Un lave-linge consomme de l'eau, de l'électricité et de la lessive. Pour économiser sur les trois tableaux, il suffit d'en appeler à son bon sens. En matière d'eau, remplir sa machine et ne pas la faire fonctionner pour trois culottes et un jean permet d'optimiser sa consommation. Pour l'électricité, laver à froid limite l'usage de la résistance. Lire la suite l'article
Quant à la lessive, glisser des balles en caoutchouc dans le tambour pour battre le linge comme feu la mère Denis permet de limiter les doses requises. Les puristes fabriquent leur propre lessive en mélangeant 75 g de savon de Marseille râpé, un verre de cristaux de soude dans 1,5 litre d'eau bouillante. Un verre de cette lessive home-made suffit ! En guise d'adoucissant, opter pour le demi-verre de vinaigre blanc dans le bac de rinçage. Quant aux blanchissants divers et variés, on peut choisir du citron en tranches glissé dans une chaussette ou du percarbonate de sodium (qui libère l'oxygène actif) sur les taches.
http://www.liberation.fr/terre/01012303787-le-lave-linge-et-la-lessive-en-mode-economique
mardi 30 novembre 2010
lundi 29 novembre 2010
A Nantes, une "villa" se prépare à sortir des poubelles
Une maison d'architecte fabriquée exclusivement à partir de détritus est en construction à Nantes pour sensibiliser la population au problème du suremballage des produits de consommation. Lire la suite l'article
Près de 1.300 palettes en bois, seize fenêtres de récupération ou encore 1000 m2 de bâches de serres maraîchères ont été collectées pour la "Villa Déchets", une maison de 76 m2 dont la construction coïncide avec la Semaine européenne de réduction des déchets.
Quelque 250 m2 de parquet ont également été récupérés sur le chantier de rénovation d'une église, et 800 caissettes de fruits feront les meubles de la villa, où dormiront en décembre les occupants qui auront remporté leurs nuitées aux enchères.
A partir de janvier, la "Villa Déchets" - qui mobilise une centaine de bénévoles chaque jour depuis plus d'un mois - sera installée définitivement dans un éco-quartier de Nantes. Un "bilan carbone" de l'opération sera alors dressé.
"Nous voulons démontrer que le recyclage n'est pas la solution à tout: même si cette villa n'aura rien coûté, elle aura nécessité beaucoup de déplacements", explique Frédéric Tabary, un architecte d'intérieur qui a porté le projet avec Yann Falquerho, un ami scénographe. "Elle sera le symbole de tout ce qui a été surconsommé."
Les deux hommes avaient déjà aménagé à Nantes il y a un an la "Villa Hamster", un "gîte urbain" au concept décalé, où les occupants peuvent courir dans une roue géante ou laper l'eau d'une fontaine, à la façon du rongeur préféré des enfants.
Ils envisagent à présent de créer une "Villa Déchets" l'an prochain à Paris, puis en 2012 à Bruxelles (Belgique) et en 2014 à New York (Etats-Unis).
http://fr.rd.yahoo.com/partner/reuters/SIG=111h93ub9/**http%3A%2F%2Ffr.reuters.com%2F
Près de 1.300 palettes en bois, seize fenêtres de récupération ou encore 1000 m2 de bâches de serres maraîchères ont été collectées pour la "Villa Déchets", une maison de 76 m2 dont la construction coïncide avec la Semaine européenne de réduction des déchets.
Quelque 250 m2 de parquet ont également été récupérés sur le chantier de rénovation d'une église, et 800 caissettes de fruits feront les meubles de la villa, où dormiront en décembre les occupants qui auront remporté leurs nuitées aux enchères.
A partir de janvier, la "Villa Déchets" - qui mobilise une centaine de bénévoles chaque jour depuis plus d'un mois - sera installée définitivement dans un éco-quartier de Nantes. Un "bilan carbone" de l'opération sera alors dressé.
"Nous voulons démontrer que le recyclage n'est pas la solution à tout: même si cette villa n'aura rien coûté, elle aura nécessité beaucoup de déplacements", explique Frédéric Tabary, un architecte d'intérieur qui a porté le projet avec Yann Falquerho, un ami scénographe. "Elle sera le symbole de tout ce qui a été surconsommé."
Les deux hommes avaient déjà aménagé à Nantes il y a un an la "Villa Hamster", un "gîte urbain" au concept décalé, où les occupants peuvent courir dans une roue géante ou laper l'eau d'une fontaine, à la façon du rongeur préféré des enfants.
Ils envisagent à présent de créer une "Villa Déchets" l'an prochain à Paris, puis en 2012 à Bruxelles (Belgique) et en 2014 à New York (Etats-Unis).
http://fr.rd.yahoo.com/partner/reuters/SIG=111h93ub9/**http%3A%2F%2Ffr.reuters.com%2F
dimanche 28 novembre 2010
Le gouvernement britannique va vendre 150.000 hectares de forêts
Le gouvernement britannique s'apprête à vendre 150.000 hectares de forêts anglaises.
Pour faire face à l'austérité, annoncée courant octobre, le gouvernement britannique va vendre 150.000 hectares de forêts. Cela représente la moitié de la surface totale des forêts de l'Etat. Grâce à cette opération, le ministère de l'Environnement pourra gagner 5 milliards de livres sterling (environ 6 milliards d'euros).
"Cette vente, qui représenterait la cession de terrain la plus importante jamais réalisée depuis la Seconde Guerre mondiale, pourrait entraîner la construction de lotissements, de terrains de golf ou de villages de vacances sur des lieux autrefois protégés", indique The Guardian. D'autant que la Grande-Bretagne n'a 12% de son territoire couvert par des forêts (contre 4% au début du siècle dernier). Mais cela reste très peu, comparé au reste de l'Europe dont la moyenne se situe aux alentours de 30%.
Pour le parti écologique, cette vente constitue un "acte impardonnable de vandalisme environnemental". Au lendemain de cette décision, 10.000 personnes avaient déjà signé une pétition, pressant le gouvernement à mettre fin à cette vente. Parmi les forêts concernées, la forêt de Cardinham, par exemple. Quintessence même des forêts modernes, c'est à la fois un terrain de jeu et de promenade, une réserve naturelle et un ensemble de bois destinés à la coupe.
http://www.maxisciences.com/for%eat/le-gouvernement-britannique-va-vendre-150-000-hectares-de-forets_art10498.html
Pour faire face à l'austérité, annoncée courant octobre, le gouvernement britannique va vendre 150.000 hectares de forêts. Cela représente la moitié de la surface totale des forêts de l'Etat. Grâce à cette opération, le ministère de l'Environnement pourra gagner 5 milliards de livres sterling (environ 6 milliards d'euros).
"Cette vente, qui représenterait la cession de terrain la plus importante jamais réalisée depuis la Seconde Guerre mondiale, pourrait entraîner la construction de lotissements, de terrains de golf ou de villages de vacances sur des lieux autrefois protégés", indique The Guardian. D'autant que la Grande-Bretagne n'a 12% de son territoire couvert par des forêts (contre 4% au début du siècle dernier). Mais cela reste très peu, comparé au reste de l'Europe dont la moyenne se situe aux alentours de 30%.
Pour le parti écologique, cette vente constitue un "acte impardonnable de vandalisme environnemental". Au lendemain de cette décision, 10.000 personnes avaient déjà signé une pétition, pressant le gouvernement à mettre fin à cette vente. Parmi les forêts concernées, la forêt de Cardinham, par exemple. Quintessence même des forêts modernes, c'est à la fois un terrain de jeu et de promenade, une réserve naturelle et un ensemble de bois destinés à la coupe.
http://www.maxisciences.com/for%eat/le-gouvernement-britannique-va-vendre-150-000-hectares-de-forets_art10498.html
samedi 27 novembre 2010
Un magazine acheté, un arbre planté
Le Figaro Magazine et la Fondation Yves Rocher lancent une opération étonnante pour replanter des milliers d'arbres : demain, pour un magazine acheté, un arbre sera replanté
L'opération avait déjà été lancée au mois d'avril 2009. Cette année Le Figaro Magazine remet ça. Pour l'achat d'un exemplaire demain, titré "Aux arbres, citoyens !", un arbre sera planté.
Le magazine en appelle à ses lecteurs éco-citoyens et s'engage à reverser 0,50 centimes d'euros à la Fondation Yves Rocher sur chaque exemplaire vendu en kiosque pour replanter ces arbres en France.
Une opération décriée par l'hebdomadaire Marianne, la décrivant comme une belle manière pour le magazine de sauver ses ventes en demandant de sauver les arbres.
