vendredi 16 septembre 2011

Peut-on manger bio sans se ruiner?

La Déferlante des restos Bio
Vous êtes en mission à Tokyo, étudiez à Madrid ou résidez à Montréal… C'est l'heure de la pause déjeuner et vous avez entre dix et quinze euros en poche. Pas de panique, dans la plupart des grandes villes du monde il est facile de manger sainement sans se ruiner.
A Montréal, notre correspondante Christine Lacaze nous livre ses restaurants coups de cœur: «le Crudessence propose des menus 100% bio ou aucun aliment n'est cuit au-dessus de 40° pour préserver les enzymes ; et le ChuChai s'est spécialisé dans les mets à base de simili-viande de haute qualité».
Viva la Vida est le titre d'une célèbre peinture de Frida Kahlo. Mais aussi et surtout, dans le cadre de cette enquête, le nom d'un célèbre buffet et supermarché bio espagnol, à l'instar du centre d'éco-philosophie Ecocentro.
A Tokyo, que ce soit à l'Ukafe, l'Irving place ou l'Eat More Greens manger des «Yuki Shokuhin» (des aliments biologiques) est aujourd'hui facile.
Certains établissements vont au-delà du bio et rajoutent une dimension solidaire et sociale à leur activité. Au Peper, un squat légalisé d'Amsterdam métamorphosé en restaurant, ce sont des volontaires qui servent les plats tout comme au restaurant le Robin des bois de Montréal.
Et dans la ville du Cap en Afrique du Sud, notre correspondante Magalie Barbet apprécie la convivialité qui règne dans The Old Biscuit Mill, une vieille usine à biscuits rénovée qui propose des produits bio et du terroir. «De nombreuses tables sont installées le samedi au milieu d'une sorte de hangar géant pour y déguster un plat en famille ou entre amis.»
Fast-foods bio pour citadins pressés
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