiae") datant de 19.000 ans, le plus vieil oeuf fossile dont ils ont réussi à tirer du matériel génétique. TF1NEWS
mercredi 10 mars 2010
Les lynx ibériques menacés par une mystérieuse infection des reins
Le lynx ibérique, espèce en danger emblématique de la péninsule ibérique, est aujourd'hui menacé par une mystérieuse infection des reins qui semble s'attaquer aux seuls animaux élevés en captivité, a-t-on appris mardi auprès de l'organisme public espagnol chargé de sa protection.
Cette maladie chronique, d'origine inconnue, a provoqué la mort depuis décembre de trois lynx, tous élevés en captivité dans le cadre du programme engagé en 2003 pour sauver cette espèce de l'extinction.
Plus d'un tiers des 72 animaux actuellement élevés en captivité dans le cadre de ce programme de conservation, ont présenté des symptômes conduisant à penser qu'ils souffrent de cette "infection rénale chronique", selon l'organisme pour la conservation du lynx ibérique.
Les vétérinaires et techniciens des deux centres de conservation du lynx que compte l'Espagne "sont au travail, en collaboration avec des spécialistes, pour déterminer l'origine" de cette maladie et "éviter l'apparition de nouveaux cas", explique l'organisme dans un communiqué.
Le programme de conservation vise à élever suffisamment de ces félins en captivité pour pouvoir les relâcher dans la nature. La réintroduction devait démarrer cette année.
On estime à 200 le nombre de lynx vivant actuellement à l'état sauvage, la plupart dans des parcs naturels du sud de l'Espagne. Ils étaient environ 100.000 au début du 20e siècle en Espagne et au Portugal.
L'urbanisation, la chasse et surtout une maladie affectant les lapins, la principal proie de ces félins, a provoqué la chute dramatique de la population de lynx ibériques
L'Express
mardi 9 mars 2010
Le Grèce frappée par un séisme
Une secousse tellurique d'une magnitude de 4,3 sur l'échelle ouverte de Richter a été enregistrée, mardi 9 mars au matin, en mer, entre les îles d'Eubée et de Skopelos, au nord d'Athènes, sans provoquer de dégâts, a annoncé l'Institut de géodynamique de l'Observatoire national d'Athènes. L'épicentre de la secousse, enregistrée à 4 h 55, heure locale (3 h 55, heure française), était situé à 100 kilomètre au nord de la capitale grecque, où le séisme a été ressenti.
Selon les sismologues, une première secousse d'une magnitude 4 avait été enregistrée une heure plus tôt avec le même épicentre, un phénomène qualifié de routinier pour cette zone. La moitié des secousses telluriques du continent sont enregistrées en Grèce, ce qui en fait le pays d'Europe le plus exposé aux séismes.
Le Monde.fr
Selon les sismologues, une première secousse d'une magnitude 4 avait été enregistrée une heure plus tôt avec le même épicentre, un phénomène qualifié de routinier pour cette zone. La moitié des secousses telluriques du continent sont enregistrées en Grèce, ce qui en fait le pays d'Europe le plus exposé aux séismes.
Le Monde.fr
Libellés :
Phénomènes et catastrophes naturelles
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greenzer
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lundi 8 mars 2010
Tremblement de terre en Turquie
Cinquante sept personnes ont été tuées et une cinquantaine blessées dans un séisme de magnitude 6 sur l'échelle de Richter, qui a frappé lundi à 4h32 locales (3h32 à Paris) la province d'Elazig, dans l'est de la Turquie, à 750 km à l'est de la capitale Ankara. Ce bilan officiel a été communiqué par le vice-premier ministre turc Cemil Ciçek.
Les recherches ont pris fin en milieui de journée, huit heures après la secousse, les secouristes ayant constaté qu'il ne restait aucun survivant sous les décombres.
Les victimes ont été recensées dans cinq villages, dont ceux d'Okcular, Yukari Kanatli et Kayali, où l'essentiel des habitations sont construites en pisé et peu résistantes aux secousses. Les habitants ont été surpris dans leur sommeil. De nombreuses têtes de bétail ont également péri. Les morts devaient être enterrés dans la journée, comme le veut la tradition musulmane.
Dans un froid glacial, des équipes de secouristes sont intervenues pour rechercher des survivants et transporter les blessés vers les hôpitaux d'Elazig. Une équipe du Croissant rouge turc également arrivée dans ce village a distribué des couvertures et des repas chauds aux villageois qui ont participé aux travaux de secours. Quatre ministres devaient arriver dans la journée dans la zone sinistrée pour une mission d'inspection.
Plusieurs dizaines de répliques ont été enregistrées dans la région.
Les tremblements de terre meurtriers sont fréquents en Turquie, un pays traversé par plusieurs failles sismiques actives. Deux séismes avaient fait 20.000 morts en août et novembre 1999 dans le nord-ouest densément peuplé.
Le parisien
Les recherches ont pris fin en milieui de journée, huit heures après la secousse, les secouristes ayant constaté qu'il ne restait aucun survivant sous les décombres.
Les victimes ont été recensées dans cinq villages, dont ceux d'Okcular, Yukari Kanatli et Kayali, où l'essentiel des habitations sont construites en pisé et peu résistantes aux secousses. Les habitants ont été surpris dans leur sommeil. De nombreuses têtes de bétail ont également péri. Les morts devaient être enterrés dans la journée, comme le veut la tradition musulmane.
Dans un froid glacial, des équipes de secouristes sont intervenues pour rechercher des survivants et transporter les blessés vers les hôpitaux d'Elazig. Une équipe du Croissant rouge turc également arrivée dans ce village a distribué des couvertures et des repas chauds aux villageois qui ont participé aux travaux de secours. Quatre ministres devaient arriver dans la journée dans la zone sinistrée pour une mission d'inspection.
Plusieurs dizaines de répliques ont été enregistrées dans la région.
Les tremblements de terre meurtriers sont fréquents en Turquie, un pays traversé par plusieurs failles sismiques actives. Deux séismes avaient fait 20.000 morts en août et novembre 1999 dans le nord-ouest densément peuplé.
Le parisien
Santé : les lampes basse consommation font débat
D' ici à 2012, les lampes classiques à incandescence auront disparu du marché et seront notamment remplacées par les lampes fluocompactes basse consommation (LBC). Une alternative qui ne réjouit guère le Criirem. Son Président, le docteur en physiologie Pierre Le Ruz, expert européen en énergie et santé, met en garde contre les risques de ces lampes sur la santé.
Vous remettez en cause les lampes fluocompactes. Pour quelles raisons ?
Pierre Le Ruz : Plusieurs études ont mis en évidence les risques liés à l’uilisation des ampoules fluocompactes. Dès 2002, l’INERIS* a noté que ces lampes étaient des émetteurs parasites. En 2007, suite à des bancs d’essais réalisés par le CRIIREM, en partenariat avec notre homologue espagnol Arca Ibérica, nous avons conclu qu’une fois allumées, les ampoules à économie d’énergie émettaient de forts rayonnements radioélectriques, contrairement aux ampoules à incandescence classiques qui n’en émettent pas. Les valeurs variant de 180 volts par mètre (V/m) à 4 V/m dans les 2o premiers centimètres, pour des puissances allant de 20 à 11 watts, avec des pics à 300 v/m à l’allumage ! Ces mesures se situent bien au dessus des normes européennes : une recommandation du Parlement européen de 1998 préconise en effet le seuil de 1 v/m à ne pas dépasser. La directive de 2004 liée à la compatibilité électromagnétique fixe des niveaux allant de 3 V/m, à 10 V/m. Le rayonnement de ces lampes et le problème lié à leur bruit de fond que nous avons mis en évidence, ont été confirmés en 2008, dans des études de SUPELEC et du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).
Quels sont les impacts de ces dépassements ?
L’électropollution induites par ces lampes fluocompactes peut provoquer des dysfonctionnements au niveau des appareils électriques et électroniques placés à proximité (ordinateur, TV, radio, téléphone portable). Cela peut aussi créer des perturbations chez les personnes portant des dispositifs d’assistance médicale. Nous avons pu le valider lors d’une expertise demandée par des médecins dont des patients équipés de pacemakers se plaignaient de dysfonctionnements de leur appareillage. Enfin, il ne faut pas oublier que chaque lampe fluocompacte contient près de 3 mg de mercure. En cas de bris d’ampoule, il convient donc d’aérer rapidement, et de jeter l’ampoule dans une poubelle prévue à cet effet.
Quels sont les effets des lampes fluocompactes sur la santé ?
Cette « électropollution » représente un risque évident sur la santé. D’une façon générale, les effets des ondes électromagnétiques ont été prouvés depuis longtemps : troubles du sommeil, agressivité ou apathie, perte de mémoire, malaises, migraines, arythmies, fourmillements, rougeurs, nausées, troubles de la concentration, palpitations…. Ces sources de fatigue nuisent à l’attention et favorisent l’absentéisme au travail. Avec l’explosion des nouvelles technologies dans le cadre professionnel, de plus en plus de salariés affectés par ces maux portent plainte devant les tribunaux pour faire reconnaître leur « électro-hypersensibilité ». Des études ont aussi démontré des désordres au niveau immunitaire et sanguin : manque d’adrénaline, hausse des protéines de stress, anomalie des leucocytes, baisse de la mélatonine. A long terme, les risques de leucémies et de tumeurs du cerveau seraient multipliés par trois. Même si on ne connaît pas encore précisément les effets de ces lampes fluocompactes sur la santé, le principe de précaution impose d’en limiter l’usage, en évitant de les utiliser en lampe de chevet ou de bureau et de s’en éloigner de plus d’un mètre pour une station prolongée.
Quelles solutions préconisez-vous ?