Lors du lancement de sa première opération en 2009 visant à replanter des arbres, Le Figaro rappelait que chaque année dans le monde, ce sont 16 millions d'hectares d'arbres qui disparaissent.
http://www.maxisciences.com/magazine/un-magazine-achete-un-arbre-plante_art10691.html
L'opération avait déjà été lancée au mois d'avril 2009. Cette année Le Figaro Magazine remet ça. Pour l'achat d'un exemplaire demain, titré "Aux arbres, citoyens !", un arbre sera planté.
Le magazine en appelle à ses lecteurs éco-citoyens et s'engage à reverser 0,50 centimes d'euros à la Fondation Yves Rocher sur chaque exemplaire vendu en kiosque pour replanter ces arbres en France.
Une opération décriée par l'hebdomadaire Marianne, la décrivant comme une belle manière pour le magazine de sauver ses ventes en demandant de sauver les arbres.
Lors du lancement de sa première opération en 2009 visant à replanter des arbres, Le Figaro rappelait que chaque année dans le monde, ce sont 16 millions d'hectares d'arbres qui disparaissent.
http://www.maxisciences.com/magazine/un-magazine-achete-un-arbre-plante_art10691.html
vendredi 26 novembre 2010
L'Europe de l'Est inaugure sa cité des sciences
Aussi moderne que coûteux, le centre scientifique Copernic vient d'ouvrir ses portes dans la capitale polonaise, Varsovie. Une grande fierté pour l'Europe centrale et orientale qui n'avaient jusqu'alors pas de cité des sciences à la hauteur. Lire la suite l'article
365 millions de zlotys, soit 93 millions d'euros environ : c'est le prix qu'aura coûté ce centre bâti sur quelque 20.000 mètres carrés, qui accueillent près de 450 attractions. "Notre centre scientifique est le plus grand et le plus moderne à l'Est de Berlin", s'est félicité auprès de l'AFP le directeur du centre Copernic, Robert Firmhofer. Il précise que "l'allocation de 52 millions d'euros de fonds européens a permis de construire ce centre rapidement".
L'objectif de ce musée est de populariser la science au moyen de démonstrations, d'expériences et d'attractions interactives. Des expositions sur les sciences exactes côtoieront celles sur les sciences humaines, comme des installations artistiques inspirées par la science. L'exposition permanente du centre est axée sur deux thèmes : "l'Homme et l'environnement" et "le monde en mouvement". Depuis son inauguration au début du mois, le musée a déjà accueilli des milliers de personnes qui n'hésitent pas à patienter pendant des heures pour pouvoir entrer dans ce temple de la science.
Alors que les visiteurs sont invités à se glisser dans la peau d'un archéologue, à remonter le temps pour découvrir des dinosaures, ou plus incroyable encore, à faire un voyage sur un tapis volant, le centre Copernic sera prochainement doté d'un théâtre où évolueront en tant qu'acteurs, des robots humanoïdes. En 2011, le musée ouvrira également un planétarium.
Autre grande fierté pour Varsovie : en mai 2011, le centre Copernic accueillera la conférence annuelle du réseau européen de musées scientifiques Ecsite, qui regroupe plus de 400 institutions de 50 pays.
http://www.maxisciences.com/centre-copernic/l-039-europe-de-l-039-est-inaugure-sa-cite-des-sciences_art10502.html
365 millions de zlotys, soit 93 millions d'euros environ : c'est le prix qu'aura coûté ce centre bâti sur quelque 20.000 mètres carrés, qui accueillent près de 450 attractions. "Notre centre scientifique est le plus grand et le plus moderne à l'Est de Berlin", s'est félicité auprès de l'AFP le directeur du centre Copernic, Robert Firmhofer. Il précise que "l'allocation de 52 millions d'euros de fonds européens a permis de construire ce centre rapidement".
L'objectif de ce musée est de populariser la science au moyen de démonstrations, d'expériences et d'attractions interactives. Des expositions sur les sciences exactes côtoieront celles sur les sciences humaines, comme des installations artistiques inspirées par la science. L'exposition permanente du centre est axée sur deux thèmes : "l'Homme et l'environnement" et "le monde en mouvement". Depuis son inauguration au début du mois, le musée a déjà accueilli des milliers de personnes qui n'hésitent pas à patienter pendant des heures pour pouvoir entrer dans ce temple de la science.
Alors que les visiteurs sont invités à se glisser dans la peau d'un archéologue, à remonter le temps pour découvrir des dinosaures, ou plus incroyable encore, à faire un voyage sur un tapis volant, le centre Copernic sera prochainement doté d'un théâtre où évolueront en tant qu'acteurs, des robots humanoïdes. En 2011, le musée ouvrira également un planétarium.
Autre grande fierté pour Varsovie : en mai 2011, le centre Copernic accueillera la conférence annuelle du réseau européen de musées scientifiques Ecsite, qui regroupe plus de 400 institutions de 50 pays.
http://www.maxisciences.com/centre-copernic/l-039-europe-de-l-039-est-inaugure-sa-cite-des-sciences_art10502.html
jeudi 25 novembre 2010
Pour 66 % des Français, le réchauffement climatique se fait déjà sentir
Quand on parle de réchauffement, les jeunes et les vieux ne sont pas d'accord. Un clivage que met très bien en évidence un sondage IFOP 'Les Français et le climato-scepticisme', réalisé en exclusivité pour Le Monde, en partenariat avec France Inter, à dix jours du Sommet de Cancun (Mexique) sur le climat.
Pour 66 % des Français, les conséquences du réchauffement renforcement des phénomènes météorologiques extrêmes (cyclones, ouragans...), hausse du nombre de sécheresses, canicules, etc. se font déjà sentir. Chez les moins de 35 ans, ce pourcentage grimpe jusqu'à 78 %, tandis qu'il chute à 50 % chez les 65 ans et plus.
LOBBYING INFLUENT
Les thèses climato-sceptiques ? 69 % des Français disent en avoir entendu parler, mais 91% des 65 ans et plus les ont entendues contre 56 % des moins de 35 ans. Ce clivage intergénérationnel est plus important que celui qui existe entre UMP et PS. Ainsi 62 % des gens de gauche considèrent que le réchauffement et ses conséquences sont une menace pour leur mode de vie contre 48 % des interrogés proches de la droite.
Une surprise : la similitude des réponses entre non-diplômés et diplômés. Vis-à-vis du changement climatique, les positions ne varient pas que l'on soit ouvrier ou jeune cadre titulaire d'un MBA. Grâce à un regard croisé France-Etats-Unis, le sondage montre également combien le lobbying des industriels du pétrole et du charbon a réussi à influencer l'opinion publique américaine
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/11/18/pour-66-des-francais-le-rechauffement-se-fait-deja-sentir_1441771_3244.html#xtor=AL-32280184
Pour 66 % des Français, les conséquences du réchauffement renforcement des phénomènes météorologiques extrêmes (cyclones, ouragans...), hausse du nombre de sécheresses, canicules, etc. se font déjà sentir. Chez les moins de 35 ans, ce pourcentage grimpe jusqu'à 78 %, tandis qu'il chute à 50 % chez les 65 ans et plus.
LOBBYING INFLUENT
Les thèses climato-sceptiques ? 69 % des Français disent en avoir entendu parler, mais 91% des 65 ans et plus les ont entendues contre 56 % des moins de 35 ans. Ce clivage intergénérationnel est plus important que celui qui existe entre UMP et PS. Ainsi 62 % des gens de gauche considèrent que le réchauffement et ses conséquences sont une menace pour leur mode de vie contre 48 % des interrogés proches de la droite.
Une surprise : la similitude des réponses entre non-diplômés et diplômés. Vis-à-vis du changement climatique, les positions ne varient pas que l'on soit ouvrier ou jeune cadre titulaire d'un MBA. Grâce à un regard croisé France-Etats-Unis, le sondage montre également combien le lobbying des industriels du pétrole et du charbon a réussi à influencer l'opinion publique américaine
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/11/18/pour-66-des-francais-le-rechauffement-se-fait-deja-sentir_1441771_3244.html#xtor=AL-32280184
mercredi 24 novembre 2010
mardi 23 novembre 2010
Le Destin du monde : jouez à lutter contre le réchauffement climatique
Royaume-Uni - Développé sur la base de projections scientifiques, économiques et démographiques de la Nasa, des Nations unies, et de l'université britannique d'Oxford, un nouveau jeu vidéo vise à sensibiliser à la lutte contre le changement climatique. Baptisé Le Destin du monde, il propose aux joueurs de se glisser dans la peau du directeur de l'Organisation internationale de l'environnement (OIE), afin de lutter contre les impacts du réchauffement de la planète
Vous dirigez la planète pendant 200 ans, et vous la sauvez ou vous la détruisez" résume pour l'AFP Gobion Rowlands, président de la société de jeux vidéo Red Redemption et inventeur de ce programme d'un nouveau genre. Le joueur qui aura entre les mains Le Destin du monde, devra mettre en place politiques environnementales, économiques et sociales, qui lui permettront, ou non, de sauver la planète face à la menace climatique.
