Une étude publiée par le Centre national américain de recherche atmosphérique (NCAR) tire la sonnette d'alarme quant aux sécheresses prolongées qui pourraient affecter de très nombreux pays sous l'effet du réchauffement climatique. Sans aucune mesure ambitieuse pour réduire les émissions de gaz à effet de serre mondiales, aucun continent n'échappera à ce phénomène
Comme l'explique Aiguo Dai, l'un des principaux auteurs de cette étude, le changement climatique pourrait engendrer dans un grand nombre de pays des vagues de sécheresse prolongées et atteignant des intensités jamais enregistrées. Un phénomène qui pourrait se produire d'ici à la fin du siècle, si rien n'est entrepris pour limiter l'augmentation des températures.Les projections des climatologues sont basées sur vingt-deux modèles climatiques informatiques, un indice étendu de mesures des conditions de sécheresse et des analyses d'études déjà publiées. Elles mènent à la conclusion qu'une grande partie de l'Amérique, de l'Europe, de l'Asie, de l'Afrique et de l'Australie sera frappée par la sécheresse, qui modifiera les environnements de plus en plus secs partout dans le monde. Seules les latitudes élevées de l'Alaska et de la Scandinavie devraient connaître une situation inverse, en devenant de plus en plus humides."Nous faisons face à la possibilité de sécheresses étendues dans les prochaines décennies, mais cela doit encore être pleinement reconnu par le public et la communauté de la recherche sur le changement climatique", souligne Aiguo Dai. "Si les projections dans cette étude venaient à se concrétiser, les conséquences pour les sociétés mondiales seraient gigantesques" alerte le climatologue, alors que se tiendra dans un peu plus d'un mois la conférence internationale sur la lutte contre le changement climatique de Cancun
http://www.maxisciences.com/s%e9cheresse/secheresse-elle-menace-une-grande-partie-du-globe_art9863.html
dimanche 31 octobre 2010
samedi 30 octobre 2010
Chaque année, la planète perd l'équivalent de l'Italie en surfaces cultivées
Jusqu'à 30 millions d'hectares de surfaces cultivées, soit l'équivalent de la superficie de l'Italie, sont perdus chaque année du fait de la dégradation de l'environnement, de l'industrialisation et de l'urbanisation, a souligné jeudi 21 octobre un rapport de l'ONU. 'Cette tendance a des conséquences dramatiques pour des centaines de millions d'agriculteurs, de pêcheurs ou de peuples indigènes', a noté Olivier de Schutter, rapporteur spécial des Nations unies sur le droit à l'alimentation, lors de la présentation de son rapport
'Aujourd'hui, 500 millions de petits agriculteurs souffrent de la faim car leur droit à la terre est attaqué, a-t-il souligné. Alors que les populations rurales augmentent et que la concurrence avec les grandes entités industrielles croît, les parcelles cultivées par les petits exploitants diminuent année après année. Les agriculteurs sont souvent rejetés vers des sols qui sont arides, montagneux ou sans irrigation.'
Le rapport de M. Schutter souligne que la combinaison entre la dégradation de l'environnement, l'urbanisation et les acquisitions de grandes surfaces par des investisseurs étrangers constitue 'un cocktail explosif'. A l'échelle de la planète, '5 à 10 millions d'hectares de terres agricoles sont perdus chaque année du fait d'une dégradation sévère [de l'environnement] et 19,5 millions de plus sont perdus du fait de l'industrialisation et de l'urbanisation', a expliqué M. Schutter. La pression des très grands exploitants agricoles a accentué ce phénomène. 'Chaque année, des investisseurs expriment leur intérêt dans l'acquisition de plus de 40 millions d'hectares de terres arables. (...) Ces développements ont un impact énorme sur les petits exploitants, les peuples indigènes, les bergers et les pêcheurs qui dépendent de l'accès à la terre et à l'eau pour leur existence.'
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/21/chaque-annee-la-planete-perd-l-equivalent-de-l-italie-en-surfaces-cultivees_1429544_3244.html#xtor=AL-32280184
'Aujourd'hui, 500 millions de petits agriculteurs souffrent de la faim car leur droit à la terre est attaqué, a-t-il souligné. Alors que les populations rurales augmentent et que la concurrence avec les grandes entités industrielles croît, les parcelles cultivées par les petits exploitants diminuent année après année. Les agriculteurs sont souvent rejetés vers des sols qui sont arides, montagneux ou sans irrigation.'
Le rapport de M. Schutter souligne que la combinaison entre la dégradation de l'environnement, l'urbanisation et les acquisitions de grandes surfaces par des investisseurs étrangers constitue 'un cocktail explosif'. A l'échelle de la planète, '5 à 10 millions d'hectares de terres agricoles sont perdus chaque année du fait d'une dégradation sévère [de l'environnement] et 19,5 millions de plus sont perdus du fait de l'industrialisation et de l'urbanisation', a expliqué M. Schutter. La pression des très grands exploitants agricoles a accentué ce phénomène. 'Chaque année, des investisseurs expriment leur intérêt dans l'acquisition de plus de 40 millions d'hectares de terres arables. (...) Ces développements ont un impact énorme sur les petits exploitants, les peuples indigènes, les bergers et les pêcheurs qui dépendent de l'accès à la terre et à l'eau pour leur existence.'
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/21/chaque-annee-la-planete-perd-l-equivalent-de-l-italie-en-surfaces-cultivees_1429544_3244.html#xtor=AL-32280184
vendredi 29 octobre 2010
jeudi 28 octobre 2010
Donner un prix à la nature pour mieux la protéger ?
A l'occasion de la Conférence des Nations unies sur la diversité biologique qui se tient à Nagoya (Japon) jusqu' au 29 octobre, l'économiste indien Pavan Sukhdev a présenté, mercredi 20 octobre, les conclusions de son étude sur 'l'économie de la biodiversité et des services écosystémiques'.
Ce travail avait été commandé par l'Union européenne en 2008, avec l'ambition de chiffrer comme l'avait fait le rapport Stern en 2006 pour le changement climatique le coût que fait peser à terme sur l'économie mondiale l'absence de politique ambitieuse de protection de la biodiversité.
Alors même que les scientifiques considèrent que la disparition des espèces se produit actuellement à un rythme de 100 à 1 000 fois plus élevé.
Le rapport Sukhdev ne livre pas une équation globale du 'prix de la nature' qu'il faudrait intégrer dans les équations économiques pour que soit tenu compte de cet actif naturel aujourd'hui négligé. Compte tenu de la grande variété et de la complexité des écosystèmes, cet exercice est d'une part impossible, mais surtout, il n'aurait pas beaucoup de sens.
LES RÉCIFS CORALLIENS D'HAWAÏ
Il cherche en revanche à faire apparaître et à chiffrer sur des exemples, les services indispensables que nous rend la nature que ce soit en terme d'approvisionnement (alimentation, eau douce, ressources médicales) ou de régulation (qualité de l'air, stockage du CO2, prévention de l'érosion, pollinisation).
Par exemple, la pêche et le tourisme à Hawaï dépendent de l'existence de récifs coralliens qui jouent aussi un rôle de protection contre l'érosion. Le rapport estime que cet écosystème assure à l'Etat d'Hawaï un revenu annuel de 360 millions de dollars.
Autre exemple cité pour illustrer la démarche : en Suisse, la pollinisation par les abeilles assure, chaque année, une production agricole estimée à 210 millions de dollars.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/20/donner-un-prix-a-la-nature-pour-mieux-la-proteger_1428974_3244.html#xtor=AL-32280184
Ce travail avait été commandé par l'Union européenne en 2008, avec l'ambition de chiffrer comme l'avait fait le rapport Stern en 2006 pour le changement climatique le coût que fait peser à terme sur l'économie mondiale l'absence de politique ambitieuse de protection de la biodiversité.
Alors même que les scientifiques considèrent que la disparition des espèces se produit actuellement à un rythme de 100 à 1 000 fois plus élevé.
Le rapport Sukhdev ne livre pas une équation globale du 'prix de la nature' qu'il faudrait intégrer dans les équations économiques pour que soit tenu compte de cet actif naturel aujourd'hui négligé. Compte tenu de la grande variété et de la complexité des écosystèmes, cet exercice est d'une part impossible, mais surtout, il n'aurait pas beaucoup de sens.
LES RÉCIFS CORALLIENS D'HAWAÏ
Il cherche en revanche à faire apparaître et à chiffrer sur des exemples, les services indispensables que nous rend la nature que ce soit en terme d'approvisionnement (alimentation, eau douce, ressources médicales) ou de régulation (qualité de l'air, stockage du CO2, prévention de l'érosion, pollinisation).
Par exemple, la pêche et le tourisme à Hawaï dépendent de l'existence de récifs coralliens qui jouent aussi un rôle de protection contre l'érosion. Le rapport estime que cet écosystème assure à l'Etat d'Hawaï un revenu annuel de 360 millions de dollars.
Autre exemple cité pour illustrer la démarche : en Suisse, la pollinisation par les abeilles assure, chaque année, une production agricole estimée à 210 millions de dollars.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/20/donner-un-prix-a-la-nature-pour-mieux-la-proteger_1428974_3244.html#xtor=AL-32280184
mercredi 27 octobre 2010
De nombreux pays seraient menacés par une sécheresse prolongée
Les Etats-Unis et un grand nombre de pays très peuplés font face à une menace grandissante de sécheresse grave et prolongée au cours des prochaines décennies, selon une étude du Centre national américain de recherche atmosphérique (NCAR), publiée mardi. L'analyse détaillée de cette recherche conclut que la montée des températures combinée au changement climatique va probablement créer un environnement de plus en plus sec à travers l'ensemble du globe au cours des trente prochaines années, écrit le scientifique Aiguo Dai, principal auteur de ces projections.
Selon lui, il existe une possibilité que dans certaines régions la sécheresse atteigne des niveaux rarement, sinon jamais observés dans les temps modernes d'ici la fin du siècle. Cette recherche s'appuie sur vingt-deux modèles climatiques informatiques, un indice étendu de mesure des conditions de sécheresse ainsi que sur des analyses d'études déjà publiées. Ces travaux concluent que la plus grande partie de l'Amérique, de l'Europe, de l'Asie, de l'Afrique et de l'Australie, pourrait être menacée de sécheresse extrême durant ce siècle.
Par contre, les régions situées dans les latitudes élevées de l'Alaska à la Scandinavie, vont probablement devenir plus humides, selon cette étude. 'Nous faisons face à la possibilité de sécheresse étendue dans les prochaines décennies, mais cela reste encore à être pleinement reconnu par le public et la communauté de la recherche sur le changement climatique', relève Aiguo Dai. 'Si les projections dans cette étude venaient à être même proche de se concrétiser, les conséquences pour les sociétés dans le monde seraient gigantesques', prédit ce climatologue.
Mais ce dernier a toutefois prévenu que les conclusions de son étude sont fondées sur les meilleures projections actuelles des émissions de gaz à effet de serre. Ce qui va vraiment se passer dans les décennies à venir dépendra de nombreux facteurs, dont les futures émissions de CO2 autant que des cycles climatiques naturels tel le courant marin El Niño, insiste ce chercheur.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/20/de-nombreux-pays-seraient-menaces-par-une-secheresse-prolongee_1428503_3244.html#xtor=AL-32280184
Selon lui, il existe une possibilité que dans certaines régions la sécheresse atteigne des niveaux rarement, sinon jamais observés dans les temps modernes d'ici la fin du siècle. Cette recherche s'appuie sur vingt-deux modèles climatiques informatiques, un indice étendu de mesure des conditions de sécheresse ainsi que sur des analyses d'études déjà publiées. Ces travaux concluent que la plus grande partie de l'Amérique, de l'Europe, de l'Asie, de l'Afrique et de l'Australie, pourrait être menacée de sécheresse extrême durant ce siècle.