Avant tout, le CRIIREM n’est pas favorable à la disparition totale des lampes à incandescence sur le marché. Pour ce qui est de ces lampes fluocompactes, des efforts doivent être entrepris pour en améliorer la conception. Certains fabricants commencent à s’en préoccuper, en travaillant notamment sur le blindage du culot. Mais il reste beaucoup à faire ! Par exemple, il est possible de modifier le circuit et le vernis de ces lampes, afin d’en réduire les rayonnements. En attendant ces progrès, mieux vaut opter pour les LED (diodes électro-luminescentes), qui apparaissent sur le marché. Bien que ces lampes doivent être améliorées, elles présentent des avantages : elles ne posent pas de problème d’ondes électromagnétiques, elles ne contiennent pas de mercure et ont une durée de vie supérieure aux lampes fluocompactes. Seul point noir ? Leur coût
Vous remettez en cause les lampes fluocompactes. Pour quelles raisons ?
Pierre Le Ruz : Plusieurs études ont mis en évidence les risques liés à l’uilisation des ampoules fluocompactes. Dès 2002, l’INERIS* a noté que ces lampes étaient des émetteurs parasites. En 2007, suite à des bancs d’essais réalisés par le CRIIREM, en partenariat avec notre homologue espagnol Arca Ibérica, nous avons conclu qu’une fois allumées, les ampoules à économie d’énergie émettaient de forts rayonnements radioélectriques, contrairement aux ampoules à incandescence classiques qui n’en émettent pas. Les valeurs variant de 180 volts par mètre (V/m) à 4 V/m dans les 2o premiers centimètres, pour des puissances allant de 20 à 11 watts, avec des pics à 300 v/m à l’allumage ! Ces mesures se situent bien au dessus des normes européennes : une recommandation du Parlement européen de 1998 préconise en effet le seuil de 1 v/m à ne pas dépasser. La directive de 2004 liée à la compatibilité électromagnétique fixe des niveaux allant de 3 V/m, à 10 V/m. Le rayonnement de ces lampes et le problème lié à leur bruit de fond que nous avons mis en évidence, ont été confirmés en 2008, dans des études de SUPELEC et du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).
Quels sont les impacts de ces dépassements ?
L’électropollution induites par ces lampes fluocompactes peut provoquer des dysfonctionnements au niveau des appareils électriques et électroniques placés à proximité (ordinateur, TV, radio, téléphone portable). Cela peut aussi créer des perturbations chez les personnes portant des dispositifs d’assistance médicale. Nous avons pu le valider lors d’une expertise demandée par des médecins dont des patients équipés de pacemakers se plaignaient de dysfonctionnements de leur appareillage. Enfin, il ne faut pas oublier que chaque lampe fluocompacte contient près de 3 mg de mercure. En cas de bris d’ampoule, il convient donc d’aérer rapidement, et de jeter l’ampoule dans une poubelle prévue à cet effet.
Quels sont les effets des lampes fluocompactes sur la santé ?
Cette « électropollution » représente un risque évident sur la santé. D’une façon générale, les effets des ondes électromagnétiques ont été prouvés depuis longtemps : troubles du sommeil, agressivité ou apathie, perte de mémoire, malaises, migraines, arythmies, fourmillements, rougeurs, nausées, troubles de la concentration, palpitations…. Ces sources de fatigue nuisent à l’attention et favorisent l’absentéisme au travail. Avec l’explosion des nouvelles technologies dans le cadre professionnel, de plus en plus de salariés affectés par ces maux portent plainte devant les tribunaux pour faire reconnaître leur « électro-hypersensibilité ». Des études ont aussi démontré des désordres au niveau immunitaire et sanguin : manque d’adrénaline, hausse des protéines de stress, anomalie des leucocytes, baisse de la mélatonine. A long terme, les risques de leucémies et de tumeurs du cerveau seraient multipliés par trois. Même si on ne connaît pas encore précisément les effets de ces lampes fluocompactes sur la santé, le principe de précaution impose d’en limiter l’usage, en évitant de les utiliser en lampe de chevet ou de bureau et de s’en éloigner de plus d’un mètre pour une station prolongée.
Quelles solutions préconisez-vous ?
Avant tout, le CRIIREM n’est pas favorable à la disparition totale des lampes à incandescence sur le marché. Pour ce qui est de ces lampes fluocompactes, des efforts doivent être entrepris pour en améliorer la conception. Certains fabricants commencent à s’en préoccuper, en travaillant notamment sur le blindage du culot. Mais il reste beaucoup à faire ! Par exemple, il est possible de modifier le circuit et le vernis de ces lampes, afin d’en réduire les rayonnements. En attendant ces progrès, mieux vaut opter pour les LED (diodes électro-luminescentes), qui apparaissent sur le marché. Bien que ces lampes doivent être améliorées, elles présentent des avantages : elles ne posent pas de problème d’ondes électromagnétiques, elles ne contiennent pas de mercure et ont une durée de vie supérieure aux lampes fluocompactes. Seul point noir ? Leur coût
MSN actualité
dimanche 7 mars 2010
A la découverte des Terres australes et de leur incroyable biodiversité
Les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) constituent un territoire d'outre-mer français depuis 1955. Loin des atmosphères polluées, elles constituent une zone à la biodiversité extrêmement riche, où de nombreuses espèces animales sont représentées
Aucune population humaine n'est installée sur ces îles, d'où une pollution très en dessous de la moyenne mondiale. Quelques activités humaines, notamment militaire, s'y déroulent toutefois. L'île de Juan-de-Nova héberge ainsi une piste d'aviation de 1,2 kilomètre.Les oiseaux y sont très présents : manchots empereurs et royaux, manchots papous, gorfous sauteurs, albatros, cormorans, canards d'Eaton... Environ la moitié de la population mondiale d'oiseaux vivrait dans les TAAF.Les Terres australes abritent également diverses espèces de mammifères marins : éléphants de mer, otaries, mais également dauphins, comme le dauphin de Commerson, ou orques. Cette île a gardé une biodiversité exceptionnelle, parfois menacée, toujours fragile et qu'il est aujourd'hui nécessaire de protéger. Pour aider la population à découvrir ces territoires méconnus, la Cité de sciences et de l'industrie organise une exposition sur les TAAP et les espèces peuplant son territoire jusqu'au 2 mai prochain.Découvrir les habitants et les paysages des Terres australes en images :
maxisciences
Aucune population humaine n'est installée sur ces îles, d'où une pollution très en dessous de la moyenne mondiale. Quelques activités humaines, notamment militaire, s'y déroulent toutefois. L'île de Juan-de-Nova héberge ainsi une piste d'aviation de 1,2 kilomètre.Les oiseaux y sont très présents : manchots empereurs et royaux, manchots papous, gorfous sauteurs, albatros, cormorans, canards d'Eaton... Environ la moitié de la population mondiale d'oiseaux vivrait dans les TAAF.Les Terres australes abritent également diverses espèces de mammifères marins : éléphants de mer, otaries, mais également dauphins, comme le dauphin de Commerson, ou orques. Cette île a gardé une biodiversité exceptionnelle, parfois menacée, toujours fragile et qu'il est aujourd'hui nécessaire de protéger. Pour aider la population à découvrir ces territoires méconnus, la Cité de sciences et de l'industrie organise une exposition sur les TAAP et les espèces peuplant son territoire jusqu'au 2 mai prochain.Découvrir les habitants et les paysages des Terres australes en images :
maxisciences
Les poêles à frire sont-elles bel et bien sans danger aujourd'hui
Les poêles anti-adhésives sont efficaces et surtout elles sont dorénavant sans danger... c'est ce que montre un essai de 60 millions de consommateurs très bonne nouvelle, inattendue.
Voilà une affaire qui se termine bien. Pression des consommateurs, mais aussi prise de conscience des industriels, c'en est fini du PFOA.
Le PFOA, je vous en avais parlé à l'automne dernier c'est l'acide per-fluoro-éthylène. C'est un auxiliaire de fabrication des revêtements anti-adhésifs. On sait qu'il est dangereux. On sait notamment qu'il nuit à la fertilité... et on sait qu'il peut se dégager de la poêle quand on la chauffe.
C'est une histoire très ancienne, ces poêles à frire cancérigènes. Mais déjà, depuis quelques années, on pouvait trouver des poêles spécifiquement sans PFOA... et puis à l'automne dernier, l'inventeur du TEFLON, l'industriel Dupont de Nemours a dit qu'il arrêterait d'en utiliser d'ici 2015 tant mieux cela répond d'ailleurs aux exigences du marché américain.
60 millions de consommateurs a donc testé 13 poêles.. .11, avec un revêtement anti-adhésif et 2 en céramique... Test qui a été réalisé en préchauffant de l'huile d'olive à 180 degrés pendant 2 heuresEh bien dans aucune de ces poêles, ne s'est dégagée du PFOA...
On dit qu'il ne faut pas gratter les poêles avec du métal.. est-ce que ça reste vrai ?
Il faut toujours les traiter avec délicatesse... mais les anti-adhésifs ont de très bonnes performances (sauf un) toutes les poêles ont résisté à mille frottements de grattoir sans dégâts ! A 2 mille frottements, 6 poêles sont encore totalement indemnes on n'abuse pas du grattoir, mais vous voyez, ce n'est pas parce que vous avez décollé les patates brûlées avec le côté vert de l'éponge, que vous allez avoir un cancer demain matin.
En revanche, pendant la cuisson on préfère toujours la spatule en plastique ou la cuillère en bois ça évite de rayer avec un couteau ou une fourchette... ce qui pourrait entamer le revêtement mais vous avez compris, c'est pour qu'il dure plus longtemps, puisque les 13 poêles du test sont sans risque pour la santé. Il faut simplement ne pas les oublier sur le feu, car cela pourrait dégager des fumées toxiques.
l'info en plus : Le PFOA est aussi utilisé dans des produits non alimentaires... produits anti-tâches ou imperméabilisants
Europe1
Voilà une affaire qui se termine bien. Pression des consommateurs, mais aussi prise de conscience des industriels, c'en est fini du PFOA.
Le PFOA, je vous en avais parlé à l'automne dernier c'est l'acide per-fluoro-éthylène. C'est un auxiliaire de fabrication des revêtements anti-adhésifs. On sait qu'il est dangereux. On sait notamment qu'il nuit à la fertilité... et on sait qu'il peut se dégager de la poêle quand on la chauffe.