En tant que directeur de l'Organisation internationale de l'environnement (OIE), le joueur se verra proposer de multiples options pour tenter d'atteindre son but : interdire l'exploitation de la forêt amazonienne, développer les transports en commun verts, ou encore imposer une politique de l'enfant unique dans toute l'Asie, tout en s'assurant de ne pas engendrer un dramatique manque de main d'oeuvre...
Les conséquences de ces décisions seront révélées par période de cinq ans : le joueur pourra ainsi savoir s'il a réussi à sauver l'orang-outan de l'extinction qui le menace, si la température globale de la planète a diminué ou au contraire augmenté, ou encore s'il est parvenu à éviter l'inondation d'une grande partie de l'Europe. Autant de défis qui permettront aux joueurs d'en apprendre "autant sur le sujet en détruisant le monde qu'en le sauvant", souligne Gobion Rowlands.
Sortie prévue en mars 2011
Bien plus qu'un simple jeu, Le Destin du monde a été développé sur la base de projections scientifiques de la Nasa, des Nations unies ou encore de l'université d'Oxford. Toute ceal a ét... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/le-destin-du-monde/le-destin-du-monde-jouez-a-lutter-contre-le-rechauffement-climatique_art10421.html
Vous dirigez la planète pendant 200 ans, et vous la sauvez ou vous la détruisez" résume pour l'AFP Gobion Rowlands, président de la société de jeux vidéo Red Redemption et inventeur de ce programme d'un nouveau genre. Le joueur qui aura entre les mains Le Destin du monde, devra mettre en place politiques environnementales, économiques et sociales, qui lui permettront, ou non, de sauver la planète face à la menace climatique.
En tant que directeur de l'Organisation internationale de l'environnement (OIE), le joueur se verra proposer de multiples options pour tenter d'atteindre son but : interdire l'exploitation de la forêt amazonienne, développer les transports en commun verts, ou encore imposer une politique de l'enfant unique dans toute l'Asie, tout en s'assurant de ne pas engendrer un dramatique manque de main d'oeuvre...
Les conséquences de ces décisions seront révélées par période de cinq ans : le joueur pourra ainsi savoir s'il a réussi à sauver l'orang-outan de l'extinction qui le menace, si la température globale de la planète a diminué ou au contraire augmenté, ou encore s'il est parvenu à éviter l'inondation d'une grande partie de l'Europe. Autant de défis qui permettront aux joueurs d'en apprendre "autant sur le sujet en détruisant le monde qu'en le sauvant", souligne Gobion Rowlands.
Sortie prévue en mars 2011
Bien plus qu'un simple jeu, Le Destin du monde a été développé sur la base de projections scientifiques de la Nasa, des Nations unies ou encore de l'université d'Oxford. Toute ceal a ét... lire la suite de l'article sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/le-destin-du-monde/le-destin-du-monde-jouez-a-lutter-contre-le-rechauffement-climatique_art10421.html
lundi 22 novembre 2010
La vie en bio est-elle plus belle?
En France, l'agriculture biologique (environ 2% de la surface agricole utilisée) et la consommation de produits bio (1,7% du marché alimentaire) se répandent, comme l'indique l'Agence bio sur son site.
Pourtant, le bio est contesté. Des agriculteurs mettent en doute son bien-fondé lorsqu'il s'agit d'atteindre des rendements corrects, des consommateurs s'agacent de prix exagérés, quand d'autres s'interrogent sur les contrôles de la filière...
Pour faire la part des choses, nous lançons une enquête participative: jusqu'à fin septembre, en prenant en compte vos suggestions et vos témoignages, nous allons interroger les acteurs de la filière, détailler les pratiques, relever les succès du bio mais aussi en pointer les dysfonctionnements...
Après un premier article sur les importations de nombreux produits bio et sur la production de CO2 qu'elles entraînent et un florilège de réactions des internautes concernant le prix du bio (doublé d'un appel à témoignages concernant d'éventuelles fraudes au bio), nous avons publié:
- un article sur le bio et la santé: que disent vraiment les études?
- le témoignage d'un néo-agriculteur qui souhaite passer au bio mais s'étonne de pratiques tolérées par le label AB et des motivations de certains agriculteurs bio,
- un match bio / conventionnel pour la viande, les fruits et légumes et les plats préparés.
Et nous comptons mettre en ligne prochainement:
- le prix du bio: quelles sont les marges? qui en profite plus?- arnaques au "faux bio", contrôles parfois insuffisant, limites des réglementations, sur les OGM par exemple: les failles de la filière aujourd'hui,- enquête sur les produits bio de la grande distribution: sont-ils aussi bons pour le consommateur et pour le producteur que ceux des magasins spécialisés?- entretien avec un responsable (de l... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/la-vie-en-bio-est-elle-plus-belle-donnez-votre-avis_911332.html#xtor=AL-447
Pourtant, le bio est contesté. Des agriculteurs mettent en doute son bien-fondé lorsqu'il s'agit d'atteindre des rendements corrects, des consommateurs s'agacent de prix exagérés, quand d'autres s'interrogent sur les contrôles de la filière...
Pour faire la part des choses, nous lançons une enquête participative: jusqu'à fin septembre, en prenant en compte vos suggestions et vos témoignages, nous allons interroger les acteurs de la filière, détailler les pratiques, relever les succès du bio mais aussi en pointer les dysfonctionnements...
Après un premier article sur les importations de nombreux produits bio et sur la production de CO2 qu'elles entraînent et un florilège de réactions des internautes concernant le prix du bio (doublé d'un appel à témoignages concernant d'éventuelles fraudes au bio), nous avons publié:
- un article sur le bio et la santé: que disent vraiment les études?
- le témoignage d'un néo-agriculteur qui souhaite passer au bio mais s'étonne de pratiques tolérées par le label AB et des motivations de certains agriculteurs bio,
- un match bio / conventionnel pour la viande, les fruits et légumes et les plats préparés.
Et nous comptons mettre en ligne prochainement:
- le prix du bio: quelles sont les marges? qui en profite plus?- arnaques au "faux bio", contrôles parfois insuffisant, limites des réglementations, sur les OGM par exemple: les failles de la filière aujourd'hui,- enquête sur les produits bio de la grande distribution: sont-ils aussi bons pour le consommateur et pour le producteur que ceux des magasins spécialisés?- entretien avec un responsable (de l... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/la-vie-en-bio-est-elle-plus-belle-donnez-votre-avis_911332.html#xtor=AL-447
dimanche 21 novembre 2010
samedi 20 novembre 2010
vendredi 19 novembre 2010
Développement durable : Levi's réduit la quantité d'eau nécessaire à la conception de ses jeans
La célèbre marque de jeans Levi's se met au vert en lançant une nouvelle collection plus économe en eau. Une ligne tout simplement baptisée Water-Less.
Avec trois à dix lavages dans des machines industrielles et 42 litres d'eau nécessaires à sa fabrication, le jeans peine à se faire écologique. Mais avec sa collection Water-Less, Levi's entend bien verdir ses célèbres pantalons. "Parfois, pour créer un design durable, il faut repenser le processus traditionnel et trouver une façon de le faire d'une meilleure manière", souligne Carl Chiara, responsable des concepts de la marque et des projets spéciaux chez Levi's.
Si les mêmes techniques et matériaux habituellement utilisés pour les finitions des jeans ont été conservés, c'est la quantité d'eau nécessaire à la fabrication qui a sensiblement diminué. La consommation d'eau a ainsi été réduite de 28% en moyenne pour les jeans standard, et jusqu'à 96% sur certains produits de la collection Water-Less, qui compte une douzaine de modèles.