Par contre, les régions situées dans les latitudes élevées de l'Alaska à la Scandinavie, vont probablement devenir plus humides, selon cette étude. 'Nous faisons face à la possibilité de sécheresse étendue dans les prochaines décennies, mais cela reste encore à être pleinement reconnu par le public et la communauté de la recherche sur le changement climatique', relève Aiguo Dai. 'Si les projections dans cette étude venaient à être même proche de se concrétiser, les conséquences pour les sociétés dans le monde seraient gigantesques', prédit ce climatologue.
Mais ce dernier a toutefois prévenu que les conclusions de son étude sont fondées sur les meilleures projections actuelles des émissions de gaz à effet de serre. Ce qui va vraiment se passer dans les décennies à venir dépendra de nombreux facteurs, dont les futures émissions de CO2 autant que des cycles climatiques naturels tel le courant marin El Niño, insiste ce chercheur.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/20/de-nombreux-pays-seraient-menaces-par-une-secheresse-prolongee_1428503_3244.html#xtor=AL-32280184
mardi 26 octobre 2010
Gliese 581g : débat autour de l’existence de l’exoplanète
Le mois dernier, l'annonce de la découverte d'une planète identique à la Terre, sur laquelle on pourrait trouver les conditions nécessaires à la vie à seulement 20 années-lumière de nous avait à nouveau engendré de nombreuses spéculations autour d'une question aujourd'hui récurrente : "Sommes-nous seuls dans l'univers ?"Cette découverte provenait à l'origine d'une équipe de scientifiques dirigée par le docteur Stephen Vogt, de l'université de Californie. Gliese 581g se trouverait dans la zone des étoiles Goldilocks, une région de l'espace où les conditions climatiques (ni trop chaudes, ni trop froides) sont favorables à la présence d'eau liquide sous forme d'océans, de lacs et de rivières.Aujourd'hui pourtant, un groupe d'astronomes suisses affirme que Gliese 581g, une planète rocheuse de trois fois la taille de la Terre, pourrait ne pas exister. Cette équipe, qui a également analysé les mêmes données, a indiqué qu'elle n'avait trouvé aucune trace de la planète, jetant ainsi le doute sur la recherche d'origine. Francesco Pepe, du laboratoire de Genève (Suisse), a annoncé au cours d'une conférence donnée à Turin : "S'il y avait une indication dans nos données permettant de conclure à l'existence de Gliese 581g, nous aurions été capables de la trouver". Les scientifiques californiens avaient également découvert quatre planètes censées graviter autour de Gliese 581g. L'équipe suisse a confirmé leur existence, mais n'a pas trouvé la trace de Gliese, la planète qui avait stimulé l'imagination du public. "Nous n'avons trouvé aucune preuve de l'existence d'une cinquième planète dont la révolution serait de 37 jours" a déclaré Pepe.Stephen Vogt a quant à lui annoncé qu'il était confiant quant au travail de son équipe : "En 15 ans de 'chasse à l'exoplanète', avec plus d'une centaine de planètes découvertes par notre équipe, nou... lire la suite sur Maxisciences
http://www.maxisciences.com/gliese-581g/gliese-581g-debat-autour-de-l-existence-de-l-exoplanete_art9793.html
http://www.maxisciences.com/gliese-581g/gliese-581g-debat-autour-de-l-existence-de-l-exoplanete_art9793.html
lundi 25 octobre 2010
Espérance de vie : les animaux domestiques aussi vivent plus vieux
La chambre syndicale des fabricants d'aliments préparés pour animaux familiers, la FACCO allemande, a mené en 2005 une étude sur les animaux domestiques. Selon elle, depuis 1980, l'espérance de vie de nos compagnons à quatre pattes s'est allongée de manière continue. Ainsi, les chats vivaient en moyenne 6,2 ans en 1982, 9,2 ans en 1996 et 11,1 ans en 2005. Durant cette même période, les chiens ont augmenté leur espérance de vie de plus de 2 ans, cette dernière passant de 9,5 à 11,9 ans.
Pour expliquer cette évolution, les chercheurs mettent en avant les meilleurs traitements prodigués aux animaux de compagnie : l'alimentation spécialisée, les médicaments et les soins adaptés aux pathologies lourdes. Les propriétaires d'animaux sont désormais nombreux à faire passer scanner ou IRM à leur compagnon afin de détecter précocement les maladies et pouvoir soigner celles-ci.
Les chercheurs précisent que si l'étude est allemande, les mêmes effets doivent être observés en France, où le comportement vis-à-vis des animaux de compagnie est similaire.
http://www.maxisciences.com/animal-domestique/esperance-de-vie-les-animaux-domestiques-aussi-vivent-plus-vieux_art9663.html
Pour expliquer cette évolution, les chercheurs mettent en avant les meilleurs traitements prodigués aux animaux de compagnie : l'alimentation spécialisée, les médicaments et les soins adaptés aux pathologies lourdes. Les propriétaires d'animaux sont désormais nombreux à faire passer scanner ou IRM à leur compagnon afin de détecter précocement les maladies et pouvoir soigner celles-ci.
Les chercheurs précisent que si l'étude est allemande, les mêmes effets doivent être observés en France, où le comportement vis-à-vis des animaux de compagnie est similaire.
http://www.maxisciences.com/animal-domestique/esperance-de-vie-les-animaux-domestiques-aussi-vivent-plus-vieux_art9663.html
dimanche 24 octobre 2010
Quand les papillons se soignent grâce aux plantes médicinales
Selon l'équipe de Jaap de Roode et Thierry Lefevre, qui ont mené cette étude, la femelle du papillon monarque est capable de choisir les plantes dont les feuilles abriteront ses oeufs, en fonction de leurs vertus médicinales et de son état de santé. Les chenilles se nourrissent de plantes de la famille des asclépiades, qui produisent des cardénolides, molécules potentiellement toxiques pour les vertébrés auxquelles elles se sont adaptées pour y devenir insensibles.Les chenilles du monarque accumulent les cardénolides dans leur organisme pour devenir toxiques et ainsi faire fuir leurs prédateurs pour qui elles deviennent immangeables. Qui plus est, ces molécules les protègeraient également contre des parasites internes. Les monarques sont en effet souvent infestés par le parasite Ophryocystis elektroscirrha, qui après s'être logé dans les intestins des chenilles, persiste chez le papillon adulte. La femelle transmet ce parasite aux chenilles lorsqu'elle dépose ses oeufs, la mortalité étant très élevée au moment de l'éclosion.
Suspectant une consommation thérapeutique de plantes médicinales par les animaux, les chercheurs de l'université Emory ont mené une expérience en laboratoire. Ils ont ainsi proposé aux femelles monarques deux types de plantes, l'une toxique et l'autre non. Les insectes non infectés ont alors choisi de façon aléatoire l'espèce végétale où ils ont déposé leurs oeufs, tandis que les femelles infectées par le parasite ont préféré opter pour une asclépiade à teneur élevée en cardénolides, donnant le plus de chances possibles à leurs chenilles de se soigner.
Cette étude est la première qui démontre l'usage de plantes médicinales par des animaux...
http://www.maxisciences.com/plante-m%e9dicinale/quand-les-papillons-se-soignent-grace-aux-plantes-medicinales_art9746.html
Suspectant une consommation thérapeutique de plantes médicinales par les animaux, les chercheurs de l'université Emory ont mené une expérience en laboratoire. Ils ont ainsi proposé aux femelles monarques deux types de plantes, l'une toxique et l'autre non. Les insectes non infectés ont alors choisi de façon aléatoire l'espèce végétale où ils ont déposé leurs oeufs, tandis que les femelles infectées par le parasite ont préféré opter pour une asclépiade à teneur élevée en cardénolides, donnant le plus de chances possibles à leurs chenilles de se soigner.
Cette étude est la première qui démontre l'usage de plantes médicinales par des animaux...
http://www.maxisciences.com/plante-m%e9dicinale/quand-les-papillons-se-soignent-grace-aux-plantes-medicinales_art9746.html
samedi 23 octobre 2010
Disparition des abeilles : un virus et un champignon mortels identifiés outre-Atlantique
Depuis plusieurs années maintenant, les chercheurs américains cherchent les raisons de la disparition des abeilles, particulièrement dans le sud du pays. Une étude publiée le 6 octobre dernier a identifié les coupables, qui se trouvent être un virus et un champignon.Cette nouvelle étude, dirigée par l'université du Montana, se distingue des précédentes par les méthodes utilisées par les chercheurs. Les militaires américains ont en effet mis à leur disposition une base de données contenant les données génétiques de plusieurs milliers d'organismes qui ont permis d'identifier le virus et le champignon coupables.Le virus, de la famille des Iridoviridae et le champignon Nosema cerenae ont été inocculés à des abeilles vivantes. 100% des abeilles contaminées sont mortes. "C'est un peu comme l'oeuf et la poule, indique le Docteur Bromenshenk, on ne sait pas lequel des deux arrive le premier, et nous ne savons pas non plus si l'un affaiblit les abeilles avant que l'autre ne les achève ou si c'est leur association qui leur est fatale."Cependant, le virus et le champignon ne sont certainement pas les seules causes de cette disparition. "D'une part, cette pathologie n'est à l'origine que d'un tiers des mortalités constatées chez les abeilles américaines. D'autre part, on ne sait pas pourquoi les abeilles ont attrapé ces deux parasites. C'est peut-être un pesticide qui a déclenché une baisse d'immunité...", a déclaré Yves Le Conte, de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique).D'un point de vue écologique, la disparition des abeilles met en péril la pollinisation naturelle de plusieurs milliers d'espèces végétales dont 30% représentent des aliments pour l'Homme.
http://www.maxisciences.com/abeille/disparition-des-abeilles-un-virus-et-un-champignon-mortels-identifies-outre-atlantique_art9722.html
http://www.maxisciences.com/abeille/disparition-des-abeilles-un-virus-et-un-champignon-mortels-identifies-outre-atlantique_art9722.html
vendredi 22 octobre 2010
jeudi 21 octobre 2010
Google investit dans l'énergie éolienne
Google vient d'annoncer son association avec d'autres investisseurs dans le cadre d'un projet de parc éolien offshore au large de la côte est des États-Unis. Le géant de Mountain View contribuera au financement d'une ligne électrique reliant cette ferme éolienne à la côte.
Ce projet également soutenu par la maison de commerce japonaise Marubeni, la firme américaine Atlantic Grid Development et le fonds suisse Good Energies Investment Investors, vise à installer un parc d'éoliennes offshore et un réseau de 565 kilomètres qui transportera l'énergie produite vers quatre États : le New Jersey, le Maryland, le Delaware et la Virginie. Ce sont 1,9 million de foyers qui devraient ainsi pouvoir être alimentés en électricité.
Le géant informatique, qui n'en est pas à son premier investissement dans les énergies renouvelables, devrait apporter comme Good Energies 37,5% du financement, tandis que Marubeni et Atlantic Grid Development investiront respectivement 15 et 10%. Au total, le coût du projet baptisé Atlantic Wind Connection est évalué à 5 milliards de dollars.