C'est une histoire très ancienne, ces poêles à frire cancérigènes. Mais déjà, depuis quelques années, on pouvait trouver des poêles spécifiquement sans PFOA... et puis à l'automne dernier, l'inventeur du TEFLON, l'industriel Dupont de Nemours a dit qu'il arrêterait d'en utiliser d'ici 2015 tant mieux cela répond d'ailleurs aux exigences du marché américain.
60 millions de consommateurs a donc testé 13 poêles.. .11, avec un revêtement anti-adhésif et 2 en céramique... Test qui a été réalisé en préchauffant de l'huile d'olive à 180 degrés pendant 2 heuresEh bien dans aucune de ces poêles, ne s'est dégagée du PFOA...
On dit qu'il ne faut pas gratter les poêles avec du métal.. est-ce que ça reste vrai ?
Il faut toujours les traiter avec délicatesse... mais les anti-adhésifs ont de très bonnes performances (sauf un) toutes les poêles ont résisté à mille frottements de grattoir sans dégâts ! A 2 mille frottements, 6 poêles sont encore totalement indemnes on n'abuse pas du grattoir, mais vous voyez, ce n'est pas parce que vous avez décollé les patates brûlées avec le côté vert de l'éponge, que vous allez avoir un cancer demain matin.
En revanche, pendant la cuisson on préfère toujours la spatule en plastique ou la cuillère en bois ça évite de rayer avec un couteau ou une fourchette... ce qui pourrait entamer le revêtement mais vous avez compris, c'est pour qu'il dure plus longtemps, puisque les 13 poêles du test sont sans risque pour la santé. Il faut simplement ne pas les oublier sur le feu, car cela pourrait dégager des fumées toxiques.
l'info en plus : Le PFOA est aussi utilisé dans des produits non alimentaires... produits anti-tâches ou imperméabilisants
Europe1
samedi 6 mars 2010
Un «continent» d'ordures à la dérive dans l'Atlantique
Un gigantesque monceau d'immondices de la taille du Texas vient d'être découvert dans l'Atlantique Nord. Bouchons de bouteille, cartouches vides, morceaux de cagettes, filets, et une myriade de minuscules fragments de plastique : telle est la moisson récoltée dans l'océan Atlantique nord par les scientifiques de la Sea Education Association (SEA).
Les océanographes employés par cette organisation non gouvernementale américaine, spécialisée dans la formation des étudiants, ont révélé lors d'un congrès à Portland (Oregon) l'existence de ce qu'ils appellent un vaste «continent» de déchets plastiques dans l'Atlantique.
Cette gigantesque décharge se situe à 500 milles nautiques (926 km) des côtes américaines, et son centre se trouve à la latitude d'Atlanta.
Ces détritus sont présents jusqu'à au moins 10 m de profondeur. Les vents dans cette partie du globe sont faibles et les courants tournent sur eux-mêmes. Résultat : les déchets sont pris au piège dans ce qu'on appelle une gyre. Cette pollution provient notamment des navires et des rejets des des continents riverains de l'Atlantique, transportés par le vent et les fleuves vers la mer. Une première décharge de ce type avait été découverte en 1997 dans le Pacifique.
Les principales victimes sont les animaux marins. Des effets néfastes ont été démontrés sur 260 espèces. Il n'est pas possible de nettoyer l'océan. Selon les chercheurs, la seule solution est de ne pas le jeter de détritus dans l'environnement, et d'opter pour des matériaux alternatifs biodégradables.
leparisien
Les océanographes employés par cette organisation non gouvernementale américaine, spécialisée dans la formation des étudiants, ont révélé lors d'un congrès à Portland (Oregon) l'existence de ce qu'ils appellent un vaste «continent» de déchets plastiques dans l'Atlantique.
Cette gigantesque décharge se situe à 500 milles nautiques (926 km) des côtes américaines, et son centre se trouve à la latitude d'Atlanta.
Ces détritus sont présents jusqu'à au moins 10 m de profondeur. Les vents dans cette partie du globe sont faibles et les courants tournent sur eux-mêmes. Résultat : les déchets sont pris au piège dans ce qu'on appelle une gyre. Cette pollution provient notamment des navires et des rejets des des continents riverains de l'Atlantique, transportés par le vent et les fleuves vers la mer. Une première décharge de ce type avait été découverte en 1997 dans le Pacifique.
Les principales victimes sont les animaux marins. Des effets néfastes ont été démontrés sur 260 espèces. Il n'est pas possible de nettoyer l'océan. Selon les chercheurs, la seule solution est de ne pas le jeter de détritus dans l'environnement, et d'opter pour des matériaux alternatifs biodégradables.
leparisien
Chasse à la baleine : des négociations tendues entre le Japon et l'Australie
Floride, États-Unis - Le 2 mars s'est ouverte en Floride la réunion de la Commission baleinière internationale (CBI). Une réunion marquée par l'opposition entre l'Australie et le Japon concernant la chasse des cétacés.
Après trois jours de négociations, les quatre-vingt-huit pays membres de la Commission baleinière internationale ne sont pas parvenus à dépasser le conflit qui oppose partisans de la chasse à la baleine et défenseurs du cétacé.
Les discussions ont tourné autour d'un projet qui autoriserait le Japon, la Norvège et l'Islande, à poursuivre la chasse à la baleine en réduisant sensiblement le nombre de cétacés tués, et ce en se prêtant à un contrôle accru. L'Australie, en fervent défenseur des cétacés, et le Japon, grand amateur de viande de baleine, ne parviennent pas à s'entendre sur un tel compromis.
Le mois dernier, le Premier ministre australien menaçait de poursuivre en justice le Japon s'il ne cessait pas de chasser la baleine. Depuis 1986, la chasse commerciale du cétacé fait l'objet d'un moratoire mais le pays du soleil levant est autorisé à mener une chasse dite "scientifique". De leur côté, la Norvège et l'Islande refusent tout simplement de respecter le moratoire.
Quant aux États-Unis, le gouvernement se dit prêt à accepter une légalisation internationale de la pêche à la baleine si le nombre de prises diminue, a déclaré une négociatrice. "L'administration américaine ne prendra jamais une position qui autoriserait la chasse commerciale à la baleine. Mais d'un autre côté, nous n'avons pas les moyens actuellement de l'empêcher", a-t-elle expliqué.
Suite aux négociations en Floride, la CBI va revoir et étoffer sa proposition. Cette dernière sera soumise aux pays membres d'ici le 22 avril, afin qu'elle puisse être examinée avant la prochaine réunion de la Commission prévue en mai au Maroc.
Maxisciences
Après trois jours de négociations, les quatre-vingt-huit pays membres de la Commission baleinière internationale ne sont pas parvenus à dépasser le conflit qui oppose partisans de la chasse à la baleine et défenseurs du cétacé.
Les discussions ont tourné autour d'un projet qui autoriserait le Japon, la Norvège et l'Islande, à poursuivre la chasse à la baleine en réduisant sensiblement le nombre de cétacés tués, et ce en se prêtant à un contrôle accru. L'Australie, en fervent défenseur des cétacés, et le Japon, grand amateur de viande de baleine, ne parviennent pas à s'entendre sur un tel compromis.
Le mois dernier, le Premier ministre australien menaçait de poursuivre en justice le Japon s'il ne cessait pas de chasser la baleine. Depuis 1986, la chasse commerciale du cétacé fait l'objet d'un moratoire mais le pays du soleil levant est autorisé à mener une chasse dite "scientifique". De leur côté, la Norvège et l'Islande refusent tout simplement de respecter le moratoire.
Quant aux États-Unis, le gouvernement se dit prêt à accepter une légalisation internationale de la pêche à la baleine si le nombre de prises diminue, a déclaré une négociatrice. "L'administration américaine ne prendra jamais une position qui autoriserait la chasse commerciale à la baleine. Mais d'un autre côté, nous n'avons pas les moyens actuellement de l'empêcher", a-t-elle expliqué.
Suite aux négociations en Floride, la CBI va revoir et étoffer sa proposition. Cette dernière sera soumise aux pays membres d'ici le 22 avril, afin qu'elle puisse être examinée avant la prochaine réunion de la Commission prévue en mai au Maroc.
Maxisciences
vendredi 5 mars 2010
La menthe poivrée, remède pour vos douleurs digestives !
Découvrez les vertus de la menthe poivrée ! Avec des propriétés aromatiques et digestives, la menthe poivrée est un efficace remède médicinal.
Derrière la menthe poivrée, se cache de nombreux secrets et vertus. Savez-vous qu’elle est utilisée depuis l’antiquité comme remède médicinal ? La légende dit que le nom de la plante provient de Minthe, une nymphe de la mythologie grecque. Proserpine, jalouse de la jeune fille, transforma la jolie en fleur « poivrée ». Les scientifiques, plus terre-à-terre, vous diront que la plante est un hybride entre la menthe aquatique et la menthe verte. Mais que l’on choisisse l’une ou l’autre des versions, la menthe poivrée est entrée dans l’histoire comme remède médicinal, avec Hippocrate et Aristote qui l'employaient comme anaphrodisiaque.
Phytothérapie : la menthe poivrée améliore vos problèmes digestifs
Les feuilles de menthe poivrée peuvent se boire en infusion ou agrémenter vos plats. Sachez qu’elles peuvent soulager les spasmes gastro-intestinaux et les flatulences ! Le menthol stimule les nerfs sensibles au froid, crée une sensation de fraîcheur, et empêche en même temps les nerfs de réagir au stimuli douloureux. Ceci permet de soulager temporairement les douleurs et spasmes des muscles ou des organes. La menthe poivrée peut également apaiser temporairement les démangeaisons causées par les piqûres d'insectes, l'eczéma et d'autres lésions. Petit conseil aux femmes enceintes : la menthe poivrée permet de réduire les nausées et les vomissements durant la grossesse, en particulier pour les femmes qui veulent éviter la prise de médicaments trop forts.
Si vous préférez faire appel aux huiles essentielles, la menthe poivrée permet de soulager les symptômes du rhume et de la toux, des douleurs rhumatismales, musculaires et névralgiques ainsi que soulager les maux de tête et les démangeaisons cutanées.