Un lavage en machine repensé, le recours à l'ozone pour le nettoyage : au total Levi's mise sur une économie de 16 millions de litres d'eau sur la fabrication d'1,5 million de jeans, et ce dès le printemps prochain. Cette démarche, Levi's l'accompagne d'une campagne de sensibilisation, en conseillant notamment à ses clients de ne laver leurs jeans que toutes les deux semaines, et non une fois par semaine. C'est alors une économie d'eau de plus de 80 millions de litres, soit 13 millions de chasses d'eau, qui pourrait être réalisée.
http://www.maxisciences.com/levis/developpement-durable-levi-039-s-reduit-la-quantite-d-039-eau-necessaire-a-la-conception-de-ses-jeans_art10235.html
Avec trois à dix lavages dans des machines industrielles et 42 litres d'eau nécessaires à sa fabrication, le jeans peine à se faire écologique. Mais avec sa collection Water-Less, Levi's entend bien verdir ses célèbres pantalons. "Parfois, pour créer un design durable, il faut repenser le processus traditionnel et trouver une façon de le faire d'une meilleure manière", souligne Carl Chiara, responsable des concepts de la marque et des projets spéciaux chez Levi's.
Si les mêmes techniques et matériaux habituellement utilisés pour les finitions des jeans ont été conservés, c'est la quantité d'eau nécessaire à la fabrication qui a sensiblement diminué. La consommation d'eau a ainsi été réduite de 28% en moyenne pour les jeans standard, et jusqu'à 96% sur certains produits de la collection Water-Less, qui compte une douzaine de modèles.
Un lavage en machine repensé, le recours à l'ozone pour le nettoyage : au total Levi's mise sur une économie de 16 millions de litres d'eau sur la fabrication d'1,5 million de jeans, et ce dès le printemps prochain. Cette démarche, Levi's l'accompagne d'une campagne de sensibilisation, en conseillant notamment à ses clients de ne laver leurs jeans que toutes les deux semaines, et non une fois par semaine. C'est alors une économie d'eau de plus de 80 millions de litres, soit 13 millions de chasses d'eau, qui pourrait être réalisée.
http://www.maxisciences.com/levis/developpement-durable-levi-039-s-reduit-la-quantite-d-039-eau-necessaire-a-la-conception-de-ses-jeans_art10235.html
jeudi 18 novembre 2010
Cancun : inauguration du plus grand musée sous-marin au monde
Le plus grand musée sous-marin au monde sera inauguré fin novembre. Au fond de la mer des Caraïbes, à Cancun, il offre à voir 400 statues de taille humaine, placées à neuf mètres de profondeur
Le plus grand musée sous-marin du monde est l'oeuvre du sculpteur britannique Jason deCaires Taylor, amateur de plongée. Baptisée "L'évolution silencieuse", cette intégration au milieu marin n'a pas qu'un intérêt purement artistique. Le sculpteur et Roberto Diaz, président de ce musée subaquatique de l'art (Musa), expliquent l'intérêt de l'intégration des statues au milieu marin. "La première fois que j'ai vu le travail de Jason sur internet, j'ai adoré. Il a cette touche magique du sculpteur inspiré par l'esprit de préservation de la nature", déclare Roberto Diaz.
Coraux, éponges, anémones et autres organismes vont prendre possession petit à petit du musée et en faire ainsi "évoluer silencieusement" les contours.
Parallèlement, le musée va contribuer à sa façon à la préservation de l'écosystème en détournant une partie des 750.000 touristes qui viennent chaque année s'adonner à la plongée sous-marine.
Le musée a coûté 250.000 dollars (environ 183.000 euros) mais il doit encore s'agrandir, en s'ouvrant à d'autres artistes.
"Je considère que ça n'est pas terminé, c'est seulement une phase", souligne Jason deCaires Taylor. "J'en suis au stade où j'installe des sculptures dans la mer. Ensuite, comme l'indique le titre, elles vont évoluer, considérablement", conclut-il.
http://www.maxisciences.com/mexique/cancun-inauguration-du-plus-grand-musee-sous-marin-au-monde_art10367.html
Le plus grand musée sous-marin du monde est l'oeuvre du sculpteur britannique Jason deCaires Taylor, amateur de plongée. Baptisée "L'évolution silencieuse", cette intégration au milieu marin n'a pas qu'un intérêt purement artistique. Le sculpteur et Roberto Diaz, président de ce musée subaquatique de l'art (Musa), expliquent l'intérêt de l'intégration des statues au milieu marin. "La première fois que j'ai vu le travail de Jason sur internet, j'ai adoré. Il a cette touche magique du sculpteur inspiré par l'esprit de préservation de la nature", déclare Roberto Diaz.
Coraux, éponges, anémones et autres organismes vont prendre possession petit à petit du musée et en faire ainsi "évoluer silencieusement" les contours.
Parallèlement, le musée va contribuer à sa façon à la préservation de l'écosystème en détournant une partie des 750.000 touristes qui viennent chaque année s'adonner à la plongée sous-marine.
Le musée a coûté 250.000 dollars (environ 183.000 euros) mais il doit encore s'agrandir, en s'ouvrant à d'autres artistes.
"Je considère que ça n'est pas terminé, c'est seulement une phase", souligne Jason deCaires Taylor. "J'en suis au stade où j'installe des sculptures dans la mer. Ensuite, comme l'indique le titre, elles vont évoluer, considérablement", conclut-il.
http://www.maxisciences.com/mexique/cancun-inauguration-du-plus-grand-musee-sous-marin-au-monde_art10367.html
mercredi 17 novembre 2010
Suez Environnement : recyclage des déchets plastiques pour faire du gazole
Sita UK, une filiale de Suez Environnement, a annoncé la construction de dix usines au Royaume-Uni. Ces sites permettront de recycler les déchets plastiques pour les transformer en gazole directement utilisable
La technologie développée par Cynar est déjà en place en Irlande. Elle permet de convertir les déchets plastiques en combustibles liquides. Mais cette fois, ce que la filiale de Suez, Sita UK, s'apprête à mettre sur pied en partenariat avec Cynar est un ensemble d'usines uniques en leur genre, capable de transformer les déchets plastiques en un gazole exploitable.
Après une première étape destinée à trier les plastiques, ceux-ci sont ensuite transformés par un processus de pyrolyse (décomposition d'un composé organique par la chaleur, pour obtenir d'autres produits).
"Ce qui rend ce projet unique, c'est qu'il y avait déjà des projets de transformation de déchets de plastique en pétrole brut, mais il n'y en avait pas pour transformer le plastique directement en gazole immédiatement utilisable", explique David Palmer-Jones, le PDG de Sita UK.
Chaque usine assurera la transformation de 6.000 tonnes de déchets et produira 4 millions de litres de gazole. L'objectif de 60.000 tonnes de déchets plastiques mixtes recyclés par an est donc prévu. A terme, sur une tonne de déchets plastiques traitée 75% seront convertis en gazole, 15 à 20% en kérosène et le restant en gaz pour le fonctionnement même de l'usine.
http://www.maxisciences.com/environnement/suez-environnement-recyclage-des-dechets-plastiques-pour-faire-du-gazole_art10298.html
La technologie développée par Cynar est déjà en place en Irlande. Elle permet de convertir les déchets plastiques en combustibles liquides. Mais cette fois, ce que la filiale de Suez, Sita UK, s'apprête à mettre sur pied en partenariat avec Cynar est un ensemble d'usines uniques en leur genre, capable de transformer les déchets plastiques en un gazole exploitable.
Après une première étape destinée à trier les plastiques, ceux-ci sont ensuite transformés par un processus de pyrolyse (décomposition d'un composé organique par la chaleur, pour obtenir d'autres produits).
"Ce qui rend ce projet unique, c'est qu'il y avait déjà des projets de transformation de déchets de plastique en pétrole brut, mais il n'y en avait pas pour transformer le plastique directement en gazole immédiatement utilisable", explique David Palmer-Jones, le PDG de Sita UK.
Chaque usine assurera la transformation de 6.000 tonnes de déchets et produira 4 millions de litres de gazole. L'objectif de 60.000 tonnes de déchets plastiques mixtes recyclés par an est donc prévu. A terme, sur une tonne de déchets plastiques traitée 75% seront convertis en gazole, 15 à 20% en kérosène et le restant en gaz pour le fonctionnement même de l'usine.
http://www.maxisciences.com/environnement/suez-environnement-recyclage-des-dechets-plastiques-pour-faire-du-gazole_art10298.html
mardi 16 novembre 2010
Pénurie de riz : les experts réclament des mesures d'urgence
Des actions urgentes sont nécessaires pour prévenir une pénurie de riz dans le monde dans les années à venir, ont indiqué mardi 9 novembre à Hanoï des experts internationaux, alarmés par l'augmentation rapide de la demande et l'insuffisance des rendements. 'Nous devons agir maintenant, pas la semaine prochaine, pas le mois prochain, pas l'année prochaine, mais aujourd'hui', a déclaré Kanayo Nwanze, président du Fonds international des Nations unies pour le développement agricole
Le riz est l'aliment de base de plus de trois milliards de personnes, soit environ la moitié de la population mondiale. 'La demande prévue de riz dépassera la production à proche ou moyen terme, à moins que quelque chose soit fait pour renverser les tendances actuelles', a estimé Robert Zeigler, de l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI). Parmi ces tendances figurent notamment une 'faible croissance de la productivité et une gestion inefficace (...) des ressources naturelles'.
LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE GARANTE DE LA STABILITÉ SOCIALE
Le Vietnam lui-même, deuxième exportateur mondial de riz derrière la Thaïlande, fait face à de sérieux défis alors que sa croissance démographique et de fréquentes catastrophes naturelles portent atteinte aux récoltes.
'Assurer la sécurité alimentaire n'est pas seulement une activité économique ou humanitaire', mais 'contribue activement à la stabilité sociale et à la politique nationale et mondiale', a estimé le premier ministre vietnamien, Nguyen Tan Dung.
Selon Cao Duc Phat, ministre de l'agriculture vietnamien et un des organisateurs de la conférence, l'objectif est de 'nourrir une population mondiale en forte croissance', qui pourrait atteindre les neuf milliards de personnes en 2050.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/11/09/penurie-de-riz-les-experts-reclament-des-mesures-d-urgence_1437529_3244.html#xtor=AL-32280184
Le riz est l'aliment de base de plus de trois milliards de personnes, soit environ la moitié de la population mondiale. 'La demande prévue de riz dépassera la production à proche ou moyen terme, à moins que quelque chose soit fait pour renverser les tendances actuelles', a estimé Robert Zeigler, de l'Institut international de recherche sur le riz (IRRI). Parmi ces tendances figurent notamment une 'faible croissance de la productivité et une gestion inefficace (...) des ressources naturelles'.
LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE GARANTE DE LA STABILITÉ SOCIALE
Le Vietnam lui-même, deuxième exportateur mondial de riz derrière la Thaïlande, fait face à de sérieux défis alors que sa croissance démographique et de fréquentes catastrophes naturelles portent atteinte aux récoltes.
'Assurer la sécurité alimentaire n'est pas seulement une activité économique ou humanitaire', mais 'contribue activement à la stabilité sociale et à la politique nationale et mondiale', a estimé le premier ministre vietnamien, Nguyen Tan Dung.
Selon Cao Duc Phat, ministre de l'agriculture vietnamien et un des organisateurs de la conférence, l'objectif est de 'nourrir une population mondiale en forte croissance', qui pourrait atteindre les neuf milliards de personnes en 2050.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/11/09/penurie-de-riz-les-experts-reclament-des-mesures-d-urgence_1437529_3244.html#xtor=AL-32280184
lundi 15 novembre 2010
dimanche 14 novembre 2010
samedi 13 novembre 2010
vendredi 12 novembre 2010
Changement climatique : l’avenir sera profondément bouleversé
Dans son dernier rapport annuel diffusé hier, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) met en garde : le changement climatique va "profondément bouleverser" l'avenir, selon les experts
Ce rapport du PNUD souligne qu' "à lui seul, le changement climatique est sans doute le facteur qui bouleversera le plus profondément l'avenir, freinant la progression du développement humain telle que l'histoire nous la dessine".
Rapporté par l'AFP, il indique que ces changements constituent "un test majeur pour la communauté internationale".
Le PNUD indique que "la place des ressources naturelles et de l'environnement ne fait plus de doute", depuis le Sommet de la Terre de Rio de Janeiro qui s'est tenu en 1992.
Les principaux défis évoqués par ce nouveau rapport sont ceux "liés aux réserves d'eau, à la dégradation des terres, au changement climatique et à la disparition généralisée de la diversité biologique et des services écologiques".
Il suffirait d'une mauvaise gestion des ressources naturelles "pour que l'environnement en fasse payer le prix fort aux pauvres", ajoute le rapport
http://www.maxisciences.com/changement-climatique/changement-climatique-l-avenir-sera-profondement-bouleverse_art10217.html
Ce rapport du PNUD souligne qu' "à lui seul, le changement climatique est sans doute le facteur qui bouleversera le plus profondément l'avenir, freinant la progression du développement humain telle que l'histoire nous la dessine".
Rapporté par l'AFP, il indique que ces changements constituent "un test majeur pour la communauté internationale".
Le PNUD indique que "la place des ressources naturelles et de l'environnement ne fait plus de doute", depuis le Sommet de la Terre de Rio de Janeiro qui s'est tenu en 1992.
Les principaux défis évoqués par ce nouveau rapport sont ceux "liés aux réserves d'eau, à la dégradation des terres, au changement climatique et à la disparition généralisée de la diversité biologique et des services écologiques".
Il suffirait d'une mauvaise gestion des ressources naturelles "pour que l'environnement en fasse payer le prix fort aux pauvres", ajoute le rapport
http://www.maxisciences.com/changement-climatique/changement-climatique-l-avenir-sera-profondement-bouleverse_art10217.html
jeudi 11 novembre 2010
mercredi 10 novembre 2010
Panneaux solaires : une ville allemande les rend obligatoires
La ville universitaire de Marburg, située à l'ouest de l'Allemagne, vient d'annoncer la mise en place d'une charte qui contraint les propriétaires de bâtiments anciens à installer des panneaux solaires sur leur toit lorsqu'ils entreprennent des travaux de rénovation.
Déjà connue pour héberger sur ses toits une des plus importantes concentrations de panneaux solaires du pays, Marburg a adopté cette charte le 29 octobre. Le texte oblige les propriétaires de bâtiments dépassant 50 mètres carrés à les équiper de panneaux solaires lorsqu'ils effectuent des travaux de réfection de la couverture ou de modification du système de chauffage.
La charte prévoit, par ailleurs, pour les bâtiments historiques du centre-ville et ceux situés à leurs alentours immédiats, que leurs propriétaires évitent toute "perturbation visuelle", en prêtant attention au choix des matériaux comme à leur localisation. Quant aux nouvelles constructions, elles ne sont pas concernées par le texte, puisque déjà soumises à une loi fédérale depuis 2009.
C'est à partir du mois de juillet prochain que la charte entrera progressivement en vigueur à Marburg, une ville de 80.000 habitants, qui compte 21.000 étudiants et 3.400 salariés de l'université. Ceux qui ne se plieront pas à la nouvelle loi pourront être condamnés à une amende s'élevant à 1.000 euros.
http://www.maxisciences.com/panneau-solaire/panneaux-solaires-une-ville-allemande-les-rend-obligatoires_art10135.html
Déjà connue pour héberger sur ses toits une des plus importantes concentrations de panneaux solaires du pays, Marburg a adopté cette charte le 29 octobre. Le texte oblige les propriétaires de bâtiments dépassant 50 mètres carrés à les équiper de panneaux solaires lorsqu'ils effectuent des travaux de réfection de la couverture ou de modification du système de chauffage.
La charte prévoit, par ailleurs, pour les bâtiments historiques du centre-ville et ceux situés à leurs alentours immédiats, que leurs propriétaires évitent toute "perturbation visuelle", en prêtant attention au choix des matériaux comme à leur localisation. Quant aux nouvelles constructions, elles ne sont pas concernées par le texte, puisque déjà soumises à une loi fédérale depuis 2009.
C'est à partir du mois de juillet prochain que la charte entrera progressivement en vigueur à Marburg, une ville de 80.000 habitants, qui compte 21.000 étudiants et 3.400 salariés de l'université. Ceux qui ne se plieront pas à la nouvelle loi pourront être condamnés à une amende s'élevant à 1.000 euros.
http://www.maxisciences.com/panneau-solaire/panneaux-solaires-une-ville-allemande-les-rend-obligatoires_art10135.html
mardi 9 novembre 2010
Le ménage écolo, c’est du fait-main
On oublie trop souvent que l’on peut faire son ménage écolo en réalisant soi-même ses produits plutôt qu’en les achetant en bidons dans notre supermarché ou dans notre magasin bio. Solutions plus économiques et encore plus écologiques, suivez la recette de vos produits nettoyants "maison".