"Cela fera office de super autoroute pour l'énergie propre et de rampe de lancement pour les fermes éoliennes, avec la possibilité de s'étendre intelligemment. Nous pouvons contribuer au démarrage d'une activité qui peut créer des milliers d'emplois", s'est félicité Rick Needham, directeur des activités "vertes" de Google
C'est en 2013 que devraient débuter les travaux, pour s'achever à l'horizon 2020.
http://www.maxisciences.com/google/google-investit-dans-l-039-energie-eolienne_art9732.html
Ce projet également soutenu par la maison de commerce japonaise Marubeni, la firme américaine Atlantic Grid Development et le fonds suisse Good Energies Investment Investors, vise à installer un parc d'éoliennes offshore et un réseau de 565 kilomètres qui transportera l'énergie produite vers quatre États : le New Jersey, le Maryland, le Delaware et la Virginie. Ce sont 1,9 million de foyers qui devraient ainsi pouvoir être alimentés en électricité.
Le géant informatique, qui n'en est pas à son premier investissement dans les énergies renouvelables, devrait apporter comme Good Energies 37,5% du financement, tandis que Marubeni et Atlantic Grid Development investiront respectivement 15 et 10%. Au total, le coût du projet baptisé Atlantic Wind Connection est évalué à 5 milliards de dollars.
"Cela fera office de super autoroute pour l'énergie propre et de rampe de lancement pour les fermes éoliennes, avec la possibilité de s'étendre intelligemment. Nous pouvons contribuer au démarrage d'une activité qui peut créer des milliers d'emplois", s'est félicité Rick Needham, directeur des activités "vertes" de Google
C'est en 2013 que devraient débuter les travaux, pour s'achever à l'horizon 2020.
http://www.maxisciences.com/google/google-investit-dans-l-039-energie-eolienne_art9732.html
mercredi 20 octobre 2010
mardi 19 octobre 2010
L'éolien fournirait 20 % de l'énergie mondiale en 2030
L'énergie éolienne pourrait fournir un cinquième de l'électricité mondiale dans vingt ans, selon une étude publiée mardi par Greenpeace et une organisation professionnelle du secteur. Le marché mondial pour cette énergie a connu une croissance de 41,7 % en 2009 et une hausse moyenne de 28,6 % par an au cours des treize dernières années, selon Steve Sawyer, secrétaire général du Global Energy Wind Council (GWEC).
Dans un scénario optimiste, la capacité totale des éoliennes installées en 2020 serait de 2 600 térawatts/heure (TW.h), soit entre 11,5 % et 12,3 % de la demande mondiale en électricité. En 2030, cette forme d'énergie pourrait produire 5 400 TW.h, soit entre 18,8 % et 21,8 % de la demande mondiale, selon le rapport. Un autre scénario, plus conservateur, basé sur des projections de l'Agence internationale de l'énergie de l'ONU, table sur 4,8 % de l'électricité mondiale produite par l'éolien en 2020, correspondant à un triplement par rapport à la production actuelle. Enfin, un scénario médian prévoit que l'énergie éolienne fournira 9,5 % de l'électricité produite dans le monde à la fin de la prochaine décennie.
M. Sawyer croit au premier scénario, car 'depuis plus de dix ans, les performances de l'industrie éolienne ont à chaque fois surpassé nos prévisions optimistes'. Selon cette hypothèse, quelque 1,6 milliard de tonnes de CO2 seraient émises en moins par an vers 2020 et 3,3 milliards de tonnes en moins vers 2030, souligne le rapport. La quantité cumulée de dioxyde de carbone émise en moins serait de 10 milliards de tonnes en 2020 et de 43 milliards en 2030.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/12/l-eolien-fournirait-20-de-l-energie-mondiale-en-2030_1424346_3244.html#xtor=AL-32280184
Dans un scénario optimiste, la capacité totale des éoliennes installées en 2020 serait de 2 600 térawatts/heure (TW.h), soit entre 11,5 % et 12,3 % de la demande mondiale en électricité. En 2030, cette forme d'énergie pourrait produire 5 400 TW.h, soit entre 18,8 % et 21,8 % de la demande mondiale, selon le rapport. Un autre scénario, plus conservateur, basé sur des projections de l'Agence internationale de l'énergie de l'ONU, table sur 4,8 % de l'électricité mondiale produite par l'éolien en 2020, correspondant à un triplement par rapport à la production actuelle. Enfin, un scénario médian prévoit que l'énergie éolienne fournira 9,5 % de l'électricité produite dans le monde à la fin de la prochaine décennie.
M. Sawyer croit au premier scénario, car 'depuis plus de dix ans, les performances de l'industrie éolienne ont à chaque fois surpassé nos prévisions optimistes'. Selon cette hypothèse, quelque 1,6 milliard de tonnes de CO2 seraient émises en moins par an vers 2020 et 3,3 milliards de tonnes en moins vers 2030, souligne le rapport. La quantité cumulée de dioxyde de carbone émise en moins serait de 10 milliards de tonnes en 2020 et de 43 milliards en 2030.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/10/12/l-eolien-fournirait-20-de-l-energie-mondiale-en-2030_1424346_3244.html#xtor=AL-32280184
lundi 18 octobre 2010
Les algues vertes envahissent la mer Baltique
Si la Bretagne a été relativement épargnée cet été par le phénomène des algues vertes, ces dernières ont en revanche massivement investi la mer Baltique. Plusieurs plages allemandes ont ainsi dû être fermées.
Un immense tapis d'algues vertes de plus de 380.000 km², soit plus que le territoire de l'Allemagne tout entier, recouvre actuellement la mer Baltique. Comme en Bretagne, ce phénomène est engendré par l'agriculture intensive et l'azote qu'elle produit, déversé dans l'eau.
Sont venus s'ajouter un été très chaud dans les États du littoral et une absence de vent chronique, entraînant la prolifération de ces algues qui dégagent un gaz toxique lorsqu'elles se décomposent. La mer Baltique n'étant reliée à la mer du Nord que par un très petit détroit, cette pollution stagne en surface et menace l'écosystème du littoral comme la santé de ses habitants.
En février dernier, les dirigeants des pays du bassin de la Baltique se sont réunis à l'initiative de la Finlande pour établir un programme de lutte contre la pollution de cette mer.
http://www.maxisciences.com/algue-verte/les-algues-vertes-envahissent-la-mer-baltique_art9648.html
Un immense tapis d'algues vertes de plus de 380.000 km², soit plus que le territoire de l'Allemagne tout entier, recouvre actuellement la mer Baltique. Comme en Bretagne, ce phénomène est engendré par l'agriculture intensive et l'azote qu'elle produit, déversé dans l'eau.
Sont venus s'ajouter un été très chaud dans les États du littoral et une absence de vent chronique, entraînant la prolifération de ces algues qui dégagent un gaz toxique lorsqu'elles se décomposent. La mer Baltique n'étant reliée à la mer du Nord que par un très petit détroit, cette pollution stagne en surface et menace l'écosystème du littoral comme la santé de ses habitants.
En février dernier, les dirigeants des pays du bassin de la Baltique se sont réunis à l'initiative de la Finlande pour établir un programme de lutte contre la pollution de cette mer.
http://www.maxisciences.com/algue-verte/les-algues-vertes-envahissent-la-mer-baltique_art9648.html
dimanche 17 octobre 2010
vendredi 15 octobre 2010
Dauphins et tourisme : une manne pour l’économie écossaise
Écosse - Selon une étude récente menée par des universitaires d'Aberdeen, l'observation de dauphins en mer serait l'une des motivations principales de nombreux touristes visitant l'Écosse. Un succès chiffré à 4 millions de livres pour l'année 2009.
Quatre millions de livres générés l'année dernière, 200 emplois directement liés à l'accueil des 17.100 visiteurs venus essentiellement pour les voir : les grands dauphins qui fréquentent la côte est de l'Écosse ne sont pas les seuls à profiter des mesures de protection du gouvernement local, selon l'étude réalisée par le Centre pour la durabilité de l'environnement d'Aberdeen, à partir d'un échantillon de 529 touristes. Richard Lochhead, secrétaire des Affaires rurales et de l'environnement, a déclaré que le Marine Scottland Act (loi) mis en place visait non seulement à favoriser la protection des espèces sauvages, comme les dauphins, mais aussi à s'assurer que le pays tire bénéfice de ces ressources naturelles. Selon un rapport du gouvernement, le tourisme lié à la vie sauvage dégage 65 millions de livres par an en Écosse et représente 2.760 emplois.
http://www.maxisciences.com/tourisme/dauphins-et-tourisme-une-manne-pour-l-economie-ecossaise_art9610.html
Quatre millions de livres générés l'année dernière, 200 emplois directement liés à l'accueil des 17.100 visiteurs venus essentiellement pour les voir : les grands dauphins qui fréquentent la côte est de l'Écosse ne sont pas les seuls à profiter des mesures de protection du gouvernement local, selon l'étude réalisée par le Centre pour la durabilité de l'environnement d'Aberdeen, à partir d'un échantillon de 529 touristes. Richard Lochhead, secrétaire des Affaires rurales et de l'environnement, a déclaré que le Marine Scottland Act (loi) mis en place visait non seulement à favoriser la protection des espèces sauvages, comme les dauphins, mais aussi à s'assurer que le pays tire bénéfice de ces ressources naturelles. Selon un rapport du gouvernement, le tourisme lié à la vie sauvage dégage 65 millions de livres par an en Écosse et représente 2.760 emplois.
http://www.maxisciences.com/tourisme/dauphins-et-tourisme-une-manne-pour-l-economie-ecossaise_art9610.html
jeudi 14 octobre 2010
Elle court, elle court, la forêt...
Si de très grandes surfaces forestières mondiales ont disparu, l'évolution récente des superficies est à nuancer. Tout d'abord, la répartition est très inégale : de nombreux espaces préservent ou augmentent leur patrimoine forestier (pays du Nord) alors qu'au Sud on déboise encore avec de notables exceptions : Russie, Afrique du Sud, Chili. Lire la suite l'article
«Les chiffres de cette carte sont à interpréter avec précaution : il s'agit de variations sur une période (1990-2005), ce qui ne dit rien de l'importance des surfaces en jeu. Ainsi, de nombreux pays possédant de faibles étendues forestières obtiennent facilement de fortes augmentations sur la période, mais qui représentent en réalité de faibles superficies. C'est le cas de pays comme l'Irlande, la Mauritanie ou l'Egypte. L'Espagne représente un cas plus complexe : l'augmentation importante traduit à la fois la poursuite des reboisements spontanés suite à la déprise rurale, le maintien d'une politique volontariste de reboisement mais dans un cadre profondément remanié du fait du transfert des compétences aux gouvernements régionaux.
«Au final, on observe trois groupes de pays où la forêt progresse : les pays postindustriels occidentaux, où cette augmentation se traduit également par des surfaces importantes (Amérique du Nord, Europe...), les géants à très forte démographie qui ont pris un réel virage dans la déforestation (Chine et Inde) et, enfin, les pays de faible peuplement forestier qui commencent leur "transition forestière" en adoptant une politique de reboisement mais sur des surfaces encore limitées (grand pourtour méditerranéen - Égypte, Mauritanie -, péninsule arabique...).
«Les pays marqués par une baisse de leur superficie forestière sont également divers : la progression de cultures commerciales (soja, huile de palme...) explique les pertes importantes constatées au Brésil ou en Indonésie. En Afrique se conjuguent les effets de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
http://www.liberation.fr/terre/01012295215-elle-court-elle-court-la-foret
«Les chiffres de cette carte sont à interpréter avec précaution : il s'agit de variations sur une période (1990-2005), ce qui ne dit rien de l'importance des surfaces en jeu. Ainsi, de nombreux pays possédant de faibles étendues forestières obtiennent facilement de fortes augmentations sur la période, mais qui représentent en réalité de faibles superficies. C'est le cas de pays comme l'Irlande, la Mauritanie ou l'Egypte. L'Espagne représente un cas plus complexe : l'augmentation importante traduit à la fois la poursuite des reboisements spontanés suite à la déprise rurale, le maintien d'une politique volontariste de reboisement mais dans un cadre profondément remanié du fait du transfert des compétences aux gouvernements régionaux.