La menthe poivrée, une plante à cultiver avec précautions
La menthe poivrée, une fois plantée, pousse comme du chiendent. Lorsqu’elle se plaît en culture, la menthe poivrée prolifère facilement grâce à ses stolons. Elle peut même être carrément envahissante. Chouchoutez-là dans un terrain frais, humifère, légèrement humides mais arrosé régulièrement. Le caractère envahissant de la plante oblige à prendre certaines précautions : cultivez-là dans un pot pour éviter qu’elle ne pousse comme du chiendent dans votre jardin. Mais sachez tout de même que, si elle prolifère dans votre jardin, vous pouvez en abusez…
Greenzer
Derrière la menthe poivrée, se cache de nombreux secrets et vertus. Savez-vous qu’elle est utilisée depuis l’antiquité comme remède médicinal ? La légende dit que le nom de la plante provient de Minthe, une nymphe de la mythologie grecque. Proserpine, jalouse de la jeune fille, transforma la jolie en fleur « poivrée ». Les scientifiques, plus terre-à-terre, vous diront que la plante est un hybride entre la menthe aquatique et la menthe verte. Mais que l’on choisisse l’une ou l’autre des versions, la menthe poivrée est entrée dans l’histoire comme remède médicinal, avec Hippocrate et Aristote qui l'employaient comme anaphrodisiaque.
Phytothérapie : la menthe poivrée améliore vos problèmes digestifs
Les feuilles de menthe poivrée peuvent se boire en infusion ou agrémenter vos plats. Sachez qu’elles peuvent soulager les spasmes gastro-intestinaux et les flatulences ! Le menthol stimule les nerfs sensibles au froid, crée une sensation de fraîcheur, et empêche en même temps les nerfs de réagir au stimuli douloureux. Ceci permet de soulager temporairement les douleurs et spasmes des muscles ou des organes. La menthe poivrée peut également apaiser temporairement les démangeaisons causées par les piqûres d'insectes, l'eczéma et d'autres lésions. Petit conseil aux femmes enceintes : la menthe poivrée permet de réduire les nausées et les vomissements durant la grossesse, en particulier pour les femmes qui veulent éviter la prise de médicaments trop forts.
Si vous préférez faire appel aux huiles essentielles, la menthe poivrée permet de soulager les symptômes du rhume et de la toux, des douleurs rhumatismales, musculaires et névralgiques ainsi que soulager les maux de tête et les démangeaisons cutanées.
La menthe poivrée, une plante à cultiver avec précautions
La menthe poivrée, une fois plantée, pousse comme du chiendent. Lorsqu’elle se plaît en culture, la menthe poivrée prolifère facilement grâce à ses stolons. Elle peut même être carrément envahissante. Chouchoutez-là dans un terrain frais, humifère, légèrement humides mais arrosé régulièrement. Le caractère envahissant de la plante oblige à prendre certaines précautions : cultivez-là dans un pot pour éviter qu’elle ne pousse comme du chiendent dans votre jardin. Mais sachez tout de même que, si elle prolifère dans votre jardin, vous pouvez en abusez…
Greenzer
Grosse fuite de méthane dans l'atmosphère depuis l'océan Arctique
Le fond de l'océan Arctique libère du méthane, un puissant gaz à effet de serre, à un rythme plus élevé que ne le pensaient les experts, ce qui pourrait aggraver le réchauffement climatique, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.
"Cette découverte met en évidence une source de méthane importante mais jusqu'ici négligée provenant du permafrost (le sol gelé en permanence, ndlr) situé sous l'eau, plutôt que sous les terres", écrivent les auteurs de l'étude, qui soulignent que "ces émissions risquent d'avoir à l'avenir un effet dramatique sur le réchauffement climatique".
Cette équipe de recherche internationale sous la direction de Natalia Chakhova et Igor Semiletov, de l'université de Fairbanks en Alaska, a étudié entre 2003 et 2008 les eaux du plateau arctique de Sibérie orientale, qui couvrent plus de deux millions de km2 dans l'océan Arctique.
De précédentes études effectuées en Sibérie s'étaient plutôt concentrées sur le méthane s'échappant sous l'effet du dégel du permafrost situé sur le continent.
Les scientifiques ont en effet longtemps considéré que le permafrost situé sous l'océan Arctique constituait une barrière infranchissable pour le méthane, un gaz dont l'effet de serre est trente fois supérieur à celui du CO2.
Mais les observations de l'équipe de l'université de Fairbanks montrent que le permafrost sous-marin est perforé et laisse échapper de grandes quantités de méthane
AFP
"Cette découverte met en évidence une source de méthane importante mais jusqu'ici négligée provenant du permafrost (le sol gelé en permanence, ndlr) situé sous l'eau, plutôt que sous les terres", écrivent les auteurs de l'étude, qui soulignent que "ces émissions risquent d'avoir à l'avenir un effet dramatique sur le réchauffement climatique".
Cette équipe de recherche internationale sous la direction de Natalia Chakhova et Igor Semiletov, de l'université de Fairbanks en Alaska, a étudié entre 2003 et 2008 les eaux du plateau arctique de Sibérie orientale, qui couvrent plus de deux millions de km2 dans l'océan Arctique.
De précédentes études effectuées en Sibérie s'étaient plutôt concentrées sur le méthane s'échappant sous l'effet du dégel du permafrost situé sur le continent.
Les scientifiques ont en effet longtemps considéré que le permafrost situé sous l'océan Arctique constituait une barrière infranchissable pour le méthane, un gaz dont l'effet de serre est trente fois supérieur à celui du CO2.
Mais les observations de l'équipe de l'université de Fairbanks montrent que le permafrost sous-marin est perforé et laisse échapper de grandes quantités de méthane
AFP
jeudi 4 mars 2010
Boeing : des avions à énergie plus verte d’ici 2017 ?
Prendre l'avion pourrait devenir plus écolo. Boeing a pour projet d'intégrer des piles à combustible pour fournir l'électricité dans la cabine des avions.
« Prendre l’avion » n’est pas écolo ? Peut-être pas pour longtemps. Face à la marée verte chez les équipementiers de l’automobile, c’est au tour du géant américain Boeing de faire son virage écologique. Avec l’impact de l’aviation sur l’environnement, le coût et la future pénurie du kérosène, Boeing doit trouver des alternatives. Les laboratoires de Recherche et Développement du groupe Boeing ont mis au point un nouveau projet : fournir de l’électricité verte en cabine grâce aux piles à combustible.
Des piles à combustibles dans les avions en 2017
Aujourd'hui, l’électricité dans un avion est produite à partir de l’énergie de rotation des moteurs. De très longs câbles relient la source optimale électrique à l’habitacle de l’avion. En réalité, l’énergie grise du Boeing provient du carburant lui-même, et les ingénieurs aéronautiques ont montré que des déperditions importantes de courant existent. Pour trouver une alternative à ce système, Boeing s’est associé à un grand industriel japonais pour fournir une partie de l’électricité à bord grâce à des piles à combustible. Le concept ? Installer dans les avions plusieurs piles à combustibles qui seront gérées informatiquement. Un prototype est prévu pour 2012, et Boeing espère réaliser les premiers essais entre 2012 et 2014. A terme, le géant américain espère pouvoir équiper ses avions commerciaux de toute taille d’ici 2017/2018, si les autorisations requises sont accordées.
Réduire de 1% la consommation de carburant des Boeing
L’avantage écologique d’un tel projet ? Réduire de 1% la consommation de carburant. Effectivement, ce n’est pas demain que prendre l’avion deviendra écologique : l’objectif 100% vert est loin d’être atteint. Mais pour une compagnie aérienne, l’économie de kérosène est très importante si on la ramène aux tonnes indispensables pour chaque vol. Et qui dit économie de kérosène…dit écologie ! Le système de piles à combustible, à l’inverse, à des avantages environnementaux : elles présentent un fort rendement énergétique, elles ont donc besoin de peu de combustible. En plus, le modèle à l’étude générera de l'électricité à partir d'hydrogène extrait d'eau par électrolyse, et ne rejettera que de l'eau. A voir, maintenant, si ces perspectives aéronautiques seront réellement réalisables…
greenzer
« Prendre l’avion » n’est pas écolo ? Peut-être pas pour longtemps. Face à la marée verte chez les équipementiers de l’automobile, c’est au tour du géant américain Boeing de faire son virage écologique. Avec l’impact de l’aviation sur l’environnement, le coût et la future pénurie du kérosène, Boeing doit trouver des alternatives. Les laboratoires de Recherche et Développement du groupe Boeing ont mis au point un nouveau projet : fournir de l’électricité verte en cabine grâce aux piles à combustible.
Des piles à combustibles dans les avions en 2017
Aujourd'hui, l’électricité dans un avion est produite à partir de l’énergie de rotation des moteurs. De très longs câbles relient la source optimale électrique à l’habitacle de l’avion. En réalité, l’énergie grise du Boeing provient du carburant lui-même, et les ingénieurs aéronautiques ont montré que des déperditions importantes de courant existent. Pour trouver une alternative à ce système, Boeing s’est associé à un grand industriel japonais pour fournir une partie de l’électricité à bord grâce à des piles à combustible. Le concept ? Installer dans les avions plusieurs piles à combustibles qui seront gérées informatiquement. Un prototype est prévu pour 2012, et Boeing espère réaliser les premiers essais entre 2012 et 2014. A terme, le géant américain espère pouvoir équiper ses avions commerciaux de toute taille d’ici 2017/2018, si les autorisations requises sont accordées.
Réduire de 1% la consommation de carburant des Boeing
L’avantage écologique d’un tel projet ? Réduire de 1% la consommation de carburant. Effectivement, ce n’est pas demain que prendre l’avion deviendra écologique : l’objectif 100% vert est loin d’être atteint. Mais pour une compagnie aérienne, l’économie de kérosène est très importante si on la ramène aux tonnes indispensables pour chaque vol. Et qui dit économie de kérosène…dit écologie ! Le système de piles à combustible, à l’inverse, à des avantages environnementaux : elles présentent un fort rendement énergétique, elles ont donc besoin de peu de combustible. En plus, le modèle à l’étude générera de l'électricité à partir d'hydrogène extrait d'eau par électrolyse, et ne rejettera que de l'eau. A voir, maintenant, si ces perspectives aéronautiques seront réellement réalisables…
greenzer
De la glace au pôle nord de la Lune !!!