Je réalise moi-même mon produit vaisselle écolo
Pour réaliser mon produit vaisselle « maison et bio », il suffit de diluer 1 cuillère à café de bicarbonate de soude, une cuillère à café de cristaux de soude, ainsi qu’une cuillère à café de savon noir dans un peu d'eau froide. Le savon et le bicarbonate feront mousser le mélange tandis ce que les cristaux de soude dégraisseront mes assiettes et mes plats. Vous pouvez aussi remplacer les cristaux de soude par du vinaigre blanc ! Ensuite ajoutez l’équivalent d’un bol de savon de Marseille râpé au mélange et diluez le tout dans un demi-litre d’eau. Ajoutez quelques gouttes d'huile essentielle pour l’odeur et un peu d’huile d’amande douce pour garder vos mains souples et belles. Le tour est joué ! Il ne reste plus qu’à verser le mélange dans un distributeur à savon.
A noter que ce mélange, dilué, est excellent pour nettoyer votre sol !
Je nettoie ma cuisine et ma salle de bain grâce à une recette écolo !
Rien de plus facile que de réaliser son nettoyant de cuisine et de salle de bain naturel. Munissez-vous d’une demi-tasse de bicarbonate de soude et d’un peu de savon noir. Ajoutez un peu de jus de citron pour l’odeur et mélangez jusqu’à obtenir une pate. Ajoutez quelques gouttes d'huiles essentielles de lavandin pour le côté désinfectant de la mixture ! Une éponge écologique en main…vous êtes prêt(e) pour plonger dans le grand bain du nettoyage vraiment écologique de votre salle de bain.
Je récure mes toilettes naturellement !
Mélangez le même volume d’alcool ménager et d’eau…Pour donner une bonne odeur, ajoutez quelques gouttes d’huiles essentielles de citron, de thym, ou de pamplemousse ! Il ne reste plus qu’à frotter.
Réaliser sa propre lessive
Un peu de savon de Marseille râpé dilué dans 4 portions d’eau fera une très bonne lessive « maison et écologique » ! Moins cher, et plus efficace qu’une lessive traditionnelle ! C’est sûr, samedi, votre ménage sera 100% écolo.
http://news.fr.msn.com/ecologie/pratique/article.aspx?cp-documentid=154666073
Je réalise moi-même mon produit vaisselle écolo
Pour réaliser mon produit vaisselle « maison et bio », il suffit de diluer 1 cuillère à café de bicarbonate de soude, une cuillère à café de cristaux de soude, ainsi qu’une cuillère à café de savon noir dans un peu d'eau froide. Le savon et le bicarbonate feront mousser le mélange tandis ce que les cristaux de soude dégraisseront mes assiettes et mes plats. Vous pouvez aussi remplacer les cristaux de soude par du vinaigre blanc ! Ensuite ajoutez l’équivalent d’un bol de savon de Marseille râpé au mélange et diluez le tout dans un demi-litre d’eau. Ajoutez quelques gouttes d'huile essentielle pour l’odeur et un peu d’huile d’amande douce pour garder vos mains souples et belles. Le tour est joué ! Il ne reste plus qu’à verser le mélange dans un distributeur à savon.
A noter que ce mélange, dilué, est excellent pour nettoyer votre sol !
Je nettoie ma cuisine et ma salle de bain grâce à une recette écolo !
Rien de plus facile que de réaliser son nettoyant de cuisine et de salle de bain naturel. Munissez-vous d’une demi-tasse de bicarbonate de soude et d’un peu de savon noir. Ajoutez un peu de jus de citron pour l’odeur et mélangez jusqu’à obtenir une pate. Ajoutez quelques gouttes d'huiles essentielles de lavandin pour le côté désinfectant de la mixture ! Une éponge écologique en main…vous êtes prêt(e) pour plonger dans le grand bain du nettoyage vraiment écologique de votre salle de bain.
Je récure mes toilettes naturellement !
Mélangez le même volume d’alcool ménager et d’eau…Pour donner une bonne odeur, ajoutez quelques gouttes d’huiles essentielles de citron, de thym, ou de pamplemousse ! Il ne reste plus qu’à frotter.
Réaliser sa propre lessive
Un peu de savon de Marseille râpé dilué dans 4 portions d’eau fera une très bonne lessive « maison et écologique » ! Moins cher, et plus efficace qu’une lessive traditionnelle ! C’est sûr, samedi, votre ménage sera 100% écolo.
http://news.fr.msn.com/ecologie/pratique/article.aspx?cp-documentid=154666073
lundi 8 novembre 2010
Énergie renouvelable : le réseau ferroviaire belge mise sur le solaire
Belgique - L'équivalent belge de la SNCF, Infrabel, vient de conclure un accord avec la société Enfinity, spécialisée dans les énergies renouvelables. Quelque 16.000 panneaux solaires devraient ainsi être installés sur une partie du réseau ferroviaire.
Ces panneaux solaires prendront place sur le toit d'un tunnel long de 3,4 kilomètres, dans lequel circulent les trains reliant Paris à Amsterdam, en passant par Bruxelles. Les trains qui emprunteront ce tunnel seront alimentés en énergie grâce à ces panneaux qui devraient fournir 3,5 mégawattheures (MWh) par an. Une électricité qui sera également utilisée par certaines structures de la gare d'Anvers.L'installation des panneaux photovoltaïques, qui couvriront 50.000 m², devrait être achevée avant la fin de l'année. Son coût total est estimé à plus de 14 millions d'euros. Un investissement qui permettra, selon Infrabel, d'éviter le rejet de 47,3 millions de kilogrammes de CO2 dans l'atmosphère au cours des vingt prochaines années, soit 2.400 tonnes par an.
http://www.maxisciences.com/%e9nergie-solaire/nergie-renouvelable-le-reseau-ferroviaire-belge-mise-sur-le-solaire_art10055.html
Ces panneaux solaires prendront place sur le toit d'un tunnel long de 3,4 kilomètres, dans lequel circulent les trains reliant Paris à Amsterdam, en passant par Bruxelles. Les trains qui emprunteront ce tunnel seront alimentés en énergie grâce à ces panneaux qui devraient fournir 3,5 mégawattheures (MWh) par an. Une électricité qui sera également utilisée par certaines structures de la gare d'Anvers.L'installation des panneaux photovoltaïques, qui couvriront 50.000 m², devrait être achevée avant la fin de l'année. Son coût total est estimé à plus de 14 millions d'euros. Un investissement qui permettra, selon Infrabel, d'éviter le rejet de 47,3 millions de kilogrammes de CO2 dans l'atmosphère au cours des vingt prochaines années, soit 2.400 tonnes par an.
http://www.maxisciences.com/%e9nergie-solaire/nergie-renouvelable-le-reseau-ferroviaire-belge-mise-sur-le-solaire_art10055.html
dimanche 7 novembre 2010
Une vente aux enchères pour préserver la forêt amazonienne
Brésil - Le gouvernement brésilien a choisi d'avoir recours à une initiative privée afin de préserver la forêt amazonienne : une vente aux enchères d'hectares verts.
Afin de répondre à son plan de gestion durable, qui prévoit notamment une préservation de la forêt amazonienne à travers son exploitation privée, le gouvernement a choisi de mettre aux enchères un million d'hectares de ce symbole de biodiversité et de nature à protéger.Ainsi, malgré les réticences des partis politiques conservateurs et une longue procédure judiciaire, le gouvernement a obtenu de la justice de pouvoir céder des concessions d'extraction de bois à des coopératives et entreprises privées, ainsi qu'à des particuliers, explique Green et Vert. Le directeur-général du Service Brésilien des Forêts a d'ailleurs expliqué en ce sens : "Le futur de l'Amazonie - en combattant la déforestation et en apportant des réponses aux changements climatiques - passe par le renforcement de la gestion privée, je ne vois pas d'autre solution".D'ici la fin de l'année 2010, un million d'hectares devraient être vendus, et 11 millions d'ici 2015. Le gouvernement espère ainsi endiguer les pratiques illégales d'extraction du bois et protéger certaines parties de la forêt, qui abritent encore des tribus traditionnelles.
http://www.maxisciences.com/for%eat-amazonienne/une-vente-aux-encheres-pour-preserver-la-foret-amazonienne_art9952.html
Afin de répondre à son plan de gestion durable, qui prévoit notamment une préservation de la forêt amazonienne à travers son exploitation privée, le gouvernement a choisi de mettre aux enchères un million d'hectares de ce symbole de biodiversité et de nature à protéger.Ainsi, malgré les réticences des partis politiques conservateurs et une longue procédure judiciaire, le gouvernement a obtenu de la justice de pouvoir céder des concessions d'extraction de bois à des coopératives et entreprises privées, ainsi qu'à des particuliers, explique Green et Vert. Le directeur-général du Service Brésilien des Forêts a d'ailleurs expliqué en ce sens : "Le futur de l'Amazonie - en combattant la déforestation et en apportant des réponses aux changements climatiques - passe par le renforcement de la gestion privée, je ne vois pas d'autre solution".D'ici la fin de l'année 2010, un million d'hectares devraient être vendus, et 11 millions d'ici 2015. Le gouvernement espère ainsi endiguer les pratiques illégales d'extraction du bois et protéger certaines parties de la forêt, qui abritent encore des tribus traditionnelles.
http://www.maxisciences.com/for%eat-amazonienne/une-vente-aux-encheres-pour-preserver-la-foret-amazonienne_art9952.html
samedi 6 novembre 2010
A Vittel, Nestlé met du vert dans l'or bleu
Pour préserver son eau minérale, la multinationale Nestlé y finance, depuis vingt ans, la conversion au zéro pesticide d'une zone de 10 km2. Au lendemain de la Conférence internationale sur la biodiversité de Nagoya, cette expérience fait figure d'exemple atypique de collaboration entre une entreprise, des collectivités locales et des agriculteurs, ayant pour objectif la protection d'un écosystème naturel.