«Au final, on observe trois groupes de pays où la forêt progresse : les pays postindustriels occidentaux, où cette augmentation se traduit également par des surfaces importantes (Amérique du Nord, Europe...), les géants à très forte démographie qui ont pris un réel virage dans la déforestation (Chine et Inde) et, enfin, les pays de faible peuplement forestier qui commencent leur "transition forestière" en adoptant une politique de reboisement mais sur des surfaces encore limitées (grand pourtour méditerranéen - Égypte, Mauritanie -, péninsule arabique...).
«Les pays marqués par une baisse de leur superficie forestière sont également divers : la progression de cultures commerciales (soja, huile de palme...) explique les pertes importantes constatées au Brésil ou en Indonésie. En Afrique se conjuguent les effets de... lire la suite de l'article sur Libération.fr
http://www.liberation.fr/terre/01012295215-elle-court-elle-court-la-foret
mercredi 13 octobre 2010
Perdez du poids (écologique !) grâce à mon coach …Carbone® !
Le Coach est partout. Dans notre télé (Merci M6 ! ), dans notre vie sentimentale (Merci notre ex ! ), dans notre retour à la vie sportive (Merci à J.Lo ! ), dans notre entreprise (Merci à notre boss ! ) voire même, dans notre régime (Merci Docteur Dukan ! ) ou lorsqu’on achète notre paquet de céréales (merci Spécial K ! ). Le point commun de tous ces coachs ? Nous pomper de l’énergie (et parfois, je dis bien parfois, mettre nos comptes à sec).
Contrairement à eux, un nouveau coach – tout récent dans ce domaine mais avec beaucoup d’expérience ! – peut vous aider à moins gaspiller les ressources, éviter de mettre à sec le milieu naturel des poissons, renouer avec une vie saine…et pourquoi pas perdre quelques kilos de déchets et de graisse grâce à une bonne hygiène de vie ! Tout cela sans dépenser un euro. Vous pensez que c’est impossible ? Pourtant, l’offre est sérieuse. L’ADEME et la Fondation Nicolas Hulot vous proposent leur coach de vie, ou plutôt leur coach Carbone. Du tout en un grâce à ce partenaire « minceur écolo » !
Tout commence par un questionnaire….
Pour faire un papier sur le coach Carbone, il fallait d’abord que je le teste pour vous. Je me connecte sur le site http://www.coachcarbone.org/. 650 diagnostics ont déjà été réalisés, je serai le 651ème. Pour moi, il me semble, une formalité. Je prends le bus, le métro ou le tramway. Je n’ai pas de voiture à Paris. J’utilise des ampoules à économies d’énergie chez moi. Je trie. Bref, je pensais que ce coach Carbone n’allait pas m’apprendre grand-chose ! Mais Que nenni…
Me voilà à me connecter avec mes logins de la Fondation Nicolas Hulot (Parce que oui, si vous avez déjà un compte auprès de la célèbre ONG, le travail « bureaucratique » est simplifié ! ), et je commence le test pour avoir le privilège de connaître les conseils de mon coach Carbone. Eloquent ! Suivez plutôt mes petits travers écolos...
Mes petits travers écolos pointés du doigt par mon Coach Carbone
Alimentation : tous mes petits défauts y passent. Je suis bien obligée d’avouer mes penchants pour une célèbre marque de produits surgelés pour trentenaires actifs en mal de grande cuisine fonctionnelle.
Transport : je suis fière de dire que le métro-boulot-dodo est mon quotidien, mais je dois bien avouer que j’ai une petite voiture qui dort dans un garage pour les « au-cas-où » pas très écolos.
Equipement : Oui, je suis un peu maniaque, et oui je fais souvent des lessives ! Mauvais point. Oui j’utilise des produits écologiques. Ah, mince, le coach, lui, ne me demande rien sur mes achats écolos ( Oh, le mauvais Coach dit la mauvaise élève !).
Mon appartement : Pas de double vitrage (Ce n’est pas ma faute, Coach, il faut se plaindre à ma propriétaire)…
Bref, au global, un bilan pas très sympa et au dessus de la moyenne : je rejette 5,3 tonnes de CO2 par an, soit un peu plus que la moyenne nationale et bien au dessus de l’objectif facteur 4 à atteindre (soit 1,3 tonnes de CO2 par an) ! Et vous ?
Mon coach Carbone va m’aider à faire mieux
Contrairement à ce que je le pensais, je peux encore faire des efforts et je demande l’avis du coach. Un plaisir ! A noter, quand même, que j’ai relooké mon coach à mon gout : brun, peau mate, tee-shirt bleu…Autant allier l’utile à l’agréable !
Bref, maintenant que j’ai du plaisir à retrouver mon coach virtuel, je suis certaine que je vais bien suivre ses conseils. Dans mes points faibles : cuisiner et manger local. Honnêtement, il y a du travail à faire mais je tente la simulation en modifiant mes habitudes alimentaires pour les semaines à venir. Je suis bluffée ! Ces modifications auront autant un impact sur l’environnement ainsi que sur ma santé et sur mon porte-monnaie.
Au final, ce coach, je l’adopte ! Mais je peux aussi vous le prêter…
http://www.greenzer.fr/coach-carbone-3201
Contrairement à eux, un nouveau coach – tout récent dans ce domaine mais avec beaucoup d’expérience ! – peut vous aider à moins gaspiller les ressources, éviter de mettre à sec le milieu naturel des poissons, renouer avec une vie saine…et pourquoi pas perdre quelques kilos de déchets et de graisse grâce à une bonne hygiène de vie ! Tout cela sans dépenser un euro. Vous pensez que c’est impossible ? Pourtant, l’offre est sérieuse. L’ADEME et la Fondation Nicolas Hulot vous proposent leur coach de vie, ou plutôt leur coach Carbone. Du tout en un grâce à ce partenaire « minceur écolo » !
Tout commence par un questionnaire….
Pour faire un papier sur le coach Carbone, il fallait d’abord que je le teste pour vous. Je me connecte sur le site http://www.coachcarbone.org/. 650 diagnostics ont déjà été réalisés, je serai le 651ème. Pour moi, il me semble, une formalité. Je prends le bus, le métro ou le tramway. Je n’ai pas de voiture à Paris. J’utilise des ampoules à économies d’énergie chez moi. Je trie. Bref, je pensais que ce coach Carbone n’allait pas m’apprendre grand-chose ! Mais Que nenni…
Me voilà à me connecter avec mes logins de la Fondation Nicolas Hulot (Parce que oui, si vous avez déjà un compte auprès de la célèbre ONG, le travail « bureaucratique » est simplifié ! ), et je commence le test pour avoir le privilège de connaître les conseils de mon coach Carbone. Eloquent ! Suivez plutôt mes petits travers écolos...
Mes petits travers écolos pointés du doigt par mon Coach Carbone
Alimentation : tous mes petits défauts y passent. Je suis bien obligée d’avouer mes penchants pour une célèbre marque de produits surgelés pour trentenaires actifs en mal de grande cuisine fonctionnelle.
Transport : je suis fière de dire que le métro-boulot-dodo est mon quotidien, mais je dois bien avouer que j’ai une petite voiture qui dort dans un garage pour les « au-cas-où » pas très écolos.
Equipement : Oui, je suis un peu maniaque, et oui je fais souvent des lessives ! Mauvais point. Oui j’utilise des produits écologiques. Ah, mince, le coach, lui, ne me demande rien sur mes achats écolos ( Oh, le mauvais Coach dit la mauvaise élève !).
Mon appartement : Pas de double vitrage (Ce n’est pas ma faute, Coach, il faut se plaindre à ma propriétaire)…
Bref, au global, un bilan pas très sympa et au dessus de la moyenne : je rejette 5,3 tonnes de CO2 par an, soit un peu plus que la moyenne nationale et bien au dessus de l’objectif facteur 4 à atteindre (soit 1,3 tonnes de CO2 par an) ! Et vous ?
Mon coach Carbone va m’aider à faire mieux
Contrairement à ce que je le pensais, je peux encore faire des efforts et je demande l’avis du coach. Un plaisir ! A noter, quand même, que j’ai relooké mon coach à mon gout : brun, peau mate, tee-shirt bleu…Autant allier l’utile à l’agréable !
Bref, maintenant que j’ai du plaisir à retrouver mon coach virtuel, je suis certaine que je vais bien suivre ses conseils. Dans mes points faibles : cuisiner et manger local. Honnêtement, il y a du travail à faire mais je tente la simulation en modifiant mes habitudes alimentaires pour les semaines à venir. Je suis bluffée ! Ces modifications auront autant un impact sur l’environnement ainsi que sur ma santé et sur mon porte-monnaie.
Au final, ce coach, je l’adopte ! Mais je peux aussi vous le prêter…
http://www.greenzer.fr/coach-carbone-3201
mardi 12 octobre 2010
Biotechnologie : l'espoir des forêts de demain ?
Tout comme les humains, les arbres aussi possèdent un génome c'est-à-dire l’ensemble des gènes d’un organisme ( cf cours de bio de 3ème). En étudiant la génomique forestière, des chercheurs canadiens ont réussi à améliorer la qualité de certains arbres.
L’amélioration génétique : le principe.
Pour une fois on ne vous parle pas de manipulations génétiques scabreuses, on profite juste de ce que nous a donné mère nature. Les chercheurs se sont intéressés aux arbres supérieurs qui possèdent des caractéristiques utiles (forte croissance, bois de qualité, résistance aux insectes et aux maladies…). Ces derniers sont sélectionnés et comparés en plantation expérimentales. Les meilleurs sont ensuite utilisés pour la production de plants de reboisement et à la création de nouvelles générations. Par contre, il faut normalement de 20 à 30 ans avant de pouvoir sélectionner ces supergéniteurs. Voilà pourquoi la génomique prend toute son importance. Cette méthode permet d’accélérer ce processus et d’identifier les arbres prometteurs alors qu’ils ne sont encore que de petites pousses, La sélection cible directement le gène plutôt que le caractère d’intérêt. Les chercheurs visent donc à identifier des marqueurs génétiques qui permettent de prévoir les caractéristiques de l’arbre en quelques jours seulement. Il est ainsi possible de prévoir le potentiel d’adaptation, de croissance, de qualité du bois et de résistance aux épidémies et aux maladies de l’arbre.
L’amélioration génétique : dans quel but ?
Ces découvertes sont fondamentales pour notre avenir. En plus d’être bénéfique pour l’industrie la génomique forestière permet également le reboisement des forêts jouant un rôle écologique. Dans ce contexte, les chercheurs du Service canadien des forêts visent à fournir des outils aux améliorateurs pour leur permettre de créer des variétés d’arbres qui peuvent facilement s’adapter aux nouvelles conditions environnementales. Par exemple, il est reconnu que certains arbres fixent le CO2 beaucoup mieux que d’autres. Il serait possible d’exploiter cette aptitude influencée par la génétique et de diminuer l’impact des émissions de CO2 dans l’air. En outre, les forêts et autres zones boisées procurent des biens et des moyens d’existence. Elles protègent les sols et régulent l’eau, la conservation et le renouvellement de la biodiversité et les loisirs. Les forêts abritent aussi une grande partie de la biodiversité mondiale. En couvrant un peu moins de 4 milliards d'hectares, les forêts représentent environ 30 pour cent des terres de la planète. Les chercheurs ont conscience qu’il faut respecter la diversité des plantations. Il n’est pas possible de faire pousser un seul type d’arbre, car dans le cas où cette variété serait sensible à un facteur climatique ou à un insecte, nous perdrions tout et nous n’aurions pas utilisé la puissance de la génomique à son meilleur escient
http://www.greenzer.fr/biotechnologie-espoir-foret-demain-3188
L’amélioration génétique : le principe.