Un radar de la Nasa a découvert des cratères remplis de glace sur un pôle non exposé au Soleil.
Il y a bien de l’eau sur la Lune... Une mission spatiale a observé une nouvelle fois la présence d’eau, sous forme de glace, sur le satellite de la Terre. C’est le radar Mini-SAR de la Nasa à bord d'un vaisseau spatial indien qui a détecté des cratères remplis de glace sur le pôle nord de la Lune.
Plus de 40 petits cratères, d'une taille allant de 1,6 à 15 kilomètres, ont été repérés au pôle nord tous remplis de glace. "Bien que la quantité totale de glace dépende de son épaisseur dans chaque cratère, on estime qu'il pourrait y avoir au moins 600 millions de mètres cubes d'eau gelée", précise la Nasa.
Une découverte qui complète celle réalisée en septembre dernier par l’équipe franco-américaine de la mission Epoxi et qui avait mis en évidence la présence d’eau, sous forme de glace, sur la Lune. Seulement, cette observation avait été faite uniquement à la surface du satellite de la Terre.
"C’est toujours intéressant quand on arrive à trouver de l’eau dans le système solaire", assure Olivier Groussin, astronome au Laboratoire d'Astrophysique de Marseille et membre de la mission Epoxi, interrogé par Europe1.fr à propos de cette nouvelle découverte. "L’eau a été observée dans des cratères qui ne sont pas exposés au Soleil, sur une partie de la Lune qui n’est jamais éclairée", a-t-il expliqué. Et c’est ce qui fait la particularité de cette nouvelle observation.
Le Mini-SAR a ainsi réalisé en 2009 la cartographie des cratères polaires de la lune, invisibles depuis la Terre car cachés en permanence par l'obscurité, en ayant recours aux propriétés de la polarisation des ondes radios. C’est "après examen des données, que notre équipe scientifique a conclu à une forte indication en faveur d'eau gelée, une découverte qui fournira aux futures missions un nouvel objectif à explorer plus avant et à exploiter", a confié Jason Crusan, du Directoire des opérations spatiales de la Nasa à Washington.
Cette trouvaille "montre que la Lune est une destination encore plus intéressante et captivante, sur les plans scientifique, exploratoire et opérationnel, que ce que les gens pensaient auparavant", a indiqué pour sa part Paul Spudis, le chef de projet de l'expérience Mini-SAR au Lunar and Planetary Institute de Houston.
Jusque-là, les scientifiques avançaient la théorie selon laquelle la Lune était totalement sèche, à l'exception d'éventuelles glaces au fond des cratères.
Europe1
Le livre "Océan"
Le film Océans vous a plu ? Vous allez certainement aimer le livre…Avec une préface signée Jacques Perrin et Jacques Cluzaud, le livre Océans revient sur le tournage du magnifique film documentaire. Images exceptionnelles, souvenirs de tournage et informations pour la protection des océans jalonnent les pages de cet ouvrage.
Le film Océans est le film documentaire le plus célèbre de ce début d’année 2010. De 2004 à 2009, Jacques Perrin et Jacques Cluzaud ont parcouru les océans pour filmer les plus belles séquences. Le livre Océans est une manière de revenir sur ces extraordinaires équipées, et nous faire partager, une nouvelle fois, toute la beauté du monde marin. Plongez avec nous dans le livre Océans, paru aux éditions du Seuil.
Une préface poétique de Jacques Perrin
Toute l’histoire du livre commence par une préface, signée par le producteur du film, Jacques Perrin. On y apprend que le célèbre acteur et réalisateur du peuple migrateur était un visionnaire des problèmes environnementaux. Déjà, en 1970, Jacques Perrin voulait créer l’émotion autour d’un film consacré aux pollutions marines. Finalement, le projet du film Océans n’a émergé que dans les années 2000. L'objectif ? Se recentrer sur la défense du milieu marin, avec le point de vue de tous ceux qui l’approchent de près. « Tout reprendre, reconstruire avec l’essentiel : les créatures marines, les meilleurs avocats de l’océan. Car ce type de cinéma, pourvu que l’on ne soit pas simplement là pour filmer de belles choses ni pour exprimer son pessimisme, est la meilleure arme pour rendre compte, prendre position, dénoncer s’indigner, quels que soient les sujets, même les plus complexes », nous précise Jacques Perrin dans sa préface. Cette citation prend tout son sens quand on prend le temps d’ouvrir le llivre Océans.
Des souvenirs d'Océans pour nos yeux éblouis
Le livre Océans est raconté par deux grands spécialistes du monde marin : François Sarano est docteur en océanologie et plongeur professionnel. Il a notamment collaboré aux actions menées par le commandant Cousteau. Sur le tournage d'Océans, il fut plongeur, conseiller scientifique et co-scénariste. Stéphane Durand a également participé à l’aventure du film en tant que biologiste et journaliste scientifique. Jacques Perrin, dans sa préface, fait hommage à leur travail en les considérant comme « une équipe, précieuse, indispensable, qui [] a aidé à approcher et comprendre les océans ». Grâce aux 300 pages du livre, ces scientifiques nous donnent les clés pour comprendre le monde marin, si méconnu. « Le film Océans [] ne donnait pas d’informations sur les espèces, ne s’employait pas à enseigner…mais à faire ressentir », nous explique Jacques Cluzaud. La force du livre ? Se compléter au film par des informations scientifiques. Certe, on se laisse emporter par les magnifiques visuels, ainsi que l’album souvenir de l’ensemble du tournage. Cependant, la moitié du livre reste un superbe ouvrage documentaire qui nous permet de connaître les espèces marines. L’album revient aussi sur le premier projet de Jacques Perrin, et nous invite à être vigilants sur la pollution, le réchauffement climatique ou les espèces disparues.
« Océans, ce n’est pas un documentaire, c’est un opéra sauvage. Et chacun a apporté ses quelques notes, ses quelques fragments de la partition », nous confie Jacques Perrin dans sa préface. Dans le livre Océans, le son du monde du silence manque. Malgré tout, les images et messages restent, comme pour nous faire tracer notre chemin vers la protection de la biodiversité marine.
MSN actualités
Le film Océans est le film documentaire le plus célèbre de ce début d’année 2010. De 2004 à 2009, Jacques Perrin et Jacques Cluzaud ont parcouru les océans pour filmer les plus belles séquences. Le livre Océans est une manière de revenir sur ces extraordinaires équipées, et nous faire partager, une nouvelle fois, toute la beauté du monde marin. Plongez avec nous dans le livre Océans, paru aux éditions du Seuil.
Une préface poétique de Jacques Perrin
Toute l’histoire du livre commence par une préface, signée par le producteur du film, Jacques Perrin. On y apprend que le célèbre acteur et réalisateur du peuple migrateur était un visionnaire des problèmes environnementaux. Déjà, en 1970, Jacques Perrin voulait créer l’émotion autour d’un film consacré aux pollutions marines. Finalement, le projet du film Océans n’a émergé que dans les années 2000. L'objectif ? Se recentrer sur la défense du milieu marin, avec le point de vue de tous ceux qui l’approchent de près. « Tout reprendre, reconstruire avec l’essentiel : les créatures marines, les meilleurs avocats de l’océan. Car ce type de cinéma, pourvu que l’on ne soit pas simplement là pour filmer de belles choses ni pour exprimer son pessimisme, est la meilleure arme pour rendre compte, prendre position, dénoncer s’indigner, quels que soient les sujets, même les plus complexes », nous précise Jacques Perrin dans sa préface. Cette citation prend tout son sens quand on prend le temps d’ouvrir le llivre Océans.
Des souvenirs d'Océans pour nos yeux éblouis
Le livre Océans est raconté par deux grands spécialistes du monde marin : François Sarano est docteur en océanologie et plongeur professionnel. Il a notamment collaboré aux actions menées par le commandant Cousteau. Sur le tournage d'Océans, il fut plongeur, conseiller scientifique et co-scénariste. Stéphane Durand a également participé à l’aventure du film en tant que biologiste et journaliste scientifique. Jacques Perrin, dans sa préface, fait hommage à leur travail en les considérant comme « une équipe, précieuse, indispensable, qui [] a aidé à approcher et comprendre les océans ». Grâce aux 300 pages du livre, ces scientifiques nous donnent les clés pour comprendre le monde marin, si méconnu. « Le film Océans [] ne donnait pas d’informations sur les espèces, ne s’employait pas à enseigner…mais à faire ressentir », nous explique Jacques Cluzaud. La force du livre ? Se compléter au film par des informations scientifiques. Certe, on se laisse emporter par les magnifiques visuels, ainsi que l’album souvenir de l’ensemble du tournage. Cependant, la moitié du livre reste un superbe ouvrage documentaire qui nous permet de connaître les espèces marines. L’album revient aussi sur le premier projet de Jacques Perrin, et nous invite à être vigilants sur la pollution, le réchauffement climatique ou les espèces disparues.
« Océans, ce n’est pas un documentaire, c’est un opéra sauvage. Et chacun a apporté ses quelques notes, ses quelques fragments de la partition », nous confie Jacques Perrin dans sa préface. Dans le livre Océans, le son du monde du silence manque. Malgré tout, les images et messages restent, comme pour nous faire tracer notre chemin vers la protection de la biodiversité marine.
MSN actualités
mercredi 3 mars 2010
Fortes vagues, inondations: la Basse-Normandie en alerte
De très fortes vagues sont attendues jeudi sur les côtes du Calvados et de la Manche avec un risque d'inondations suite au vent et au fort coefficient de marée.
De "très fortes vagues" sont attendues jeudi sur les côtes du Calvados et de la Manche avec un risque de "débordement sur le littoral" sous l'effet combiné du vent et d'un fort coefficient de marée, ont prévenu mercredi les autorités préfectorales.
Les vagues, d'une hauteur moyenne de 2,5 mètres, pourront atteindre localement 3 mètres en raison d'un vent de nord-est de 60 à 80 km/h, conjugué à une marée élevée (coefficient 102).
Le risque a été identifié sur les côtes ouest du Calvados et est de la Manche, le secteur le plus exposé courant de Port-en-Bessin (Calvados) à Barfleur à la pointe est de la Manche, selon la préfecture de région.