Sur les collines vosgiennes de Vittel, la bise glacée fait onduler les prairies. On s'y roulerait presque. Et on aurait raison. Depuis vingt ans, plus un gramme de pesticide n'est pulvérisé dans les champs du bassin minéralier. Ornithologues et entomologistes ont vu s'accroître le nombre d'oiseaux et de papillons. Ce paradis écolo n'est pas l'oeuvre d'un groupe de baba-cool mais d'une multinationale de l'agro-alimentaire.
Alors que vient de se clore la Conférence internationale sur la biodiversité de Nagoya, l'expérience attire les regards : comment une multinationale, des collectivités territoriales et une quarantaine d'agriculteurs ont-ils pu collaborer pour protéger un écosystème naturel ? Pour Nestlé, propriétaire de la marque Vittel, ces terres, débarrassées de traitements chimiques, sont le résultat de deux décennies d'efforts. Elles protègent une corne d'abondance. Sous les bottes des agriculteurs, l'eau de pluie, emprisonnée, puis filtrée par les roches calcaires, ressort de terre sous forme d'eau minérale. Sur les 10 kilomètres carrés du bassin de captage, trois sources - Hépar, Contrex et Vittel Grande Source - alimentent le business de la branche des eaux de Nestlé. 1,3 milliard de bouteilles d'or bleu sortent chaque année de l'usine d'embouteillage.
UNE EXPÉRIENCE PILOTE
Mais le filon a bien failli s'épuiser. Au milieu des années 80, Guy de la Motte-Bouloumié, alors PDG de la société des eaux, lance l'alerte. Les taux de nitrate dans les eaux de ruissellement commencent à donner des sueurs froides à l'industriel. La faute au maïs qui vient de faire une entrée fracassante dans les champs alentours. Les girondes laitières qui paissent à Vittel sont désormais nourries aux tourteaux, eux-mêmes produits à grandes rasades de produits phytosanitaires. Or l'eau minérale est strictement réglementée. Une goutte de chimie supplémentaire dans le cocktail souterrain, et c'est la fin de la poule aux oeufs d'or.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/30/a-vittel-nestle-met-du-vert-dans-l-or-bleu_1433394_3244.html#xtor=AL-32280184
Sur les collines vosgiennes de Vittel, la bise glacée fait onduler les prairies. On s'y roulerait presque. Et on aurait raison. Depuis vingt ans, plus un gramme de pesticide n'est pulvérisé dans les champs du bassin minéralier. Ornithologues et entomologistes ont vu s'accroître le nombre d'oiseaux et de papillons. Ce paradis écolo n'est pas l'oeuvre d'un groupe de baba-cool mais d'une multinationale de l'agro-alimentaire.
Alors que vient de se clore la Conférence internationale sur la biodiversité de Nagoya, l'expérience attire les regards : comment une multinationale, des collectivités territoriales et une quarantaine d'agriculteurs ont-ils pu collaborer pour protéger un écosystème naturel ? Pour Nestlé, propriétaire de la marque Vittel, ces terres, débarrassées de traitements chimiques, sont le résultat de deux décennies d'efforts. Elles protègent une corne d'abondance. Sous les bottes des agriculteurs, l'eau de pluie, emprisonnée, puis filtrée par les roches calcaires, ressort de terre sous forme d'eau minérale. Sur les 10 kilomètres carrés du bassin de captage, trois sources - Hépar, Contrex et Vittel Grande Source - alimentent le business de la branche des eaux de Nestlé. 1,3 milliard de bouteilles d'or bleu sortent chaque année de l'usine d'embouteillage.
UNE EXPÉRIENCE PILOTE
Mais le filon a bien failli s'épuiser. Au milieu des années 80, Guy de la Motte-Bouloumié, alors PDG de la société des eaux, lance l'alerte. Les taux de nitrate dans les eaux de ruissellement commencent à donner des sueurs froides à l'industriel. La faute au maïs qui vient de faire une entrée fracassante dans les champs alentours. Les girondes laitières qui paissent à Vittel sont désormais nourries aux tourteaux, eux-mêmes produits à grandes rasades de produits phytosanitaires. Or l'eau minérale est strictement réglementée. Une goutte de chimie supplémentaire dans le cocktail souterrain, et c'est la fin de la poule aux oeufs d'or.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/30/a-vittel-nestle-met-du-vert-dans-l-or-bleu_1433394_3244.html#xtor=AL-32280184
vendredi 5 novembre 2010
Yannick Noah aux côtés du WWF pour sauver les tigres
WWF-France lance avec l'ancien joueur de tennis et chanteur, Yannick Noah, une campagne inédite pour sensibiliser l'opinion publique sur la situation du tigre. Il en reste seulement 3.200 aujourd'hui.
Yannick Noah a accepté de prêter son image et sa voix pour cette campagne médiatique visant à sauver les tigres, victimes de braconnage et constamment chassés de leurs territoires. Les Internautes peuvent regarder le spot télé sur le site www.320tigres.wwf.fr, où figure une pétition déjà signée par plus de 7.000 personnes. L'objectif est de pouvoir faire pression sur les chefs d'Etat des treize pays dits "du tigre", où ces animaux vivent toujours à l'état sauvage : le Bangladesh, le Bhoutan, le Cambodge, la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Laos, la Malaisie, la Birmanie, le Népal, la Russie, la Thaïlande et le Vietnam.
WWF indique que le nombre de tigres a diminué de 95% en l'espace d'un siècle.
Le mois prochain, les représentants de ces 13 pays ont prévu de se rencontrer à Saint-Pétersbourg. Du 21 au 24 novembre, la ville russe accueillera le Sommet international du tigre.
http://www.maxisciences.com/tigre/yannick-noah-aux-cotes-du-wwf-pour-sauver-les-tigres_art10075.html
Yannick Noah a accepté de prêter son image et sa voix pour cette campagne médiatique visant à sauver les tigres, victimes de braconnage et constamment chassés de leurs territoires. Les Internautes peuvent regarder le spot télé sur le site www.320tigres.wwf.fr, où figure une pétition déjà signée par plus de 7.000 personnes. L'objectif est de pouvoir faire pression sur les chefs d'Etat des treize pays dits "du tigre", où ces animaux vivent toujours à l'état sauvage : le Bangladesh, le Bhoutan, le Cambodge, la Chine, l'Inde, l'Indonésie, le Laos, la Malaisie, la Birmanie, le Népal, la Russie, la Thaïlande et le Vietnam.
WWF indique que le nombre de tigres a diminué de 95% en l'espace d'un siècle.
Le mois prochain, les représentants de ces 13 pays ont prévu de se rencontrer à Saint-Pétersbourg. Du 21 au 24 novembre, la ville russe accueillera le Sommet international du tigre.
http://www.maxisciences.com/tigre/yannick-noah-aux-cotes-du-wwf-pour-sauver-les-tigres_art10075.html
jeudi 4 novembre 2010
Alimentation bio : découvrez les graines germées !
Vous voulez agrémenter vos plats bio d’un peu de fantaisie ? Le tout soupoudré d’une bonne dose de nutriments essentiels ? Optez pour les graines germées ! Ce sont de petites graines de vie…avec comme bonus le plaisir de les faire pousser soi-même à la maison très facilement !