Pour une fois on ne vous parle pas de manipulations génétiques scabreuses, on profite juste de ce que nous a donné mère nature. Les chercheurs se sont intéressés aux arbres supérieurs qui possèdent des caractéristiques utiles (forte croissance, bois de qualité, résistance aux insectes et aux maladies…). Ces derniers sont sélectionnés et comparés en plantation expérimentales. Les meilleurs sont ensuite utilisés pour la production de plants de reboisement et à la création de nouvelles générations. Par contre, il faut normalement de 20 à 30 ans avant de pouvoir sélectionner ces supergéniteurs. Voilà pourquoi la génomique prend toute son importance. Cette méthode permet d’accélérer ce processus et d’identifier les arbres prometteurs alors qu’ils ne sont encore que de petites pousses, La sélection cible directement le gène plutôt que le caractère d’intérêt. Les chercheurs visent donc à identifier des marqueurs génétiques qui permettent de prévoir les caractéristiques de l’arbre en quelques jours seulement. Il est ainsi possible de prévoir le potentiel d’adaptation, de croissance, de qualité du bois et de résistance aux épidémies et aux maladies de l’arbre.
L’amélioration génétique : dans quel but ?
Ces découvertes sont fondamentales pour notre avenir. En plus d’être bénéfique pour l’industrie la génomique forestière permet également le reboisement des forêts jouant un rôle écologique. Dans ce contexte, les chercheurs du Service canadien des forêts visent à fournir des outils aux améliorateurs pour leur permettre de créer des variétés d’arbres qui peuvent facilement s’adapter aux nouvelles conditions environnementales. Par exemple, il est reconnu que certains arbres fixent le CO2 beaucoup mieux que d’autres. Il serait possible d’exploiter cette aptitude influencée par la génétique et de diminuer l’impact des émissions de CO2 dans l’air. En outre, les forêts et autres zones boisées procurent des biens et des moyens d’existence. Elles protègent les sols et régulent l’eau, la conservation et le renouvellement de la biodiversité et les loisirs. Les forêts abritent aussi une grande partie de la biodiversité mondiale. En couvrant un peu moins de 4 milliards d'hectares, les forêts représentent environ 30 pour cent des terres de la planète. Les chercheurs ont conscience qu’il faut respecter la diversité des plantations. Il n’est pas possible de faire pousser un seul type d’arbre, car dans le cas où cette variété serait sensible à un facteur climatique ou à un insecte, nous perdrions tout et nous n’aurions pas utilisé la puissance de la génomique à son meilleur escient
http://www.greenzer.fr/biotechnologie-espoir-foret-demain-3188
lundi 11 octobre 2010
dimanche 10 octobre 2010
Orchidées : congeler leurs graines pour les préserver
Lancé par les scientifiques de vingt-trois pays d'Amérique, d'Europe et d'Asie réunis dans l'initiative, un projet mondial vise à congeler les graines des espèces d'orchidées les plus menacées pour pouvoir les sauvegarder.
Quelque 250 espèces d'orchidées ont déjà vu leurs semences congelées à -20°C par les chercheurs d'une organisation scientifique internationale, dans le cadre du projet "Magasins de graines d'orchidées pour leur utilisation durable". Les espèces choisies pour cette première étape de préservation sont considérées comme les plus menacées, parmi les 35.000 recensées à travers le monde.
Comme le souligne auprès de l'AFP Hugh Pritchard, chercheur britannique, ces orchidées sont à la fois menacées par la cueillette à des fins commerciales, et par le réchauffement climatique qui devrait, au cours des quarante prochaines années, accélérer la disparition de plusieurs espèces. "Les semences serviront à la réintroduction d'espèces, à la reconstitution d'habitats", explique le chercheur, soulignant que les graines sont si minuscules qu'elles peuvent être stockées par millions dans une petite chambre réfrigérée.
Vingt-trois pays participent à ce projet, chacun en fonction de ses besoins et de son expérience. Ainsi en Équateur, l'université de Cuenca fera germer 35.000 graines des espèces les plus convoitées sur le marché. 10.000 d'entre elles seront alors vendues à un prix très bas, "pour saturer la demande" et éviter la cueillette sauvage, explique le biologiste équatorien Eduardo Sanchez. Quant aux 25.000 orchidées restantes, elles seront implantées au bord des rivières, dans des jardins botaniques et même dans l'université, afin de "stimuler l'admiration du public pour ces fleurs, inciter à leur préservation et favoriser le tourisme".
http://www.maxisciences.com/orchid%e9e/orchidees-congeler-leurs-graines-pour-les-preserver_art9303.html
Quelque 250 espèces d'orchidées ont déjà vu leurs semences congelées à -20°C par les chercheurs d'une organisation scientifique internationale, dans le cadre du projet "Magasins de graines d'orchidées pour leur utilisation durable". Les espèces choisies pour cette première étape de préservation sont considérées comme les plus menacées, parmi les 35.000 recensées à travers le monde.
Comme le souligne auprès de l'AFP Hugh Pritchard, chercheur britannique, ces orchidées sont à la fois menacées par la cueillette à des fins commerciales, et par le réchauffement climatique qui devrait, au cours des quarante prochaines années, accélérer la disparition de plusieurs espèces. "Les semences serviront à la réintroduction d'espèces, à la reconstitution d'habitats", explique le chercheur, soulignant que les graines sont si minuscules qu'elles peuvent être stockées par millions dans une petite chambre réfrigérée.
Vingt-trois pays participent à ce projet, chacun en fonction de ses besoins et de son expérience. Ainsi en Équateur, l'université de Cuenca fera germer 35.000 graines des espèces les plus convoitées sur le marché. 10.000 d'entre elles seront alors vendues à un prix très bas, "pour saturer la demande" et éviter la cueillette sauvage, explique le biologiste équatorien Eduardo Sanchez. Quant aux 25.000 orchidées restantes, elles seront implantées au bord des rivières, dans des jardins botaniques et même dans l'université, afin de "stimuler l'admiration du public pour ces fleurs, inciter à leur préservation et favoriser le tourisme".
http://www.maxisciences.com/orchid%e9e/orchidees-congeler-leurs-graines-pour-les-preserver_art9303.html
samedi 9 octobre 2010
Énergie : 16 grandes entreprises s'engagent à réduire leur consommation
Devant le ministre du Développement durable Jean-Louis Borloo, seize grandes entreprises françaises se sont engagées à réduire la consommation énergétique de leurs bureaux. Parmi elles, l'assureur Axa, les banques BNP Paribas et Société Générale, EDF ou encore La Poste.
C'est en signant le Manifeste pour l'efficacité énergétique des bâtiments du Conseil mondial des entreprises pour le développement durable (WBCSD) que ces grands groupes se sont engagés à mettre en oeuvre un programme d'actions concrètes pour réduire les consommations d'énergie de leurs bureaux. Air France, Axa, EDF, GDF Suez, Eiffage, La Poste, Lafarge, la RATP, Ciments Calcia, Schneider Electric, Saint-Gobain ou encore Solvay ont ainsi rejoint les cinquante sociétés qui avaient déjà signé le manifeste en février dernier.Ces entreprises ne se sont pour l'instant fixé aucun objectif chiffré. Toutefois, le manifeste s'inscrit dans la continuité d'un rapport du WBCSD, qui préconise une réduction de 60% de la consommation d'énergie dans les immeubles d'ici à 2050.A l'occasion de cette signature, Jean-Louis Borloo a annoncé l'ouverture d'une concertation avec les acteurs concernés, visant à définir d'ici fin 2011 des objectifs de réduction des consommations d'énergie des bâtiments tertiaires à l'horizon 2020. Un point prévu par le Grenelle II.
http://www.maxisciences.com/%e9nergie/nergie-16-grandes-entreprises-s-039-engagent-a-reduire-leur-consommation_art9504.html
C'est en signant le Manifeste pour l'efficacité énergétique des bâtiments du Conseil mondial des entreprises pour le développement durable (WBCSD) que ces grands groupes se sont engagés à mettre en oeuvre un programme d'actions concrètes pour réduire les consommations d'énergie de leurs bureaux. Air France, Axa, EDF, GDF Suez, Eiffage, La Poste, Lafarge, la RATP, Ciments Calcia, Schneider Electric, Saint-Gobain ou encore Solvay ont ainsi rejoint les cinquante sociétés qui avaient déjà signé le manifeste en février dernier.Ces entreprises ne se sont pour l'instant fixé aucun objectif chiffré. Toutefois, le manifeste s'inscrit dans la continuité d'un rapport du WBCSD, qui préconise une réduction de 60% de la consommation d'énergie dans les immeubles d'ici à 2050.A l'occasion de cette signature, Jean-Louis Borloo a annoncé l'ouverture d'une concertation avec les acteurs concernés, visant à définir d'ici fin 2011 des objectifs de réduction des consommations d'énergie des bâtiments tertiaires à l'horizon 2020. Un point prévu par le Grenelle II.
http://www.maxisciences.com/%e9nergie/nergie-16-grandes-entreprises-s-039-engagent-a-reduire-leur-consommation_art9504.html
vendredi 8 octobre 2010
Du dioxyde de carbone transformé en carburant ?
Depuis les années 90, les scientifiques tentent de trouver des solutions alternatives aux énergies fossiles qui ne sont pas renouvelables et, au contraire, sources de gaz à effet de serre.
Depuis des milliers d'années, les organismes photosynthétiques utilisent le dioxyde de carbone comme carburant. Depuis la fin des années 90, les scientifiques tentent pour leur part de stocker l'énergie tirée de la lumière du Soleil en créant un carburant liquide à partir de dioxyde de carbone et d'hydrogène. Un tel carburant permettrait de recycler les émissions de dioxyde de carbone et donc, de freiner l'accumulation rapide de ce gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Les chercheurs ont pour ce faire tenté d'utiliser une cellule électrochimique qui emploie une matériau semi-conducteur, présent dans les cellules photovoltaïques. "Il faut utiliser de l'électricité combinée à du dioxyde de carbone et à de l'hydrogène pour produire du carburant" a expliqué dans un communiqué Arun Majumbar, directeur de l'Advanced Research Projects Agency-Energy (ARPA-E). Ce procédé permettrait de faire "d'une pierre quatre coups", en assurant une sécurité énergétique, en limitant le changement climatique, en réduisant le déficit américain fédéral au regard des économies engendrées et, potentiellement, le taux de chômage.