La préfecture de la Manche invite dans un communiqué à la "plus grande vigilance" et conseille aux riverains de prendre "toutes les précautions utiles afin de parer aux risques ponctuels d'inondations".
"L'ensemble des maires des communes du secteur concerné ont été avisé du risque par le système d'alerte automatisé", précise le texte.
"On craint le pire ce soir peu avant minuit et surtout demain midi", a indiqué Benoît Endelin, maire adjoint de Saint-Marcouf (au milieu de la côte est du département de la Manche), où 15 maisons ont été inondées dimanche jusqu'à 1,20 mètre d'eau.
"Nous sommes en train de pomper depuis 13H00 cet après-midi dans la quinzaine de jardins déjà inondés ce matin", pour limiter les dégâts mercredi soir et jeudi midi, a ajouté M. Endelin.
"Nous avons prévenu les habitants" de la quinzaine de maison concernées mais personne n'a pour l'heure voulu évacuer, a-t-il aussi indiqué.
Métro.fr
De "très fortes vagues" sont attendues jeudi sur les côtes du Calvados et de la Manche avec un risque de "débordement sur le littoral" sous l'effet combiné du vent et d'un fort coefficient de marée, ont prévenu mercredi les autorités préfectorales.
Les vagues, d'une hauteur moyenne de 2,5 mètres, pourront atteindre localement 3 mètres en raison d'un vent de nord-est de 60 à 80 km/h, conjugué à une marée élevée (coefficient 102).
Le risque a été identifié sur les côtes ouest du Calvados et est de la Manche, le secteur le plus exposé courant de Port-en-Bessin (Calvados) à Barfleur à la pointe est de la Manche, selon la préfecture de région.
La préfecture de la Manche invite dans un communiqué à la "plus grande vigilance" et conseille aux riverains de prendre "toutes les précautions utiles afin de parer aux risques ponctuels d'inondations".
"L'ensemble des maires des communes du secteur concerné ont été avisé du risque par le système d'alerte automatisé", précise le texte.
"On craint le pire ce soir peu avant minuit et surtout demain midi", a indiqué Benoît Endelin, maire adjoint de Saint-Marcouf (au milieu de la côte est du département de la Manche), où 15 maisons ont été inondées dimanche jusqu'à 1,20 mètre d'eau.
"Nous sommes en train de pomper depuis 13H00 cet après-midi dans la quinzaine de jardins déjà inondés ce matin", pour limiter les dégâts mercredi soir et jeudi midi, a ajouté M. Endelin.
"Nous avons prévenu les habitants" de la quinzaine de maison concernées mais personne n'a pour l'heure voulu évacuer, a-t-il aussi indiqué.
Métro.fr
Le séisme aurait-il raccourci les jours ?
Le séisme de magnitude 8,8 samedi au Chili pourrait avoir eu des effets sur l'axe de rotation de la Terre, entraînant un infime raccourcissement de la durée du jour, selon des scientifiques du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA, l'agence spatiale américaine
D'après des calculs préliminaires, issus d'une simulation informatique, le séisme du 27 février pourrait avoir entraîné un décalage de huit centimètres de l'axe de rotation terrestre, a expliqué mardi Richard Gross, du JPL, à Pasadena (Californie). Cela devrait provoquer un raccourcissement des jours de 1,26 microseconde, soit 1,26 millionième de seconde, ajoute-t-il. D'après Richard Gross, l'analyse des données du séisme permettra d'affiner les calculs.
Le phénomène n'est pas inédit. Comme dans tous les séismes majeurs, la Terre peut changer sa vitesse de rotation. Sous l'effet du séisme, la circonférence de la terre rétrécit très légèrement. Le phénomène se retrouve lorsqu'une patineuse sur glace accélère sa rotation en fermant les bras et les rapprochant du corps. Très légère, cette accélération peut cependant être mesurée par satellite.
A titre d'exemple, le plus grand séisme du XXe siècle, d'une magnitude de 9,6 en 1960 au Chili, a fait diminuer la longueur du jour de huit microsecondes, selon une estimation des chercheurs. Reste que l'atmosphère (frottements, jeu des masses d'air) et les marées océaniques ont une influence bien plus importante sur la durée du jour.
Quant à l'axe de la Terre, il varie naturellement tout le temps, décrivant en gros, à l'échelle d'une année, un cercle d'une dizaine de mètres. Le petit déplacement subi par l'axe de la Terre à cause du séisme chilien, estimé à huit centimètres, est donc moins élevé que le mouvement naturel de la Terre.
A ce mouvement mécanique s'ajoutent les mouvements des océans, des marées, l'influence de l'atmosphère, les éruptions volcaniques. Pour provoquer un cataclysme et modifier réellement l'orbite terrestre, soulignent les sismologues, il faudrait une cause extérieure comme la collision avec un astéroïde. AP
Libellés :
Phénomènes et catastrophes naturelles
Tétines écolos Téter en sécurité
Téter est un réflexe très naturel chez l’enfant. La tétine peut vite devenir son meilleur allié réconfort après vous. Mais attention à bien les choisir, ces tétines ! En caoutchouc naturel de préférence, sans BPA et bien ergonomiques, elles rassureront votre bébé bio tout en douceur.
Téter est un réflexe très naturel chez l’enfant. Ce geste apparaît déjà in utero ! Vers 3 mois, dans le ventre de sa mère, bébé commence à sucer son pouce. Et continue souvent après la naissance. Ce geste de succion du pouce, d’une sucette quelconque ou d’une tétine semble être apaisant pour l’enfant. Dans nos sociétés, où l’enfant est séparé tôt de la mère, c’est souvent la tétine qui prend le relai du sein de la maman. La sucette lui apporter à bébé cette sécurité. Les tétines sont donc de précieux alliés de l’enfant chez nous !
Latex naturel, sans BPA : bien choisir sa tétine bébé bio !
Il s’agit donc de bien les choisir les tétines : loin d’être une source de toxiques, elles apportent un vrai réconfort sain à bébé. Premier conseil : privilégiez les tétines en latex naturel (ou caoutchouc), moins traitées que les autres. Sans composants chimiques et en matières naturelles, elles préviennent les risques d’allergie au caoutchouc synthétique, fréquentes. Bébé pourra ainsi téter et suçoter sa tétine sans risque, en toute sécurité. Assurez-vous aussi qu’elles ne contiennent pas de Bisphénol A, un composé toxique qui se détache petit à petit des plastiques chauffés ou usés par la salive de bébé.
Quelles tétines ?
Plusieurs marques de tétines écolos proposent des tétines sans bisphénol et en latex naturel. Ces tétines green sont souvent aussi conçues pour être particulièrement ergonomiques (liberté du menton), hygiéniques (pas de joints). De plus, elles durent aussi longtemps que les tétines classiques ! La sélection Greenzer ? Les tétines Hévéa, parce qu’elles sont en caoutchouc naturelle et que leur production sont particulièrement respectueuse de l’environnement.
Téter est un réflexe très naturel chez l’enfant. Ce geste apparaît déjà in utero ! Vers 3 mois, dans le ventre de sa mère, bébé commence à sucer son pouce. Et continue souvent après la naissance. Ce geste de succion du pouce, d’une sucette quelconque ou d’une tétine semble être apaisant pour l’enfant. Dans nos sociétés, où l’enfant est séparé tôt de la mère, c’est souvent la tétine qui prend le relai du sein de la maman. La sucette lui apporter à bébé cette sécurité. Les tétines sont donc de précieux alliés de l’enfant chez nous !
Latex naturel, sans BPA : bien choisir sa tétine bébé bio !
Il s’agit donc de bien les choisir les tétines : loin d’être une source de toxiques, elles apportent un vrai réconfort sain à bébé. Premier conseil : privilégiez les tétines en latex naturel (ou caoutchouc), moins traitées que les autres. Sans composants chimiques et en matières naturelles, elles préviennent les risques d’allergie au caoutchouc synthétique, fréquentes. Bébé pourra ainsi téter et suçoter sa tétine sans risque, en toute sécurité. Assurez-vous aussi qu’elles ne contiennent pas de Bisphénol A, un composé toxique qui se détache petit à petit des plastiques chauffés ou usés par la salive de bébé.
Quelles tétines ?
Plusieurs marques de tétines écolos proposent des tétines sans bisphénol et en latex naturel. Ces tétines green sont souvent aussi conçues pour être particulièrement ergonomiques (liberté du menton), hygiéniques (pas de joints). De plus, elles durent aussi longtemps que les tétines classiques ! La sélection Greenzer ? Les tétines Hévéa, parce qu’elles sont en caoutchouc naturelle et que leur production sont particulièrement respectueuse de l’environnement.
Au moins 80 morts et 400 disparus dans un glissement de terrain en Ouganda
Au moins 80 personnes ont été tuées et plus de 400 sont portées disparues à la suite du glissement de terrain qui a emporté dans la nuit de lundi à mardi trois villages dans l'est montagneux de l'Ouganda, selon un nouveau bilan fourni mercredi par la Croix-Rouge ougandaise.
"80 corps avaient été retrouvés" mardi soir, a indiqué à l'AFP la porte-parole de la Croix-Rouge ougandaise, Catherine Ntabadde. "Les disparus sont désormais estimés à plus de 400", une centaine de personnes qui avaient trouvé refuge dans un petit centre commercial ayant été également ensevelies, a-t-elle précisé. Un précédent bilan faisait état de 55 tués et plus de 300 disparus, avec très peu d'espoir de les retrouver vivants.
À la suite de pluies torrentielles tombées sur cette région proche du mont Elgon (qui culmine à 4.321 mètres d'altitude), près de la frontière avec le Kenya, le glissement de terrain a enseveli trois villages à flanc de montagne dans la nuit de lundi à mardi, dans la région de Bududa, à environ 40 kilomètres de la ville de Mbale.
Le Point.fr
"80 corps avaient été retrouvés" mardi soir, a indiqué à l'AFP la porte-parole de la Croix-Rouge ougandaise, Catherine Ntabadde. "Les disparus sont désormais estimés à plus de 400", une centaine de personnes qui avaient trouvé refuge dans un petit centre commercial ayant été également ensevelies, a-t-elle précisé. Un précédent bilan faisait état de 55 tués et plus de 300 disparus, avec très peu d'espoir de les retrouver vivants.