Les graines germées sont des graines que l’on consomme une fois les avoir laissées pousser quelques jours : de graines sèches, dont le germe est en dormance, elles deviennent ainsi des graines dites "germées". Les graines germées seraient consommées depuis l’Antiquité où elles étaient appréciées pour leur forte concentration en vitamines, protéines, acides gras et minéraux essentiels. Elles sont aussi idéales dans le cadre d'une alimentation bio et/ou végétarienne. De fait, elles ont petit à petit reconquis les assiettes bio ces dernières années. Mais quelles graines utiliser, ou les trouver, comment les faire pousser ?
Quelles graines germées ?
Des graines germées… oui mais lesquelles ? Car toutes les graines germées ne se mangent pas ! En voici quelques-unes que vous pourrez consommer : alfalfa, haricot mungo (attention le soja jaune est toxique frais), funegrec, pois chiche, trèfle, lentille, petit pois, sésame et tournesol, cresson, lin, roquette, moutarde, mais aussi de légumes : choux, poireau, brocoli, carotte, fenouil, navet, oignon, carotte, céleri… Leur goût varie en fonction de la variété. En fonction de vos goûts vous pourrez agrémenter salades, sandwichs et même plats cuisinés (pousses de haricots mungo).
Ou trouver des graines germées ?
Vous pouvez trouver des graines germées dans tous les magasins bio au rayon frais. Mais n’y cherchez pas les plus originales, vous ne les trouverez pas. Sauf peut-être à l’état de graines sèches. Vous pouvez les commander sur internet, ou bien les faire pousser vous-même dans votre propre germoir ou dans de simples bocaux. Pas de panique, c’est très simple !
Faire pousser ses propres graines germées
Pour faire pousser ses propres graines germées, le plus pratique pour citadins occupés, c’est le germoir. Contenant plusieurs plateaux de pousse, il vous suffit d’y déposer vos graines une fois humidifiées ou trempées (le temps de trempage dépend des graines à germer) et de les regarder pousser de 1 à 10 jours en les rinçant régulièrement à l’aide d’un verre d’eau déversé. Si vous ne possédez pas encore de germoir, vous pouvez utiliser un simple pot de verre couvert d’une gaze, ou encore une coupelle recouverte de ouate de cellulose sur laquelle sont disposées les graines.
http://greenzer.fr/
Les graines germées sont des graines que l’on consomme une fois les avoir laissées pousser quelques jours : de graines sèches, dont le germe est en dormance, elles deviennent ainsi des graines dites "germées". Les graines germées seraient consommées depuis l’Antiquité où elles étaient appréciées pour leur forte concentration en vitamines, protéines, acides gras et minéraux essentiels. Elles sont aussi idéales dans le cadre d'une alimentation bio et/ou végétarienne. De fait, elles ont petit à petit reconquis les assiettes bio ces dernières années. Mais quelles graines utiliser, ou les trouver, comment les faire pousser ?
Quelles graines germées ?
Des graines germées… oui mais lesquelles ? Car toutes les graines germées ne se mangent pas ! En voici quelques-unes que vous pourrez consommer : alfalfa, haricot mungo (attention le soja jaune est toxique frais), funegrec, pois chiche, trèfle, lentille, petit pois, sésame et tournesol, cresson, lin, roquette, moutarde, mais aussi de légumes : choux, poireau, brocoli, carotte, fenouil, navet, oignon, carotte, céleri… Leur goût varie en fonction de la variété. En fonction de vos goûts vous pourrez agrémenter salades, sandwichs et même plats cuisinés (pousses de haricots mungo).
Ou trouver des graines germées ?
Vous pouvez trouver des graines germées dans tous les magasins bio au rayon frais. Mais n’y cherchez pas les plus originales, vous ne les trouverez pas. Sauf peut-être à l’état de graines sèches. Vous pouvez les commander sur internet, ou bien les faire pousser vous-même dans votre propre germoir ou dans de simples bocaux. Pas de panique, c’est très simple !
Faire pousser ses propres graines germées
Pour faire pousser ses propres graines germées, le plus pratique pour citadins occupés, c’est le germoir. Contenant plusieurs plateaux de pousse, il vous suffit d’y déposer vos graines une fois humidifiées ou trempées (le temps de trempage dépend des graines à germer) et de les regarder pousser de 1 à 10 jours en les rinçant régulièrement à l’aide d’un verre d’eau déversé. Si vous ne possédez pas encore de germoir, vous pouvez utiliser un simple pot de verre couvert d’une gaze, ou encore une coupelle recouverte de ouate de cellulose sur laquelle sont disposées les graines.
http://greenzer.fr/
mercredi 3 novembre 2010
Énergie solaire : le plus grand complexe du monde verra le jour en Californie
Ken Salazar, le ministre américain des Affaires intérieures, a annoncé lundi le lancement prochain des travaux visant à édifier le plus grand complexe solaire au monde. Cette installation accueillera quatre centrales solaires de 250 mégawatts chacune. Elle devrait permettre de produire jusqu'à 1.000 mégawatts, soit l'électricité suffisante pour alimenter 300.000 à 750.000 foyers, s'est félicité M. Salazar.Réalisé par la société Solar Millennium LLC, le site s'étendra sur quelque 2.842 hectares près de Blythe, en Californie, créant 1.000 emplois au plus fort de la construction. Ce sont ensuite 300 personnes qui devraient être employées par le complexe de façon permanente. Pour mener ce chantier, Solar Millennium pourra bénéficier d'un prêt conditionnel de 1,9 milliard de dollars émanant du ministère de l'Énergie.
Ce projet prouve une nouvelle fois la volonté de l'administration Obama de faire des États-Unis un pays leader en matière d'énergies renouvelables. "Nous allons montrer au monde que nous pouvons avoir de grands projets solaires ici aux États-Unis, qui vont constituer l'une des grandes sources d'énergie pour le pays", a souligné Ken Salazar.
Cinq autres projets de centrales solaires ont par ailleurs été proposés, pour prendre place en Californie et au Nevada, deux États particulièrement affectés par la crise économique.
http://www.maxisciences.com/%e9nergie-solaire/nergie-solaire-le-plus-grand-complexe-du-monde-verra-le-jour-en-californie_art9989.html
Ce projet prouve une nouvelle fois la volonté de l'administration Obama de faire des États-Unis un pays leader en matière d'énergies renouvelables. "Nous allons montrer au monde que nous pouvons avoir de grands projets solaires ici aux États-Unis, qui vont constituer l'une des grandes sources d'énergie pour le pays", a souligné Ken Salazar.
Cinq autres projets de centrales solaires ont par ailleurs été proposés, pour prendre place en Californie et au Nevada, deux États particulièrement affectés par la crise économique.
http://www.maxisciences.com/%e9nergie-solaire/nergie-solaire-le-plus-grand-complexe-du-monde-verra-le-jour-en-californie_art9989.html
mardi 2 novembre 2010
Tornade : un Texan la filme de l’intérieur
Texas, États-Unis - Un automobiliste a réussi à filmer une vidéo spectaculaire du moment où une tornade touche terre à Rice, dans le comté de Navarro.
Ce responsable de la gestion des opérations d'urgence du comté a filmé la scène, toujours au volant, alors que son véhicule pénétrait à l'intérieur de la tornade.
Celle-ci s'est abattue sur la ville américaine dimanche soir, faisant au moins quatre blessés. Plusieurs maisons se sont écroulées, certaines infrastructures comme les établissements scolaires ont été endommagées et des wagons de train ont déraillé.
Le territoire américain est le plus touché au monde avec plus de 1.000 tornades par an. Le Texas fait partie de la région la plus exposée à ce phénomène, appelée la "Tornado Alley" (allée des tornades).Découvrez la tornade de l'intérieur en vidéo : cliquez sur ce lien...
http://www.maxisciences.com/tornade/tornade-un-texan-la-filme-de-l-interieur_art9983.html
Ce responsable de la gestion des opérations d'urgence du comté a filmé la scène, toujours au volant, alors que son véhicule pénétrait à l'intérieur de la tornade.
Celle-ci s'est abattue sur la ville américaine dimanche soir, faisant au moins quatre blessés. Plusieurs maisons se sont écroulées, certaines infrastructures comme les établissements scolaires ont été endommagées et des wagons de train ont déraillé.
Le territoire américain est le plus touché au monde avec plus de 1.000 tornades par an. Le Texas fait partie de la région la plus exposée à ce phénomène, appelée la "Tornado Alley" (allée des tornades).Découvrez la tornade de l'intérieur en vidéo : cliquez sur ce lien...
http://www.maxisciences.com/tornade/tornade-un-texan-la-filme-de-l-interieur_art9983.html
lundi 1 novembre 2010
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