Michel Berman, chimiste rattaché au département de la recherche scientifique pour l'US Air Force, a déclaré à ce sujet que "le pays et les forces aériennes ont besoin de sources sécurisées et durables d'énergie. Le Soleil fournissant suffisamment d'énergie pour nos besoins, notre objectif est de produire un combustible utilisant du dioxyde de carbone et de la lumière solaire, peut-être de l'eau, comme matière première pour créer un combustible chimique qui permettrait de stocker de l'énergie solaire sous une forme utilisable quand nous le désirons."
http://www.maxisciences.com/dioxyde-de-carbone/du-dioxyde-de-carbone-transforme-en-carburant_art9434.html
Depuis des milliers d'années, les organismes photosynthétiques utilisent le dioxyde de carbone comme carburant. Depuis la fin des années 90, les scientifiques tentent pour leur part de stocker l'énergie tirée de la lumière du Soleil en créant un carburant liquide à partir de dioxyde de carbone et d'hydrogène. Un tel carburant permettrait de recycler les émissions de dioxyde de carbone et donc, de freiner l'accumulation rapide de ce gaz à effet de serre dans l'atmosphère. Les chercheurs ont pour ce faire tenté d'utiliser une cellule électrochimique qui emploie une matériau semi-conducteur, présent dans les cellules photovoltaïques. "Il faut utiliser de l'électricité combinée à du dioxyde de carbone et à de l'hydrogène pour produire du carburant" a expliqué dans un communiqué Arun Majumbar, directeur de l'Advanced Research Projects Agency-Energy (ARPA-E). Ce procédé permettrait de faire "d'une pierre quatre coups", en assurant une sécurité énergétique, en limitant le changement climatique, en réduisant le déficit américain fédéral au regard des économies engendrées et, potentiellement, le taux de chômage.
Michel Berman, chimiste rattaché au département de la recherche scientifique pour l'US Air Force, a déclaré à ce sujet que "le pays et les forces aériennes ont besoin de sources sécurisées et durables d'énergie. Le Soleil fournissant suffisamment d'énergie pour nos besoins, notre objectif est de produire un combustible utilisant du dioxyde de carbone et de la lumière solaire, peut-être de l'eau, comme matière première pour créer un combustible chimique qui permettrait de stocker de l'énergie solaire sous une forme utilisable quand nous le désirons."
http://www.maxisciences.com/dioxyde-de-carbone/du-dioxyde-de-carbone-transforme-en-carburant_art9434.html
jeudi 7 octobre 2010
5 bons livres pour la planète
Recyclage, biodiversité, développement durable... Voici 5 titres sélectionnés par le magazine Néoplanète, qui, désormais, propose chaque mois sa sélection sur LEXPRESS.fr.
Tous éco-citadins! de Carine Mayo, 18 , éditions Terre Vivante.
Le livre de Carine Mayo présente de vrais "gens qui ont mis en place des alternatives écologiques près de chez eux". Dans un immeuble, une école, une entreprise ou à l'échelle de toute une ville, la journaliste nous fait découvrir 30 initiatives vertes bien réelles: réalisation d'un compost de quartier par les habitants, création d'un pedibus par un groupe de parents, d'un jardin partagé et d'une cantine bio pour une école, d'une ressourcerie pour donner une seconde vie aux objets... De quoi passer à l'action près de chez vous.
100 petits pas pour un monde meilleur, d'Edwige Bernanoce, 10,90 , Editions Leduc.s.
On trouve dans ce guide de nombreux éco-gestes positifs pour la planète, mais aussi pour notre santé et notre porte-monnaie. Notre conseil? Piocher ici et là des idées à mettre en place chez vous: cultiver vos herbes aromatiques sur votre balcon, nettoyer votre intérieur avec du vinaigre, acheter des produits de beauté certifiés bio... On recommandera ce livre aux novices avides de conseils pratiques.
La biodiversité, par la fondation GoodPlanet présidée par Yann Arthus-Bertrand, 12 , La Martinière.
On découvre au fil des pages une nature qui fourmille d'espèces toutes plus étonnantes les unes que les autres... même en ville! Cet ouvrage, qui comporte de magnifiques photos, fait le point sur la biodiversité, les services rendus par la faune et la flore, les menaces pesant sur elles, ou encore sur les initiatives existantes pour préserver ce patrimoine naturel.
Le Tour de France du développement durable, Bertrand Guillier, Hélène Roy et Gilles Vanderpooten, 9,90 , éditions Alternatives.
Quelques exemples de projets made in France mis en avant par ce livre? Ethiq... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/5-bons-livres-pour-la-planete_924000.html#xtor=AL-447
Tous éco-citadins! de Carine Mayo, 18 , éditions Terre Vivante.
Le livre de Carine Mayo présente de vrais "gens qui ont mis en place des alternatives écologiques près de chez eux". Dans un immeuble, une école, une entreprise ou à l'échelle de toute une ville, la journaliste nous fait découvrir 30 initiatives vertes bien réelles: réalisation d'un compost de quartier par les habitants, création d'un pedibus par un groupe de parents, d'un jardin partagé et d'une cantine bio pour une école, d'une ressourcerie pour donner une seconde vie aux objets... De quoi passer à l'action près de chez vous.
100 petits pas pour un monde meilleur, d'Edwige Bernanoce, 10,90 , Editions Leduc.s.
On trouve dans ce guide de nombreux éco-gestes positifs pour la planète, mais aussi pour notre santé et notre porte-monnaie. Notre conseil? Piocher ici et là des idées à mettre en place chez vous: cultiver vos herbes aromatiques sur votre balcon, nettoyer votre intérieur avec du vinaigre, acheter des produits de beauté certifiés bio... On recommandera ce livre aux novices avides de conseils pratiques.
La biodiversité, par la fondation GoodPlanet présidée par Yann Arthus-Bertrand, 12 , La Martinière.
On découvre au fil des pages une nature qui fourmille d'espèces toutes plus étonnantes les unes que les autres... même en ville! Cet ouvrage, qui comporte de magnifiques photos, fait le point sur la biodiversité, les services rendus par la faune et la flore, les menaces pesant sur elles, ou encore sur les initiatives existantes pour préserver ce patrimoine naturel.
Le Tour de France du développement durable, Bertrand Guillier, Hélène Roy et Gilles Vanderpooten, 9,90 , éditions Alternatives.
Quelques exemples de projets made in France mis en avant par ce livre? Ethiq... Lire la suite sur LEXPRESS.fr
http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/5-bons-livres-pour-la-planete_924000.html#xtor=AL-447
mercredi 6 octobre 2010
Eaux florales bio : mes alliées beauté du lever au coucher !
Les eaux florales bio sont de véritables alliées beauté au naturel. Pour purifier, apaiser et rééquilibrer la peau, les eaux florales bio vous accompagnent tout au long de la journée.
Les eaux forales sont un hydrolat uniquement obtenu à partir de la distillation des fleurs, feuilles ou des petits bouts de branches. Elles sont un concentré des bienfaits des plantes à l'instar des huiles essentielles.
Un réveil en beauté avec l'eau florale de rose bio
Au réveil la peau est frippée, relâchée, terne ou pleine de rougeurs. Pour la réveiller en douceur, activer la circulation, rien de tel que l'eau florale de rose de Damas bio. L'eau florale de rose de Damas bio rafraîchit et stimule la peau qui se retend et retrouve son éclat. Anti-rougeur, elle réharmonise la peau. Son odeur parfumée, symbole de son action anxiolytique, appaisante et calmante, réveille les sens pour une journée pleine de douceur. Possédant une action anti-ride et régénérante, l''eau de rose de Damas bio aide aussi à lutter contre les effets du vieillissement cutané.
Elle convient particulièrement aux peaux délicates et sensibles, mais un peu moins aux peaux grasses qui devront lui préférer l'eau florale de lavande, aux propriétés purifiante, astringente et tout aussi tonique !
Réharmoniser ma peau grâce à l'eau florale d'hamamélis bio
Sortie dans le froid, votre peau a rougit. Elle est un peu irritée, et vous la sentez tirer une fois rentrée ? Déposez sur un coton doux un peu d'eau florale d'hamamélis bio, et passez-le sur votre visage. L'eau Florale d'hamamélis bio active la microcirculation et appaise ainsi les rougeurs de la peau. Elle est particulièrement adaptée aux peaux sensibles et délicates qu'elle adoucit. Les peaux mixtes et grasses l'apprécient particulièrement pour ses propriétés astringente et purifiante.
Protéger mes yeux avec l'eau florale de bleuet bio
Après une journée agitée, il est temps de prendre soin de vous ! Démaquillez-vous à l'aide de l'eau florale de bleuet bio. Cette eau florale bio a la réputation justifiée de particulièrement prendre bien soin des yeux. Elle les appaise et les décongestionne. Vous pouvez aussi l'appliquer en compresse après le démaquillage pour aider vos yeux à dégonfler.
Mon eau florale de fleur d'oranger bio pour m'appaiser
Les soleil se couche... Un reste de stress de la journée ? Rien de tel pour vous appaiser avant le coucher que le délicat parfum de l'eau florale de fleur d'oranger amer bio ! Cette eau florale possède une action appaisante, qui vous aide à vous détendre et favorise le sommeil. Vous appliquer un peu d'eau florale de fleur d'oranger amer bio sur le corps avant de dormir vous aide à passer une nuit douce et tranquille.
http://www.greenzer.fr/eaux-florales-bio-3150
Les eaux forales sont un hydrolat uniquement obtenu à partir de la distillation des fleurs, feuilles ou des petits bouts de branches. Elles sont un concentré des bienfaits des plantes à l'instar des huiles essentielles.
Un réveil en beauté avec l'eau florale de rose bio
Au réveil la peau est frippée, relâchée, terne ou pleine de rougeurs. Pour la réveiller en douceur, activer la circulation, rien de tel que l'eau florale de rose de Damas bio. L'eau florale de rose de Damas bio rafraîchit et stimule la peau qui se retend et retrouve son éclat. Anti-rougeur, elle réharmonise la peau. Son odeur parfumée, symbole de son action anxiolytique, appaisante et calmante, réveille les sens pour une journée pleine de douceur. Possédant une action anti-ride et régénérante, l''eau de rose de Damas bio aide aussi à lutter contre les effets du vieillissement cutané.
Elle convient particulièrement aux peaux délicates et sensibles, mais un peu moins aux peaux grasses qui devront lui préférer l'eau florale de lavande, aux propriétés purifiante, astringente et tout aussi tonique !
Réharmoniser ma peau grâce à l'eau florale d'hamamélis bio
Sortie dans le froid, votre peau a rougit. Elle est un peu irritée, et vous la sentez tirer une fois rentrée ? Déposez sur un coton doux un peu d'eau florale d'hamamélis bio, et passez-le sur votre visage. L'eau Florale d'hamamélis bio active la microcirculation et appaise ainsi les rougeurs de la peau. Elle est particulièrement adaptée aux peaux sensibles et délicates qu'elle adoucit. Les peaux mixtes et grasses l'apprécient particulièrement pour ses propriétés astringente et purifiante.
Protéger mes yeux avec l'eau florale de bleuet bio
Après une journée agitée, il est temps de prendre soin de vous ! Démaquillez-vous à l'aide de l'eau florale de bleuet bio. Cette eau florale bio a la réputation justifiée de particulièrement prendre bien soin des yeux. Elle les appaise et les décongestionne. Vous pouvez aussi l'appliquer en compresse après le démaquillage pour aider vos yeux à dégonfler.
Mon eau florale de fleur d'oranger bio pour m'appaiser
Les soleil se couche... Un reste de stress de la journée ? Rien de tel pour vous appaiser avant le coucher que le délicat parfum de l'eau florale de fleur d'oranger amer bio ! Cette eau florale possède une action appaisante, qui vous aide à vous détendre et favorise le sommeil. Vous appliquer un peu d'eau florale de fleur d'oranger amer bio sur le corps avant de dormir vous aide à passer une nuit douce et tranquille.
http://www.greenzer.fr/eaux-florales-bio-3150
mardi 5 octobre 2010
Produire moins de déchets en plastique grâce aux gestes alternatifs
Suivez les astuces de Greenzer pour diminuer les déchets de votre « production domestique ». Alliant économies et protection de la planète, adoptez-les dans le jardin, dans la cuisine. Bref, dans toute la maison.
Suivez les astuces écolo !