À la suite de pluies torrentielles tombées sur cette région proche du mont Elgon (qui culmine à 4.321 mètres d'altitude), près de la frontière avec le Kenya, le glissement de terrain a enseveli trois villages à flanc de montagne dans la nuit de lundi à mardi, dans la région de Bududa, à environ 40 kilomètres de la ville de Mbale.
Le Point.fr
Libellés :
Phénomènes et catastrophes naturelles
mardi 2 mars 2010
Pomme de terre OGM
La Commission européenne a annoncé avoir autorisé la culture d'une pomme de terre génétiquement modifiée du groupe allemand BASF, le premier feu vert de ce type depuis douze ans dans l'Union européenne où les OGM suscitent de vives réticences.
Bruxelles a aussi accepté la commercialisation en Europe de trois variétés de maïs transgéniques de la firme Monsanto, des dérivés du MON 863, selon un communiqué de l'exécutif européen. Une décision moins spectaculaire dans la mesure où des produits OGM importés font régulièrement l'objet d'autorisations pour le commerce.
Une première depuis le maïs de Monsanto
La vraie nouveauté concerne donc l'autorisation de la pomme de terre Amflora, une tubercule conçue par la firme BASF destinée à l'usage industriel pour son amidon et à l'alimentation animale. La Commission européenne n'avait plus donné son feu vert à une culture OGM en Europe depuis 1998 et le maïs OGM de Monsanto, le MON 810.
La décision a en tous cas provoqué la colère des écologistes, et tout particulièrement ceux du parlement européen.
Une pomme de terre «résistance aux antibiotiques»
«Je suis choqué de voir que le commissaire à la Santé et à la protection des consommateurs, John Dalli, n'a eu besoin que de quelques semaines dans ses nouvelles fonctions pour exprimer un soutien aussi flagrant aux intérêts industriels», a estimé l'un de leurs chefs de file, Martin Häusling, dans un communiqué. «Il y a de sérieuses inquiétudes au sujet d'un gène» de la pomme de terre Amflora «qui est résistant aux antibiotiques», a-t-il ajouté. «Des doutes sérieux persistent concernant les conséquences possibles sur la santé humaine et l'environnement», a insisté l'élu, jugeant le feu vert de Bruxelles «au mieux inutile, et au pire dangereux».
«Cette décision de reprendre les autorisations de dissémination d'OGM dans l’environnement, en évacuant le débat sur leurs risques, est inacceptable», a critiqué de son côté la libérale Française Corinne Lepage, vice-présidente de la commission Environnement du Parlement.
«Une mauvaise journée pour l'environnement»
Elle «constitue une véritable déclaration de guerre à l’égard des citoyens européens majoritairement opposés aux cultures OGM, de la part de M. (José Manuel) Barroso», le président de la Commission, a-t-elle ajouté.
L'organisation des Amis de la terre a également dénoncé le feu vert de Bruxelles à la pomme de terre génétiquement modifiée de BASF. «C'est une mauvaise journée pour les citoyens européens et l'environnement», a-t-elle dit dans un communiqué.
20minutes
Bruxelles a aussi accepté la commercialisation en Europe de trois variétés de maïs transgéniques de la firme Monsanto, des dérivés du MON 863, selon un communiqué de l'exécutif européen. Une décision moins spectaculaire dans la mesure où des produits OGM importés font régulièrement l'objet d'autorisations pour le commerce.
Une première depuis le maïs de Monsanto
La vraie nouveauté concerne donc l'autorisation de la pomme de terre Amflora, une tubercule conçue par la firme BASF destinée à l'usage industriel pour son amidon et à l'alimentation animale. La Commission européenne n'avait plus donné son feu vert à une culture OGM en Europe depuis 1998 et le maïs OGM de Monsanto, le MON 810.
La décision a en tous cas provoqué la colère des écologistes, et tout particulièrement ceux du parlement européen.
Une pomme de terre «résistance aux antibiotiques»
«Je suis choqué de voir que le commissaire à la Santé et à la protection des consommateurs, John Dalli, n'a eu besoin que de quelques semaines dans ses nouvelles fonctions pour exprimer un soutien aussi flagrant aux intérêts industriels», a estimé l'un de leurs chefs de file, Martin Häusling, dans un communiqué. «Il y a de sérieuses inquiétudes au sujet d'un gène» de la pomme de terre Amflora «qui est résistant aux antibiotiques», a-t-il ajouté. «Des doutes sérieux persistent concernant les conséquences possibles sur la santé humaine et l'environnement», a insisté l'élu, jugeant le feu vert de Bruxelles «au mieux inutile, et au pire dangereux».
«Cette décision de reprendre les autorisations de dissémination d'OGM dans l’environnement, en évacuant le débat sur leurs risques, est inacceptable», a critiqué de son côté la libérale Française Corinne Lepage, vice-présidente de la commission Environnement du Parlement.
«Une mauvaise journée pour l'environnement»
Elle «constitue une véritable déclaration de guerre à l’égard des citoyens européens majoritairement opposés aux cultures OGM, de la part de M. (José Manuel) Barroso», le président de la Commission, a-t-elle ajouté.
L'organisation des Amis de la terre a également dénoncé le feu vert de Bruxelles à la pomme de terre génétiquement modifiée de BASF. «C'est une mauvaise journée pour les citoyens européens et l'environnement», a-t-elle dit dans un communiqué.
20minutes
Un débat public sur la protection des forêts européennes
Dans la continuité du Livre blanc sur l'adaptation au changement climatique, adopté par la Commission en avril 2009, le Livre vert adopté ce lundi par la Commission européenne expose les principaux problèmes qui touchent les forêts européennes et présente les instruments destinés à assurer leur protection. Mais au-delà du simple aspect informatif, le Livre vert questionne et enjoint à l'élaboration de solutions stratégiques futures.
A ce sujet, la Commission européenne offre la possibilité au public de s'exprimer jusqu'au 31 juillet 2010 sur le site Internet "Votre point de vue sur l'Europe". Dans le cadre de cette consultation, la Commission organise un séminaire qui réunira les parties intéressées le 3 juin, à Bruxelles, à l'occasion de la "Semaine verte". Elle décidera par la suite s'il est nécessaire d'inscrire des mesures supplémentaires au niveau européen.
"Les forêts sont des puits de carbone gigantesques, et c'est en cela qu'elles contribueront de manière essentielle aux efforts déployés pour limiter le réchauffement de la planète à moins de 2°C. Assurer la continuité de l'ensemble des services rendus par les forêts européennes est l'un des principaux objectifs de la stratégie de l'UE en matière de climat, a affirmé Connie Hedegaard, membre de la Commission européenne chargé de l'action pour le climat. Les contributions ainsi recueillies nous aideront à définir des mesures efficaces au niveau de l'UE en ce qui concerne le changement climatique et les forêts."
Pour rappel, Les forêts et les autres superficies boisées occupent environ 176 millions d'hectares dans l'UE, soit plus de 42% du territoire de l'Union européenne.
http://ec.europa.eu/environment/legal/liability/pdf/el_full_fr.pdf
L'express
Tempête Xynthia : urbanisation anarchique ou changement climatique en cause ?
Une affreuse catastrophe vient de s’abattre sur notre pays. La tempête Xynthia a durement frappé la France, et surtout la côte Atlantique. Vents très violents, forte marée et passage d'un creux dépressionnaire : l’association de ces trois phénomènes a particulièrement touché la Vendée et la Charentes-Maritimes. La faute à l’urbanisme ou au réchauffement climatique ?
Alors qu’une alerte au tsunami était annoncée dans l’océan Pacifique à la suite du tremblement de terre chilien, une montée des eaux brutale a notamment touché la Tranche-Sur-Mer, la Faute-Sur-Mer et l'Aiguillon-sur-Mer. Pas véritablement un tsunami, l’eau a quand même fortement monté dans les terres. Le bilan provisoire est lourd : en France, 48 morts sont à déplorer à l’heure actuelle. Après 1999, cette nouvelle tempête paralyse la France et d’autres pays européen. Doit-on y voir une nouvelle preuve du réchauffement climatique, une conséquence de l’urbanisation croissante des côtes françaises, ou une conjonction des deux qui pourrait se reproduire de plus en plus souvent ?
La question de l’urbanisation accélérée sur la côte atlantique sera certainement posée pour expliquer les dégâts déplorables de cette catastrophe. Nos infrastructures sont-elle vieillissantes ? Les côtes Françaises sont-elles victimes de leurs planifications urbaines et des constructions en « zones inondables » ? Doit-on avoir peur des aménagements côtiers, « politique du béton », qui imperméabilisent les sols et empêchent l’écoulement des eaux ? Pourtant, la préfecture de la Vendée est formelle : on ne peut pas tout prévoir. L’information et les consignes de sécurité étaient bien passées, grâce à une anticipation des événements par Météo-France en amont. Comme une prémonition des catastrophes de ce week-end, l’Etat limite, depuis quelques temps, la délivrance de permis de construire en zone littorale. Les plans de prévention des risques d’inondations et naturels sont mis en place pour aider les habitants en cas de danger. Alors pourquoi doit-on déplorer autant de victimes ? Principale explication pour cette tempête : Les zones sinistrées, dont particulièrement la Vendée, se trouvaient en plein couloir de tempête, et les conditions trop virulentes ont provoqué des ruptures de digues.
L’intensification de tempêtes est-elle à mettre sur le dos du réchauffement climatique ?