Dans le jardin
Pour ceux qui disposent d'un jardin, faites un potager. Vous aurez ainsi des produits frais, de saison, sortant directement de votre lopin de terre !
Le jardin est idéal pour une production domestique écologique, mais pensez aussi au compost, un bon terreau "fait-maison" avec vos feuilles mortes et vos déchets organiques.
Du jardin à la cuisine
Avec vos fruits et légumes maison, rien de mieux que de produire soi-même ses recettes bio : confitures, tartes et autres gâteaux. Si vous avez un balcon, faîtes pousser quelques légumes dans des bacs, comme des tomates cerises, que vous cueillerez juste avant de les déguster.
Pensez également à exploiter un maximum les appareils ménagers tels que yaourtières et machines à pain, qui vous permettront de fabriquer vos propres produits, simplement, à la maison. C'est si simple et si bon ! Il suffit d'acheter de la farine et un yaourt de temps en temps pour renouveler les ferments lactiques de vos yaourts maison. Avouez que cela revient bien moins cher !
De la cuisine à l'interrupteur électrique
Du point de vue énergie, vous avez désormais à votre disposition de nombreux articles - tels que les éoliennes, les panneaux solaires - qui vous feront faire des économies d'énergies et, pourquoi pas, d'en vendre !
De l'interrupteur électrique à la chambre
Préparer soi-même ses produits d'entretien, réduire sa consommation d'eau et d'électricité, respirer un air pur et sain dans toutes les pièces de la maison, c'est adopter des gestes alternatifs ! De la chambre à la salle de bains en passant par la cuisine, Cécile Guibert Brussel dévoile dans son ouvrage « trucs et astuces écolos pour la maison » tous les éco-gestes et toutes les astuces pour entretenir son intérieur au quotidien en respectant l'environnement. Un magnifique cadeau qui vous permettra de faire des économies et d'agir en vrai éco-citoyen.
http://news.fr.msn.com/ecologie/pratique/article.aspx?cp-documentid=154731592
Suivez les astuces écolo !
Dans le jardin
Pour ceux qui disposent d'un jardin, faites un potager. Vous aurez ainsi des produits frais, de saison, sortant directement de votre lopin de terre !
Le jardin est idéal pour une production domestique écologique, mais pensez aussi au compost, un bon terreau "fait-maison" avec vos feuilles mortes et vos déchets organiques.
Du jardin à la cuisine
Avec vos fruits et légumes maison, rien de mieux que de produire soi-même ses recettes bio : confitures, tartes et autres gâteaux. Si vous avez un balcon, faîtes pousser quelques légumes dans des bacs, comme des tomates cerises, que vous cueillerez juste avant de les déguster.
Pensez également à exploiter un maximum les appareils ménagers tels que yaourtières et machines à pain, qui vous permettront de fabriquer vos propres produits, simplement, à la maison. C'est si simple et si bon ! Il suffit d'acheter de la farine et un yaourt de temps en temps pour renouveler les ferments lactiques de vos yaourts maison. Avouez que cela revient bien moins cher !
De la cuisine à l'interrupteur électrique
Du point de vue énergie, vous avez désormais à votre disposition de nombreux articles - tels que les éoliennes, les panneaux solaires - qui vous feront faire des économies d'énergies et, pourquoi pas, d'en vendre !
De l'interrupteur électrique à la chambre
Préparer soi-même ses produits d'entretien, réduire sa consommation d'eau et d'électricité, respirer un air pur et sain dans toutes les pièces de la maison, c'est adopter des gestes alternatifs ! De la chambre à la salle de bains en passant par la cuisine, Cécile Guibert Brussel dévoile dans son ouvrage « trucs et astuces écolos pour la maison » tous les éco-gestes et toutes les astuces pour entretenir son intérieur au quotidien en respectant l'environnement. Un magnifique cadeau qui vous permettra de faire des économies et d'agir en vrai éco-citoyen.
http://news.fr.msn.com/ecologie/pratique/article.aspx?cp-documentid=154731592
lundi 4 octobre 2010
OGM : fronde contre le système à la carte de Bruxelles
Les ministres de l'agriculture des Vingt-Sept ont mis en cause, lundi 27 septembre à Bruxelles, la proposition de la Commission européenne de laisser aux Etats la décision d'interdire ou non la culture de plantes OGM sur leur territoire. Présentée en juillet, cette perspective pourrait permettre, d'après le commissaire chargé de la santé John Dalli, de débloquer le dispositif actuel d'autorisation des OGM au niveau européen. Mais elle suscite un vif débat
La France et l'Italie ont mené la fronde, avec le soutien de la plupart des autres pays agricoles, notamment l'Allemagne et l'Espagne.
Ces pays se disent préoccupés par un risque de 'renationalisation' de la politique agricole commune, et de fragmentation du marché intérieur. D'après le ministre français, Bruno Le Maire, 'la France souhaite que la décision reste commune. Aller vers des décisions nationales serait un mauvais signal pour la politique agricole commune'. Comme l'Allemagne, la France s'interroge aussi sur la compatibilité de la réforme avec les règles de l'Organisation mondiale du commerce, qui pourrait contester l'interdiction des cultures sans justifications fondées.
Quelques pays, dont le Royaume-Uni et les Pays-Bas, ont néanmoins apporté leur soutien à la proposition. 'Nous devrions donner à nos agriculteurs un choix réel et la possibilité de lutter au niveau mondial', estime Gerda Verburg, la ministre néerlandaise de l'agriculture. Les Pays-Bas plaident pour plus de flexibilité dans le système d'autorisation, afin de surmonter les réticences de nombreuses capitales à autoriser certains OGM. 'Le système actuel d'autorisation ne fonctionne pas', a martelé John Dalli, pour défendre son initiative. A ce jour, seuls deux OGM sont cultivés en Europe : le maïs 810 de l'américain Monsanto, et la pomme de terre Amflora du groupe allemand BASF.
Les réactions des ministres de l'agriculture donnent une bonne idée de la complexité d'une telle réforme, même si ce sont leurs collègues chargés de l'environnement qui trancheront. 'Ce n'est pas en un ou deux mois que nous trouverons un compromis et un consensus', a observé la ministre belge de l'agriculture, Sabine Laruelle, dont le pays préside les Vingt-Sept ce semestre.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/09/28/ogm-fronde-contre-le-systeme-a-la-carte-de-bruxelles_1416991_3244.html#xtor=AL-32280184
La France et l'Italie ont mené la fronde, avec le soutien de la plupart des autres pays agricoles, notamment l'Allemagne et l'Espagne.
Ces pays se disent préoccupés par un risque de 'renationalisation' de la politique agricole commune, et de fragmentation du marché intérieur. D'après le ministre français, Bruno Le Maire, 'la France souhaite que la décision reste commune. Aller vers des décisions nationales serait un mauvais signal pour la politique agricole commune'. Comme l'Allemagne, la France s'interroge aussi sur la compatibilité de la réforme avec les règles de l'Organisation mondiale du commerce, qui pourrait contester l'interdiction des cultures sans justifications fondées.
Quelques pays, dont le Royaume-Uni et les Pays-Bas, ont néanmoins apporté leur soutien à la proposition. 'Nous devrions donner à nos agriculteurs un choix réel et la possibilité de lutter au niveau mondial', estime Gerda Verburg, la ministre néerlandaise de l'agriculture. Les Pays-Bas plaident pour plus de flexibilité dans le système d'autorisation, afin de surmonter les réticences de nombreuses capitales à autoriser certains OGM. 'Le système actuel d'autorisation ne fonctionne pas', a martelé John Dalli, pour défendre son initiative. A ce jour, seuls deux OGM sont cultivés en Europe : le maïs 810 de l'américain Monsanto, et la pomme de terre Amflora du groupe allemand BASF.
Les réactions des ministres de l'agriculture donnent une bonne idée de la complexité d'une telle réforme, même si ce sont leurs collègues chargés de l'environnement qui trancheront. 'Ce n'est pas en un ou deux mois que nous trouverons un compromis et un consensus', a observé la ministre belge de l'agriculture, Sabine Laruelle, dont le pays préside les Vingt-Sept ce semestre.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/09/28/ogm-fronde-contre-le-systeme-a-la-carte-de-bruxelles_1416991_3244.html#xtor=AL-32280184
dimanche 3 octobre 2010
Alerte météo sur l'Hérault à partir de ce dimanche soir
De fortes précipitations et des rafales de vent pouvant atteindre jusqu'à 100 km/h sont attendues au cours de la nuit sur le département de l'Hérault. Ces conditions climatiques ont incité Météo France a placer le département en vigilance orange à partir de dimanche minuit et jusqu'à lundi midi.
Un avis de fortes vagues, susceptibles de balayer tout le littoral depuis Leucate (Aude) jusqu'à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) en passant par l'Hérault et le Gard, a également été lancé.
Le Centre régional d'information et de coordination routières (CRICR) Méditerranée recommande aux automobilistes la plus extrême prudence.
Sur les Cévennes, les cumuls de pluie attendus sont de l'ordre de 90 à 120 mm et localement 150/200 mm, tandis qu'en plaine et sur le littoral, il est prévu 10 à 30 mm, localement 80 mm, en peu de temps, précise Météo France.
Les départements de l'Aude (notamment l'est du département), de l'Hérault, du Gard et des Bouches-du-Rhône seront également concernés par des pluies orageuses, qui pourront être localement fortes.
«Ces fortes pluies orageuses s'accompagneront d'un vent fort d'est à sud-est, 50 à 70 km/h en moyenne avec des rafales à 80/100 km/h. Ce vent fort gênera l'écoulement des eaux», précise encore le communiqué de Météo France.
http://www.leparisien.fr/societe/alerte-meteo-sur-l-herault-a-partir-de-ce-dimanche-soir-03-10-2010-1093371.php
Un avis de fortes vagues, susceptibles de balayer tout le littoral depuis Leucate (Aude) jusqu'à Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône) en passant par l'Hérault et le Gard, a également été lancé.
Le Centre régional d'information et de coordination routières (CRICR) Méditerranée recommande aux automobilistes la plus extrême prudence.
Sur les Cévennes, les cumuls de pluie attendus sont de l'ordre de 90 à 120 mm et localement 150/200 mm, tandis qu'en plaine et sur le littoral, il est prévu 10 à 30 mm, localement 80 mm, en peu de temps, précise Météo France.
Les départements de l'Aude (notamment l'est du département), de l'Hérault, du Gard et des Bouches-du-Rhône seront également concernés par des pluies orageuses, qui pourront être localement fortes.
«Ces fortes pluies orageuses s'accompagneront d'un vent fort d'est à sud-est, 50 à 70 km/h en moyenne avec des rafales à 80/100 km/h. Ce vent fort gênera l'écoulement des eaux», précise encore le communiqué de Météo France.
http://www.leparisien.fr/societe/alerte-meteo-sur-l-herault-a-partir-de-ce-dimanche-soir-03-10-2010-1093371.php
Nouvelle-Zélande : un déodorant pour protéger les oiseaux de leurs prédateurs
Nouvelle-Zélande - Des chercheurs néo-zélandais planchent sur la conception d'un déodorant qui protégerait les nombreuses espèces d'oiseaux endémiques de leurs prédateurs, introduits par l'homme dans le pays.
La Nouvelle-Zélande abrite de nombreuses espèces d'oiseaux qui n'existent nulle part ailleurs, mais presque aucun mammifère n'est natif du pays. Chats, hermines et autres animaux de ce type ont donc été introduits par l'homme, devenant de dangereux prédateurs pour les oiseaux endémiques.
Or, comme l'explique Jim Briskie, un chercheur de l'université de Canterbury, il semble que les oiseaux néo-zélandais dégagent une très forte odeur corporelle qui les rend aisément repérables. Contrairement aux oiseaux qui ont évolué auprès de mammifères, ceux de Nouvelle-Zélande se couvrent d'une odeur lorsqu'ils se lissent les plumes avec leur bec.
Ainsi, le kiwi, symbole national du pays, sent le champignon et l'ammoniaque, tandis que le perroquet kakapo, qui est menacé d'extinction, dégage une odeur "d'étui à violon moisi". Ils sont donc facilement identifiables par leurs prédateurs. C'est pourquoi les scientifiques tentent de créer un déodorant qui masquerait ces odeurs et protégerait la faune ornithologique exceptionnelle de la Nouvelle-Zélande.
Jim Briskie et son équipe disposent de 600.000 dollars néo-zélandais, soit 330.000 euros environ, pour étudier les espèces endémiques et leurs odeurs, et tenter de les rendre moins vulnérables.
http://www.maxisciences.com/oiseau/nouvelle-zelande-un-deodorant-pour-proteger-les-oiseaux-de-leurs-predateurs_art9386.html
La Nouvelle-Zélande abrite de nombreuses espèces d'oiseaux qui n'existent nulle part ailleurs, mais presque aucun mammifère n'est natif du pays. Chats, hermines et autres animaux de ce type ont donc été introduits par l'homme, devenant de dangereux prédateurs pour les oiseaux endémiques.
Or, comme l'explique Jim Briskie, un chercheur de l'université de Canterbury, il semble que les oiseaux néo-zélandais dégagent une très forte odeur corporelle qui les rend aisément repérables. Contrairement aux oiseaux qui ont évolué auprès de mammifères, ceux de Nouvelle-Zélande se couvrent d'une odeur lorsqu'ils se lissent les plumes avec leur bec.
Ainsi, le kiwi, symbole national du pays, sent le champignon et l'ammoniaque, tandis que le perroquet kakapo, qui est menacé d'extinction, dégage une odeur "d'étui à violon moisi". Ils sont donc facilement identifiables par leurs prédateurs. C'est pourquoi les scientifiques tentent de créer un déodorant qui masquerait ces odeurs et protégerait la faune ornithologique exceptionnelle de la Nouvelle-Zélande.
Jim Briskie et son équipe disposent de 600.000 dollars néo-zélandais, soit 330.000 euros environ, pour étudier les espèces endémiques et leurs odeurs, et tenter de les rendre moins vulnérables.
http://www.maxisciences.com/oiseau/nouvelle-zelande-un-deodorant-pour-proteger-les-oiseaux-de-leurs-predateurs_art9386.html
samedi 2 octobre 2010
Antioxydants naturels : pour un capital jeunesse préservé !
Canneberge, baie de Goji, argousier: ce sont les antioxydants naturels par excellence ! Découvrez ces baies qui redonnent éclat et vigueur tout en préservant sur le long terme votre capital jeunesse.
La nature est riche en bienfaits. Pour nous aider à préserver notre capital santé et jeunesse, elle nous envoie quelque précieux alliés. Parmi eux : les antioxydants naturels comme la canneberge, la baie de Goji ou l'argousier. Ils aident à retarder ou a empêcher l'action dévastatrice des radicaux libres, responsables de l'oxydation de cellules. Oxydation qui participe au vieillissement du corps.
La canneberge ou cranberry, antioxydant des régions froides...
La canneberge, plus connue sous le nom de cranberry, c'est cette grande airelle rouge d'Amérique du Nord qui pousse sur les sols humides et les tourbières. Elle développe un goût unique, acidulé et légèrement amère qui oblige souvent à la consommer sucrée. Sucrée ? Un aliment kilo supplémentaire ? Non ! La canneberge ou cranberry est surtout riche en tanin ontenant de précieux antioxydants! Le petit plus : si en France, la canneberge n'était encore jusqu'à peu pas très consommée, ce n'est pas le cas outratlantique et dans les pays du Nord. La culture de la canneberge est donc très développée depuis longtemps... pour le plus grand bonheur des consommateurs qui trouveront en elle un antioxydant naturel à la portée de presque toutes les bourses. Vous pourrez la trouver séchée, ou sous forme de gellules, ou encore de jus de fruit dans tous les magasins bio et diététique !
La baie de Goji : la pharmacopée chinoise au service du capital jeunesse !
La baie de Goji est connue depuis des siècles dans la pharmacopée chinoise comme un aliment préservant la santé et qui sait, pouvant peut-être mener à l'immortalité. Dernièrement, vous l'avez vu coloniser les rayons des magasins bio et même ceux des pharmacies, dans lesquelles elle est vendue, cher, comme un aliment miracle. Info ou intox ? Un peu des deux ! La baie de Goji est effectivement riche en minéraux, oligoéléments et même en vitamines, mais pas forcément plus, pour ce dernier cas, que d'autres fruits plus communs comme l'orange. Elle est aussi très riche en antioxydants, source de son ancienne et actuelle popularité. Toutefois la baie de Goji n'est pas non plus le fruit antioxydant ultime, qui en contient le plus, puisque l'argousier la coiffe de loin au poteau ! Conclusion ? Apprenez à varier vos antioxydants naturels.
L'argousier, super-antioxydant... local !
En jus, pâtes, sirops ou encore en compléments alimentaires, l'argousier sait comment préserver votre santé. Les baies de l'argousier, riches en antioxydants et en vitamine C, poussent sur des arbustes assez communs en Asie, où nombreux sont les remèdes et les préparations réalisées à partir de l'argousier qui comme la canneberge possède un goût plutôt acide. Mais l'Europe et la France ne sont pas en reste: cela pourrait en surprendre plus d'un, mais ce petit arbuste est loin d'être exotique. Il pousse très bien dans le Sud des Alpes! Ainsi, en plus d'être un bon antioxydant naturel puisqu'il en contient même davantage que les baies de Goji et canneberge, ils est au contraire de ces dernières relativement local! Un petit plus pour la planète.
http://www.greenzer.fr/antioxydants-naturels-goji-canneberge-3124
La nature est riche en bienfaits. Pour nous aider à préserver notre capital santé et jeunesse, elle nous envoie quelque précieux alliés. Parmi eux : les antioxydants naturels comme la canneberge, la baie de Goji ou l'argousier. Ils aident à retarder ou a empêcher l'action dévastatrice des radicaux libres, responsables de l'oxydation de cellules. Oxydation qui participe au vieillissement du corps.
La canneberge ou cranberry, antioxydant des régions froides...
La canneberge, plus connue sous le nom de cranberry, c'est cette grande airelle rouge d'Amérique du Nord qui pousse sur les sols humides et les tourbières. Elle développe un goût unique, acidulé et légèrement amère qui oblige souvent à la consommer sucrée. Sucrée ? Un aliment kilo supplémentaire ? Non ! La canneberge ou cranberry est surtout riche en tanin ontenant de précieux antioxydants! Le petit plus : si en France, la canneberge n'était encore jusqu'à peu pas très consommée, ce n'est pas le cas outratlantique et dans les pays du Nord. La culture de la canneberge est donc très développée depuis longtemps... pour le plus grand bonheur des consommateurs qui trouveront en elle un antioxydant naturel à la portée de presque toutes les bourses. Vous pourrez la trouver séchée, ou sous forme de gellules, ou encore de jus de fruit dans tous les magasins bio et diététique !
La baie de Goji : la pharmacopée chinoise au service du capital jeunesse !
La baie de Goji est connue depuis des siècles dans la pharmacopée chinoise comme un aliment préservant la santé et qui sait, pouvant peut-être mener à l'immortalité. Dernièrement, vous l'avez vu coloniser les rayons des magasins bio et même ceux des pharmacies, dans lesquelles elle est vendue, cher, comme un aliment miracle. Info ou intox ? Un peu des deux ! La baie de Goji est effectivement riche en minéraux, oligoéléments et même en vitamines, mais pas forcément plus, pour ce dernier cas, que d'autres fruits plus communs comme l'orange. Elle est aussi très riche en antioxydants, source de son ancienne et actuelle popularité. Toutefois la baie de Goji n'est pas non plus le fruit antioxydant ultime, qui en contient le plus, puisque l'argousier la coiffe de loin au poteau ! Conclusion ? Apprenez à varier vos antioxydants naturels.
L'argousier, super-antioxydant... local !
En jus, pâtes, sirops ou encore en compléments alimentaires, l'argousier sait comment préserver votre santé. Les baies de l'argousier, riches en antioxydants et en vitamine C, poussent sur des arbustes assez communs en Asie, où nombreux sont les remèdes et les préparations réalisées à partir de l'argousier qui comme la canneberge possède un goût plutôt acide. Mais l'Europe et la France ne sont pas en reste: cela pourrait en surprendre plus d'un, mais ce petit arbuste est loin d'être exotique. Il pousse très bien dans le Sud des Alpes! Ainsi, en plus d'être un bon antioxydant naturel puisqu'il en contient même davantage que les baies de Goji et canneberge, ils est au contraire de ces dernières relativement local! Un petit plus pour la planète.
http://www.greenzer.fr/antioxydants-naturels-goji-canneberge-3124
vendredi 1 octobre 2010
Huile de carottes bio : bonne mine naturelle assurée !
Ses Vertus
Très riche en vitamine A et en vitamine E, l'huile de carotte est reconnue pour ses qualités tonifiantes. Elle est traditionnellement utilisée pour améliorer la beauté de la peau, assouplir et régénérer l'épiderme. En applications régulières, grâce au beta-carotène qu’elle contient, vous obtiendrez une bonne mine naturelle et un bronzage uniforme.
Mode d'Emploi
Nettoyez bien la peau du visage et du cou. Ensuite, appliquez l'huile de carotte bio sur une peau propre en massant doucement pour la faire pénétrer en profondeur.
Notre recette fait maison : Sérum Anti-Age à la Carotte
Difficulté ●
Ingrédients pour 10 ml
5 ml d’huile végétale de rose musquée du Chili
5 ml de macérat de carotte bio
6 gouttes d’huile essentielle de carotte
3 gouttes de vitamine E naturelle
Préparation
◦Versez tous les ingrédients dans un roll-on.
◦Fermez-le et agitez-le énergiquement pour bien mélanger le tout.
◦Le sérum se conserve 3 mois. Appliquez-le sur le visage en évitant le contour des yeux.
http://www.greenzer.fr/huile-de-carottes-bio-bonne-mine-naturelle-assuree-3140
Très riche en vitamine A et en vitamine E, l'huile de carotte est reconnue pour ses qualités tonifiantes. Elle est traditionnellement utilisée pour améliorer la beauté de la peau, assouplir et régénérer l'épiderme. En applications régulières, grâce au beta-carotène qu’elle contient, vous obtiendrez une bonne mine naturelle et un bronzage uniforme.
Mode d'Emploi
Nettoyez bien la peau du visage et du cou. Ensuite, appliquez l'huile de carotte bio sur une peau propre en massant doucement pour la faire pénétrer en profondeur.
Notre recette fait maison : Sérum Anti-Age à la Carotte
Difficulté ●
Ingrédients pour 10 ml
5 ml d’huile végétale de rose musquée du Chili
5 ml de macérat de carotte bio
6 gouttes d’huile essentielle de carotte
3 gouttes de vitamine E naturelle
Préparation
◦Versez tous les ingrédients dans un roll-on.
◦Fermez-le et agitez-le énergiquement pour bien mélanger le tout.
◦Le sérum se conserve 3 mois. Appliquez-le sur le visage en évitant le contour des yeux.
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