Tempête de 1999, canicule de 2003, été indien en 2009, hiver 2010 plus rigoureux que jamais, Xynthia... : le climat semble devenir fou. Les saisons se suivent mais ne se ressemblent plus. Doit-on expliquer la modification du climat français par un changement climatique ? Les climato-sceptiques diront que le phénomène est aléatoire. Certe, on peut se cacher la vérité ainsi. Mais si on en croit l’étude du professeur James Elsner (Université d’État de Floride à Tallahassee), tout s’explique scientifiquement : l’océan agit comme un « moteur thermique » des cyclones. Plus la chaleur s’accumule dans les océans, plus s’accroit l’énergie, qui se convertit en tempêtes et vents forts. Régis Crépet, prévisionniste à Météo France, avait répondu aux questions du figaro.fr, suite à la tempête Klaus. Selon lui, les tempêtes de décembre 1999 et janvier 2009 n’avaient comme seule différence l’étendue géographique. Or, selon des prévisions statistiques, ce genre de tempête n’arrive que tous les 40 ans. A l’époque, il émettait deux explications : le réchauffement climatique, bien sûr, ou un pur hasard. Aujourd’hui, avec cette nouvelle tempête, doit-on vraiment croire en une nouvelle coïncidence, ou la planète est-elle en train de se rebeller ?
greenzer
Alors qu’une alerte au tsunami était annoncée dans l’océan Pacifique à la suite du tremblement de terre chilien, une montée des eaux brutale a notamment touché la Tranche-Sur-Mer, la Faute-Sur-Mer et l'Aiguillon-sur-Mer. Pas véritablement un tsunami, l’eau a quand même fortement monté dans les terres. Le bilan provisoire est lourd : en France, 48 morts sont à déplorer à l’heure actuelle. Après 1999, cette nouvelle tempête paralyse la France et d’autres pays européen. Doit-on y voir une nouvelle preuve du réchauffement climatique, une conséquence de l’urbanisation croissante des côtes françaises, ou une conjonction des deux qui pourrait se reproduire de plus en plus souvent ?
La question de l’urbanisation accélérée sur la côte atlantique sera certainement posée pour expliquer les dégâts déplorables de cette catastrophe. Nos infrastructures sont-elle vieillissantes ? Les côtes Françaises sont-elles victimes de leurs planifications urbaines et des constructions en « zones inondables » ? Doit-on avoir peur des aménagements côtiers, « politique du béton », qui imperméabilisent les sols et empêchent l’écoulement des eaux ? Pourtant, la préfecture de la Vendée est formelle : on ne peut pas tout prévoir. L’information et les consignes de sécurité étaient bien passées, grâce à une anticipation des événements par Météo-France en amont. Comme une prémonition des catastrophes de ce week-end, l’Etat limite, depuis quelques temps, la délivrance de permis de construire en zone littorale. Les plans de prévention des risques d’inondations et naturels sont mis en place pour aider les habitants en cas de danger. Alors pourquoi doit-on déplorer autant de victimes ? Principale explication pour cette tempête : Les zones sinistrées, dont particulièrement la Vendée, se trouvaient en plein couloir de tempête, et les conditions trop virulentes ont provoqué des ruptures de digues.
L’intensification de tempêtes est-elle à mettre sur le dos du réchauffement climatique ?
Tempête de 1999, canicule de 2003, été indien en 2009, hiver 2010 plus rigoureux que jamais, Xynthia... : le climat semble devenir fou. Les saisons se suivent mais ne se ressemblent plus. Doit-on expliquer la modification du climat français par un changement climatique ? Les climato-sceptiques diront que le phénomène est aléatoire. Certe, on peut se cacher la vérité ainsi. Mais si on en croit l’étude du professeur James Elsner (Université d’État de Floride à Tallahassee), tout s’explique scientifiquement : l’océan agit comme un « moteur thermique » des cyclones. Plus la chaleur s’accumule dans les océans, plus s’accroit l’énergie, qui se convertit en tempêtes et vents forts. Régis Crépet, prévisionniste à Météo France, avait répondu aux questions du figaro.fr, suite à la tempête Klaus. Selon lui, les tempêtes de décembre 1999 et janvier 2009 n’avaient comme seule différence l’étendue géographique. Or, selon des prévisions statistiques, ce genre de tempête n’arrive que tous les 40 ans. A l’époque, il émettait deux explications : le réchauffement climatique, bien sûr, ou un pur hasard. Aujourd’hui, avec cette nouvelle tempête, doit-on vraiment croire en une nouvelle coïncidence, ou la planète est-elle en train de se rebeller ?
greenzer
Libellés :
Climat,
Phénomènes et catastrophes naturelles
Bio attidude
Les Français semblent de plus en plus attirés par le bio, mais pourquoi ce mode de vie «vert» a-t-il autant la cote ?
Les magasins spécialisés sont devenus le repère des bio-addict. Parmi ces boutiques, on compte Biocoop, une coopérative de magasins qui se veut un outil de distribution de produits biologiques. Depuis 1986, plusieurs officines ont ouvert aux quatre coins de la France. Dans les rayons, on trouve plus de 4500 produits bio. L’objectif pour cette coopérative est de réduire au maximum les intermédiaires et de passer le plus directement possible du producteur au consommateur. Pour Olivier, un responsable d’une boutique Biocoop, la petite surface de la boutique s’apparente à une épicerie fine. Au delà de l’alimentation bio, on trouve des produits beaucoup plus pointus. Au niveau du riz par exemple, il y a de nombreuses variétés : du riz rouge de Camargue ou encore du riz pour le risotto «difficile à trouver»…
Mais quel est le profil de ces clients ? Dans les allées du magasin nous avons interrogé un échantillon de personnes. Le résultat de ce sondage confirme l’explication d’Anne Ghesquière, l’ensemble des clients achètent des produits bio dans le but d’avoir une alimentation plus saine. La plupart des sondés expliquent que l’alimentation vendue par les industriels est un véritable «n’importe quoi». La découverte d’utilisation de pesticides sur les aliments ou d’antibiotiques dans la viande a écœuré certains Français. La population constate un emballement dans la nourriture des industriels, ils veulent retrouver une alimentation saine.
Les grandes surfaces se mettent au vert
Avant, les produits bio se trouvaient exclusivement dans les magasins spécialisés. Depuis plusieurs années maintenant les grandes surfaces se mettent aussi au vert. Nous prenons comme témoin de cet essor le groupe Carrefour. Mis à part le lancement de quelques produits bio dans les années 90, la grande surface ne s’est développé dans le domaine du bio que récemment. En 2005, Carrefour a crée sa propre gamme «Carrefour Agir», qui se décline en quatre catégories : les produits issus de l’agriculture biologique (Carrefour Agir Bio), les produits qui préservent l’environnement (Carrefour Agir Eco planète), les produits issus du commerce équitable (Carrefour Agir Solidaire), et les produits pour entretenir son capital santé (Carrefour Agir Nutrition).
Avec les scandales à répétition sur l’alimentaire, il ne fallait pas être un magicien pour comprendre que le bio allait rapidement devenir un marché très porteur. Ce qui explique cet engouement des grandes surfaces pour les produits bio. Le prix était cependant le frein principal des Français à l’achat de ces produits verts. Du coup les supermarchés sautent sur le coup en proposant comme Carrefour des produits bio 25% moins chers que dans les magasins spécialisés devenant, pour leur plus grand bonheur, le numéro 1 sur le marché du bio en hypermarché et supermarché avec 19% de part de marché en alimentaire.
Mis à part les industriels qui sautent sur cette vague pour se remplir les poches, le bio est bien plus qu’une mode. Son développement témoigne d’une réelle envie des Français d’un retour à une alimentation saine. Le «green-washing» est en marche !
Parismatch.fr
Les magasins spécialisés sont devenus le repère des bio-addict. Parmi ces boutiques, on compte Biocoop, une coopérative de magasins qui se veut un outil de distribution de produits biologiques. Depuis 1986, plusieurs officines ont ouvert aux quatre coins de la France. Dans les rayons, on trouve plus de 4500 produits bio. L’objectif pour cette coopérative est de réduire au maximum les intermédiaires et de passer le plus directement possible du producteur au consommateur. Pour Olivier, un responsable d’une boutique Biocoop, la petite surface de la boutique s’apparente à une épicerie fine. Au delà de l’alimentation bio, on trouve des produits beaucoup plus pointus. Au niveau du riz par exemple, il y a de nombreuses variétés : du riz rouge de Camargue ou encore du riz pour le risotto «difficile à trouver»…
Mais quel est le profil de ces clients ? Dans les allées du magasin nous avons interrogé un échantillon de personnes. Le résultat de ce sondage confirme l’explication d’Anne Ghesquière, l’ensemble des clients achètent des produits bio dans le but d’avoir une alimentation plus saine. La plupart des sondés expliquent que l’alimentation vendue par les industriels est un véritable «n’importe quoi». La découverte d’utilisation de pesticides sur les aliments ou d’antibiotiques dans la viande a écœuré certains Français. La population constate un emballement dans la nourriture des industriels, ils veulent retrouver une alimentation saine.
Les grandes surfaces se mettent au vert
Avant, les produits bio se trouvaient exclusivement dans les magasins spécialisés. Depuis plusieurs années maintenant les grandes surfaces se mettent aussi au vert. Nous prenons comme témoin de cet essor le groupe Carrefour. Mis à part le lancement de quelques produits bio dans les années 90, la grande surface ne s’est développé dans le domaine du bio que récemment. En 2005, Carrefour a crée sa propre gamme «Carrefour Agir», qui se décline en quatre catégories : les produits issus de l’agriculture biologique (Carrefour Agir Bio), les produits qui préservent l’environnement (Carrefour Agir Eco planète), les produits issus du commerce équitable (Carrefour Agir Solidaire), et les produits pour entretenir son capital santé (Carrefour Agir Nutrition).
Avec les scandales à répétition sur l’alimentaire, il ne fallait pas être un magicien pour comprendre que le bio allait rapidement devenir un marché très porteur. Ce qui explique cet engouement des grandes surfaces pour les produits bio. Le prix était cependant le frein principal des Français à l’achat de ces produits verts. Du coup les supermarchés sautent sur le coup en proposant comme Carrefour des produits bio 25% moins chers que dans les magasins spécialisés devenant, pour leur plus grand bonheur, le numéro 1 sur le marché du bio en hypermarché et supermarché avec 19% de part de marché en alimentaire.
Mis à part les industriels qui sautent sur cette vague pour se remplir les poches, le bio est bien plus qu’une mode. Son développement témoigne d’une réelle envie des Français d’un retour à une alimentation saine. Le «green-washing» est en marche !
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